Le concert de Meiway pour la célébration de ses 20 ans de carrière a tenu toutes ses promesses vendredi et samedi au Palais de la culture.
Les mouchoirs ont papillonné samedi, au Palais de la culture de Treichville. Tous de couleurs jaune (couleur du sponsor), ils ont voltigé au rythme de la musique du créateur du Zoblazo, Frédéric Ehui Meiway. La salle Anoumabo (4.000 places), qui a réceptionné la fête était archicomble. La communion entre « le 13e apôtre » et son public s'inscrivait dans le cadre de la célébration de ses 20 ans de carrière musicale. Commencé sur le coup de 21 heures 50, le concert grand public a tenu toutes ses promesses. Un show sans répit. Dès sa montée sur scène, l'artiste entonne « N'Zima Kotoko », un titre hommage au peuple Appolo dont il est originaire et qui figure sur son dernier album M20. Le public est conquis et le chanteur enchaîne « Emeraude », « 100% Zoblazo », « Ahibebou », « Abidjan Godéba », tous des succès de son riche répertoire. Le public surchauffé est obligé de faire une pause. Car, la fille de l'artiste, Sarah Ehui, venue spécialement de Londres veut chanter un ''Happy Birthday'' à son père. Un moment d'émotion qui a été accompagné par un tonnerre d'applaudissement. La seconde phase du concert a pris un air plus mélancolique. « I follow my way », berce la salle et rythme avec les mouchoirs qui se balancent de gauche à droite. Mais, dès que l'artiste entonne « Monogaga», la salle est à nouveau en transe. « Obv», « Golgotha», «200% Zoblazo», « Vis-à-vis» et « Miss lolo », arrachent les spectateurs à leurs sièges. Une belle fête qui a vue la participation de plusieurs artistes venus soutenir le fils des N'Zima Kotoko. La vieille, à la salle François Lougah de 1.500 places, un concert Vip (Very important personnality), avait connu un succès similaire.
Sanou Amadou (Stagiaire)
Les mouchoirs ont papillonné samedi, au Palais de la culture de Treichville. Tous de couleurs jaune (couleur du sponsor), ils ont voltigé au rythme de la musique du créateur du Zoblazo, Frédéric Ehui Meiway. La salle Anoumabo (4.000 places), qui a réceptionné la fête était archicomble. La communion entre « le 13e apôtre » et son public s'inscrivait dans le cadre de la célébration de ses 20 ans de carrière musicale. Commencé sur le coup de 21 heures 50, le concert grand public a tenu toutes ses promesses. Un show sans répit. Dès sa montée sur scène, l'artiste entonne « N'Zima Kotoko », un titre hommage au peuple Appolo dont il est originaire et qui figure sur son dernier album M20. Le public est conquis et le chanteur enchaîne « Emeraude », « 100% Zoblazo », « Ahibebou », « Abidjan Godéba », tous des succès de son riche répertoire. Le public surchauffé est obligé de faire une pause. Car, la fille de l'artiste, Sarah Ehui, venue spécialement de Londres veut chanter un ''Happy Birthday'' à son père. Un moment d'émotion qui a été accompagné par un tonnerre d'applaudissement. La seconde phase du concert a pris un air plus mélancolique. « I follow my way », berce la salle et rythme avec les mouchoirs qui se balancent de gauche à droite. Mais, dès que l'artiste entonne « Monogaga», la salle est à nouveau en transe. « Obv», « Golgotha», «200% Zoblazo», « Vis-à-vis» et « Miss lolo », arrachent les spectateurs à leurs sièges. Une belle fête qui a vue la participation de plusieurs artistes venus soutenir le fils des N'Zima Kotoko. La vieille, à la salle François Lougah de 1.500 places, un concert Vip (Very important personnality), avait connu un succès similaire.
Sanou Amadou (Stagiaire)