A 13h30, hier, il y avait encore une fumée dense qui envahissait la cour de l’usine de traitement de fèves de cacao, la Société africaine de cacao (Saco). Les sapeurs-pompiers s’afférant à maîtriser les derniers foyers de feu. Le coordonnateur, un agent de l’usine, distribue du pain et de la sardine à tous ceux qui sont mobilisés dans l’opération de circonscription du sinistre. C’est que, depuis tôt le matin, l’usine de Saco, en zone 4, dans la commune de Marcory, est victime d’un incendie. Le feu était visible vers 5h45, selon le directeur des opérations (technique), Pierre Akadjé.
A son arrivée à 6h30, les sapeurs-pompiers sont déjà sur les lieux. Les soldats du feu déplorent que la borne d’incendie soit située à 150 mètres de l’entreprise. Ce qui constitue la principale difficulté rencontrée. Aussi souhaitent-ils que l’entreprise installe une borne à l’entrée de l’usine.
C’est d’un des magasins de stockage que le feu se déclenche. Tout naturellement, le stock de produits finis s’y trouvant est parti en fumée. Il s’agit de beurre, de poudre et de tourteau de cacao. Évaluation de la perte ? «C’est énorme. Mais pour le moment, on ne peut pas avancer de chiffre, aussi bien en tonnage qu’en termes financiers», se contente de dire M. Akadjé. Il ajoute : «c’est certainement un court-circuit, il n’y a personne à l’usine à cette heure. Mais, on ne peut pas être affirmatif totalement».
Automatiquement, la direction se réunit pour adopter une conduite à tenir. La rencontre d’urgence au sommet prend fin juste avant notre arrivée. Au terme de cette première réunion, la décision principale est de rétablir la fourniture en électricité. En tout cas, la direction espère rapidement remettre les machines en marche et reprendre ainsi les activités. Car, souligne le directeur des opérations, l’outil de production n’est pas touché par l’incendie. «Il faut encore un jour, pour mettre tout ça sous contrôle et redémarrer les activités», conclut-il. Saco a une capacité de traitement de 150 tonnes de fèves de cacao par jour, en beurre, poudre et tourteau. Elle emploie 200 personnes.
Adama Koné
A son arrivée à 6h30, les sapeurs-pompiers sont déjà sur les lieux. Les soldats du feu déplorent que la borne d’incendie soit située à 150 mètres de l’entreprise. Ce qui constitue la principale difficulté rencontrée. Aussi souhaitent-ils que l’entreprise installe une borne à l’entrée de l’usine.
C’est d’un des magasins de stockage que le feu se déclenche. Tout naturellement, le stock de produits finis s’y trouvant est parti en fumée. Il s’agit de beurre, de poudre et de tourteau de cacao. Évaluation de la perte ? «C’est énorme. Mais pour le moment, on ne peut pas avancer de chiffre, aussi bien en tonnage qu’en termes financiers», se contente de dire M. Akadjé. Il ajoute : «c’est certainement un court-circuit, il n’y a personne à l’usine à cette heure. Mais, on ne peut pas être affirmatif totalement».
Automatiquement, la direction se réunit pour adopter une conduite à tenir. La rencontre d’urgence au sommet prend fin juste avant notre arrivée. Au terme de cette première réunion, la décision principale est de rétablir la fourniture en électricité. En tout cas, la direction espère rapidement remettre les machines en marche et reprendre ainsi les activités. Car, souligne le directeur des opérations, l’outil de production n’est pas touché par l’incendie. «Il faut encore un jour, pour mettre tout ça sous contrôle et redémarrer les activités», conclut-il. Saco a une capacité de traitement de 150 tonnes de fèves de cacao par jour, en beurre, poudre et tourteau. Elle emploie 200 personnes.
Adama Koné
