Visite au CDT/ Simone Gbagbo aux opérateurs économiques - ‘’La Côte d’Ivoire doit devenir un peuple de culture industrielle’’

La Première Dame, Simone Ehivet Gbagbo a rendu visite le mercredi 18 novembre 2009, au Centre de démonstration et de promotion des technologies (CDT), situé au km 8, Boulevard de Marseille. Au cours de cette visite-découverte, elle a réitéré sa vision pour la Côte d’Ivoire : celle de la voir devenir un pays industrialisé.

Au terme d’une visite guidée d’environ une heure et demie de temps, la Première Dame de la République de Côte d’Ivoire, Simone Ehivet Gbagbo a été intransigeante sur sa vision de ce pays. « Voir la Côte d’Ivoire devenir un pays industrialisé », c’est en tout cas ce que l’on pouvait saisir de l’essentiel des impressions de la Première Dame. A l’en croire, les différents accords de partenariat conclus avec l’Inde, surtout dans le cadre du transfert de technologies, doivent aboutir à l’industrialisation du pays. « Les Indiens seront amenés à booster leurs actions par la volonté d’être encore plus performants pour faire des propositions encore meilleures. Pour que nous devenions un pays véritablement industriel et que nous devenions un peuple de culture industrielle, un peuple d’économie moderne », a-t-elle confié. Tombant sous le charme des engins de production agroalimentaire et mécanique, Simone Ehivet Gbagbo s’est voulue particulièrement optimiste quant à la transformation des matières premières produites en Côte d’Ivoire en produits finis et capables de desservir le marché tant national qu’international. « Je dis toujours que tout ce qu’il reste à faire en Côte d’Ivoire, c’est de réussir à faire en sorte que des Ivoiriens deviennent des agents économiques, qui ne sont pas de simples consommateurs de ce qui est produit ailleurs mais qu’ils soient eux-mêmes des producteurs à partir des matières premières que Dieu nous a données en Côte d’Ivoire », a fait remarquer Simone Ehivet Gbagbo. Avant d’inviter la jeunesse ivoirienne à la formation et à la maîtrise de la technologie. « Cela passe par la maîtrise de la technologie, la maîtrise de la science, du savoir-faire et pour le besoin de compétences de performance », a-t-elle noté. La signature du livre d’or et la remise d’un présent ont mis fin à la cérémonie.

K. Patrick