La crise qui perdure au sein de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) depuis le dernier congrès, continue de défrayer la chronique.
Elu par ses camarades au soir du congrès de Yamoussoukro, le tout nouveau secrétaire général de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire ( FESCI ) Alain Durand Zagol est monté au créneau, depuis sa retraite de Yamoussoukro pour cracher sa part de vérité à Augustin Mian, également élu par ses partisans à Abidjan . Pour le nouveau promu, l’heure de donner une image de marque totalement ternie depuis plusieurs années par la faute Mian a sonné. « Nous refusons la dictature au sein de notre espace scolaire et universitaire. La FESCI doit se mettre au service des étudiants et élèves dont elle a la charge. Elle doit protéger leurs intérêts et non se retrouver dans des bras séculiers de qui que ce soit .Je suis partisan de la non violence, et fort conscient de cela, j’invite le camarade Augustin Mian à se ranger et à se débarrasser de tous ces vilains sentiments qui l’animent. Evitons les relations belliqueuses et mettons–nous ensemble pour sauver ce qui reste de l’enseignement gravement malade sinon… La Fesci n’a pas pour rôle de sévir ni à l’université, ni dans les lycées et collèges où les enseignants sont souvent pris à partie, et paient le plus lourd tribu. Je veux donner un souffle nouveau à notre organisation pour ne pas mettre à mal les autorités scolaires qui fournissent tant d’efforts pour redorer le blason déjà pollué du fait de Mian’’, avertit-il. Epluchant brièvement un pan de son programme pour la gestion de ce mouvement, Zagol affirme qu’il a toutes les facultés nécessaires pour offrir un lendemain meilleur aux élèves et étudiants de ce pays. Faisant un clin aux sympathisants de Mian, l’homme fort de la FESCI avoue qu’avec l’expérience acquise auprès des devanciers depuis plusieurs années, il fera de cette organisation un instrument de développement, toute chose qui a manqué à son adversaire,dépassé par les évènements, et donc insolvable aujourd’hui.
Alain Durand Zagol qui ne décolère pas contre le S/G sortant selon ses propres thèmes, lui reproche son inactivisme durant tout le long de son mandat, son manque d’imagination pour la cause de ses camarades, son esprit d’affairiste dans les cités universitaires où poussent ses bars et maquis comme des champignons, et enfin, l’abandon du siège de la fédération en emportant tout le matériel qui s’y trouve. Revenant sur le dernier congrès qui lui a ouvert les portes du secrétariat général de la FESC I , Zagol soutient qu’il a tenté par tous les moyens de ramener à l’ ordre son frère Mian afin qu’il s’abstienne d’une éventuelle candidature de sa part , mais c’était mal le connaître . A l’en croire , la crise qui fragilise la FESCI prendra fin quant les dinosaures entre autres, Martial Ahipeau, Guillaume Soro, Jean Blé Guirao, Charles Blé Goudé etc., accepteront un jour de s’asseoir autour d’une table pour prêcher la vraie paix . Remonté contre le ministre de la sécurité intérieure pour la descente nocturne de la police maritime dans les cité’’ U’’ dans la nuit du 4 au 5 décembre, « Zagol » a appelé Désiré Tagro au respect scrupuleux de la franchise universitaire « la police maritime n’est pas habileté à pénétrer dans nos cités universitaires pour semble- t- il, mettre de l’ordre. Nous nous élevons formellement contre cette pratique .Sa patrouille ne doit se faire ici, et qu’on ait un minimum de respect pour nous aussi .Que Tagro prenne des dispositions utiles pour ne plus que ce genre de chose ne se reproduise. Si désormais cela se répète, le gouvernement sera responsable de tout ce qui suivra’’ menace- t- il. Joint au téléphone pour avoir sa réaction face aux accusations de son concurrent, Augustin Mian, n’a pas trouvé mieux à dire que de nous taxer de pro-Zagol avant de nous raccrocher au nez. Et pourtant, nous le faisions dans le coucis de l’équilibre de l’information. Tout simplement dommage !
SAHI AUGUSTIN
à Yamoussoukro
Elu par ses camarades au soir du congrès de Yamoussoukro, le tout nouveau secrétaire général de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire ( FESCI ) Alain Durand Zagol est monté au créneau, depuis sa retraite de Yamoussoukro pour cracher sa part de vérité à Augustin Mian, également élu par ses partisans à Abidjan . Pour le nouveau promu, l’heure de donner une image de marque totalement ternie depuis plusieurs années par la faute Mian a sonné. « Nous refusons la dictature au sein de notre espace scolaire et universitaire. La FESCI doit se mettre au service des étudiants et élèves dont elle a la charge. Elle doit protéger leurs intérêts et non se retrouver dans des bras séculiers de qui que ce soit .Je suis partisan de la non violence, et fort conscient de cela, j’invite le camarade Augustin Mian à se ranger et à se débarrasser de tous ces vilains sentiments qui l’animent. Evitons les relations belliqueuses et mettons–nous ensemble pour sauver ce qui reste de l’enseignement gravement malade sinon… La Fesci n’a pas pour rôle de sévir ni à l’université, ni dans les lycées et collèges où les enseignants sont souvent pris à partie, et paient le plus lourd tribu. Je veux donner un souffle nouveau à notre organisation pour ne pas mettre à mal les autorités scolaires qui fournissent tant d’efforts pour redorer le blason déjà pollué du fait de Mian’’, avertit-il. Epluchant brièvement un pan de son programme pour la gestion de ce mouvement, Zagol affirme qu’il a toutes les facultés nécessaires pour offrir un lendemain meilleur aux élèves et étudiants de ce pays. Faisant un clin aux sympathisants de Mian, l’homme fort de la FESCI avoue qu’avec l’expérience acquise auprès des devanciers depuis plusieurs années, il fera de cette organisation un instrument de développement, toute chose qui a manqué à son adversaire,dépassé par les évènements, et donc insolvable aujourd’hui.
Alain Durand Zagol qui ne décolère pas contre le S/G sortant selon ses propres thèmes, lui reproche son inactivisme durant tout le long de son mandat, son manque d’imagination pour la cause de ses camarades, son esprit d’affairiste dans les cités universitaires où poussent ses bars et maquis comme des champignons, et enfin, l’abandon du siège de la fédération en emportant tout le matériel qui s’y trouve. Revenant sur le dernier congrès qui lui a ouvert les portes du secrétariat général de la FESC I , Zagol soutient qu’il a tenté par tous les moyens de ramener à l’ ordre son frère Mian afin qu’il s’abstienne d’une éventuelle candidature de sa part , mais c’était mal le connaître . A l’en croire , la crise qui fragilise la FESCI prendra fin quant les dinosaures entre autres, Martial Ahipeau, Guillaume Soro, Jean Blé Guirao, Charles Blé Goudé etc., accepteront un jour de s’asseoir autour d’une table pour prêcher la vraie paix . Remonté contre le ministre de la sécurité intérieure pour la descente nocturne de la police maritime dans les cité’’ U’’ dans la nuit du 4 au 5 décembre, « Zagol » a appelé Désiré Tagro au respect scrupuleux de la franchise universitaire « la police maritime n’est pas habileté à pénétrer dans nos cités universitaires pour semble- t- il, mettre de l’ordre. Nous nous élevons formellement contre cette pratique .Sa patrouille ne doit se faire ici, et qu’on ait un minimum de respect pour nous aussi .Que Tagro prenne des dispositions utiles pour ne plus que ce genre de chose ne se reproduise. Si désormais cela se répète, le gouvernement sera responsable de tout ce qui suivra’’ menace- t- il. Joint au téléphone pour avoir sa réaction face aux accusations de son concurrent, Augustin Mian, n’a pas trouvé mieux à dire que de nous taxer de pro-Zagol avant de nous raccrocher au nez. Et pourtant, nous le faisions dans le coucis de l’équilibre de l’information. Tout simplement dommage !
SAHI AUGUSTIN
à Yamoussoukro