Les Hauts Conseillers, le cabinet,le personnel administratif et le personnel militaire ont au cours d’une sympathique cérémonie qui a eu lieu ce jeudi 21 janvier en fin de matinée au Conseil constitutionnel, l’occasion de présenter leurs vœux du nouvel an à leur président, le Pr Yao N’Dre. Ils ont par la voix de Mme Sess Angora Kacou Hortense, porte-parole des Conseillers et du Secrétaire général de ladite Institution Gbassi Kodjané, demandé au bon Dieu d’accorder son assistance au président du Conseil Constitutionnel pour mener à bien sa mission. Ils lui ont promis leur engagement et leur dévouement pour que la paix par le droit qui est une des exigences que dot faire respecter le Conseil constitutionnel, avec cette élection de sortie de crise, devienne réalité.
Yao N’Dré qui s’est félicité de l’ardeur au travail de ses collaborateurs, salué leur compétence et leur loyauté et sincérité, les as exhortés à demeurer davantage au travail pour contribuer à bâtir la Nouvelle Côte d’Ivoire. Pour Yao N’Dré, le travail qui a une valeur spirituelle « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front », fait du travail un élément de libération et de liberté. Grâce au travail, le citoyen, a un salaire et il peut s’offrir ce qu’il lui est utile pour son bien-être. Le travail, restitue également à l’homme sa dignité. Voilà pourquoi, il comprend difficilement des fonctionnaires soient des abonnés aux grèves et qu’ils soient à réclamer un salaire à la fin du mois. Alors le salaire n’est que la contrepartie de la force de travail fourni sur 30 jours ou sur une semaine. Le président du Conseil constitutionnel est davantage ulcéré quand il voit les étudiants faire des grèves, un loisir et des jeunes descolarisés, qui s’adonnent à l’oisiveté alors que la nature leur offre tout. Il a plaidé pour l’avènement d’une nouvelle Côte d’Ivoire, basée sur des valeurs et réconciliée avec elle-même.
Le Pr N’Dré a assigné à son institution qui doit honorer deux engagements : celui du travail et de la nouvelle Côte d’Ivoire, le devoir de servir de locomotive à toute la nation pour réaliser le chantier de la construction de la Nouvelle Côte d’Ivoire. Il a donc rappelé ce qu’il a mené comme actions depuis sa nomination, le 1 septembre 2009 à la tête du Conseil constitutionnel. Toutes les actions qu’il a mené en rencontrant toute la classe politique nationale, les représentants de la communauté internationale et même les frères en rupture de banc avec le pays, à Bouaké. Tout cela avec en prime, la liste des candidats à la présidentielle sur la base des textes de loi. Yao N’Dré a dit sa foi de voir la Côte d’Ivoire qui a opté pour la république, ne pas faillir à sa vision et il a demandé pour ce faire aux ivoiriens d’avoir un comportement conséquent.
A la lumière de l’affaire de présemption de fraude ou l’affaire Mambé, il a dénoncé la solidarité désobligeante de certains Atchans. Comme lui et ses collaborateurs ont décidé de porter le Conseil constitutionnel dans le foyer des ivoiriens pour qu’ils aient confiance en cette institution qui sans organiser les élections politiques (présidentielle et législatives), les valident en aval comme en amont et devant laquelle le nouveau Président de la république prête serment en jurant de respecter la constitution, il estime qu’ « on ne peut pas ne pas être d’accord avec son pays » encore moins qu’ « on ne peut pas trahir son pays ». Si on se rend coupable de telles parjures, il serait bon « de démissionner de ses fonctions » comme le font les occidentaux. Yao N’Dré qui fait de la réussite du processus un véritable défi pour son institution,a promis une fois le cap franchi, une grande fête à ses collaborateurs puis une politique de développement et de rayonnement du Conseil constitutionnel.
Franck A. Zagbayou
zagbayou@fratmat.info
Yao N’Dré qui s’est félicité de l’ardeur au travail de ses collaborateurs, salué leur compétence et leur loyauté et sincérité, les as exhortés à demeurer davantage au travail pour contribuer à bâtir la Nouvelle Côte d’Ivoire. Pour Yao N’Dré, le travail qui a une valeur spirituelle « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front », fait du travail un élément de libération et de liberté. Grâce au travail, le citoyen, a un salaire et il peut s’offrir ce qu’il lui est utile pour son bien-être. Le travail, restitue également à l’homme sa dignité. Voilà pourquoi, il comprend difficilement des fonctionnaires soient des abonnés aux grèves et qu’ils soient à réclamer un salaire à la fin du mois. Alors le salaire n’est que la contrepartie de la force de travail fourni sur 30 jours ou sur une semaine. Le président du Conseil constitutionnel est davantage ulcéré quand il voit les étudiants faire des grèves, un loisir et des jeunes descolarisés, qui s’adonnent à l’oisiveté alors que la nature leur offre tout. Il a plaidé pour l’avènement d’une nouvelle Côte d’Ivoire, basée sur des valeurs et réconciliée avec elle-même.
Le Pr N’Dré a assigné à son institution qui doit honorer deux engagements : celui du travail et de la nouvelle Côte d’Ivoire, le devoir de servir de locomotive à toute la nation pour réaliser le chantier de la construction de la Nouvelle Côte d’Ivoire. Il a donc rappelé ce qu’il a mené comme actions depuis sa nomination, le 1 septembre 2009 à la tête du Conseil constitutionnel. Toutes les actions qu’il a mené en rencontrant toute la classe politique nationale, les représentants de la communauté internationale et même les frères en rupture de banc avec le pays, à Bouaké. Tout cela avec en prime, la liste des candidats à la présidentielle sur la base des textes de loi. Yao N’Dré a dit sa foi de voir la Côte d’Ivoire qui a opté pour la république, ne pas faillir à sa vision et il a demandé pour ce faire aux ivoiriens d’avoir un comportement conséquent.
A la lumière de l’affaire de présemption de fraude ou l’affaire Mambé, il a dénoncé la solidarité désobligeante de certains Atchans. Comme lui et ses collaborateurs ont décidé de porter le Conseil constitutionnel dans le foyer des ivoiriens pour qu’ils aient confiance en cette institution qui sans organiser les élections politiques (présidentielle et législatives), les valident en aval comme en amont et devant laquelle le nouveau Président de la république prête serment en jurant de respecter la constitution, il estime qu’ « on ne peut pas ne pas être d’accord avec son pays » encore moins qu’ « on ne peut pas trahir son pays ». Si on se rend coupable de telles parjures, il serait bon « de démissionner de ses fonctions » comme le font les occidentaux. Yao N’Dré qui fait de la réussite du processus un véritable défi pour son institution,a promis une fois le cap franchi, une grande fête à ses collaborateurs puis une politique de développement et de rayonnement du Conseil constitutionnel.
Franck A. Zagbayou
zagbayou@fratmat.info
