PARIS- Nicolas Sarkozy a répété jeudi au président ivoirien Laurent Gbagbo qu`il souhaitait qu`une nouvelle date soit "rapidement" fixée pour l`élection présidentielle dans son pays, reportée depuis des années, lors d`un entretien téléphonique rapporté par l`Elysée.
Lors de cette conversation, le président français s`est "félicité des
progrès récemment accomplis dans la préparation des élections" et a "exprimé
l`espoir qu`une nouvelle date, aussi rapprochée que possible, serait
rapidement fixée pour la tenue du scrutin présidentiel".
Les autorités ivoiriennes viennent de reporter pour la sixième fois le
premier tour du scrutin présidentiel, dont la dernière date avait été fixée au
29 novembre.
Sans cesse reporté depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en
2005, ce scrutin est censé mettre un terme à la longue crise née d`un coup
d`Etat manqué en 2002, qui a coupé en deux le pays, ex-colonie française,
entre le Nord tenu par les rebelles et le Sud loyaliste.
Les principaux dirigeants ivoiriens devaient se retrouver jeudi à
Ouagadougou (Burkina Faso) pour donner un nouvel horizon à ce processus
électoral, après le rendez-vous manqué du 29 novembre.
Les relations franco-ivoiriennes se sont réchauffées avec l`arrivée au
pouvoir en mai 2007 de Nicolas Sarkozy, mais leur retour à la normale a été
conditionné par Paris à la tenue de l`élection présidentielle.
Longtemps privilégiées, les relations entre Abidjan et Paris se sont
dégradées sous la présidence de Jacques Chirac après la tentative de coup
d`Etat contre M. Gbagbo en 2002, dont les partisans ont accusé Paris d`avoir
soutenu les rebelles des Forces nouvelles (FN).
Lors de cette conversation, le président français s`est "félicité des
progrès récemment accomplis dans la préparation des élections" et a "exprimé
l`espoir qu`une nouvelle date, aussi rapprochée que possible, serait
rapidement fixée pour la tenue du scrutin présidentiel".
Les autorités ivoiriennes viennent de reporter pour la sixième fois le
premier tour du scrutin présidentiel, dont la dernière date avait été fixée au
29 novembre.
Sans cesse reporté depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en
2005, ce scrutin est censé mettre un terme à la longue crise née d`un coup
d`Etat manqué en 2002, qui a coupé en deux le pays, ex-colonie française,
entre le Nord tenu par les rebelles et le Sud loyaliste.
Les principaux dirigeants ivoiriens devaient se retrouver jeudi à
Ouagadougou (Burkina Faso) pour donner un nouvel horizon à ce processus
électoral, après le rendez-vous manqué du 29 novembre.
Les relations franco-ivoiriennes se sont réchauffées avec l`arrivée au
pouvoir en mai 2007 de Nicolas Sarkozy, mais leur retour à la normale a été
conditionné par Paris à la tenue de l`élection présidentielle.
Longtemps privilégiées, les relations entre Abidjan et Paris se sont
dégradées sous la présidence de Jacques Chirac après la tentative de coup
d`Etat contre M. Gbagbo en 2002, dont les partisans ont accusé Paris d`avoir
soutenu les rebelles des Forces nouvelles (FN).