Des responsables de presse, membres de l’Union des patrons de presse pour la République (UPPR), sont entrés en dissidence contre le président de cette organisation, Laurent Tapé Koulou. Ils lui reprochent d’avoir attaqué, par le biais de son journal « Le National », le Président Laurent Gbagbo.
A peine créée, l’Union des patrons de presse pour la République (UPPR) est secouée par les vents de la dissidence. Des membres de cette organisation, responsables de presse, sont, en effet, depuis quelques jours en conflit avec le président de UPPR, Laurent Tapé Koulou. Ils gardent une dent contre ce dernier pour avoir attaquer à travers son journal « Le National » le Président de la République. Alors que dans les principes de cette organisation, il est question de s’engager aux côtés de Laurent Gbagbo et de la défense en cas d’attaque de la part de certains journaux ou personnalités politiques. Pour ce faire, la dissidence conduite par le directeur de publication de « Le Soleil d’Abidjan » et d’«Afrique Matin », Claude Wakis entend mettre sur pied, le lundi 11 janvier prochain, l’Union des patrons de presse pour la victoire de Gbagbo. « Nous sommes en démocratie et chacun est libre de toute initiative. Et puis pourquoi, voulez-vous que je reste à UPPR quand le journal que nous avions choisi comme moyen de soutien à Laurent Gbagbo, attaque celui-ci et son entourage. Il sali les gérants des secteurs stratégiques tel que le Port autonome d’Abidjan », a fait savoir Claude Wakis. Selon lui, c’est une façon curieuse de soutenir quelqu’un et d’ajouter : « c’est gênant qu’on écrive des insanités sur quelqu’un parce qu’il n’a pas pu satisfaire toutes vos demandes d’aides financières ». Ainsi, depuis lors l’UPPR se trouve déchirer et Claude Wakis et ses amis dissidents ont décidé de s’engager ouvertement et pleinement, « sans tricher », auprès de Laurent Gbagbo.
R.N.F
A peine créée, l’Union des patrons de presse pour la République (UPPR) est secouée par les vents de la dissidence. Des membres de cette organisation, responsables de presse, sont, en effet, depuis quelques jours en conflit avec le président de UPPR, Laurent Tapé Koulou. Ils gardent une dent contre ce dernier pour avoir attaquer à travers son journal « Le National » le Président de la République. Alors que dans les principes de cette organisation, il est question de s’engager aux côtés de Laurent Gbagbo et de la défense en cas d’attaque de la part de certains journaux ou personnalités politiques. Pour ce faire, la dissidence conduite par le directeur de publication de « Le Soleil d’Abidjan » et d’«Afrique Matin », Claude Wakis entend mettre sur pied, le lundi 11 janvier prochain, l’Union des patrons de presse pour la victoire de Gbagbo. « Nous sommes en démocratie et chacun est libre de toute initiative. Et puis pourquoi, voulez-vous que je reste à UPPR quand le journal que nous avions choisi comme moyen de soutien à Laurent Gbagbo, attaque celui-ci et son entourage. Il sali les gérants des secteurs stratégiques tel que le Port autonome d’Abidjan », a fait savoir Claude Wakis. Selon lui, c’est une façon curieuse de soutenir quelqu’un et d’ajouter : « c’est gênant qu’on écrive des insanités sur quelqu’un parce qu’il n’a pas pu satisfaire toutes vos demandes d’aides financières ». Ainsi, depuis lors l’UPPR se trouve déchirer et Claude Wakis et ses amis dissidents ont décidé de s’engager ouvertement et pleinement, « sans tricher », auprès de Laurent Gbagbo.
R.N.F