ABIDJAN - La Banque mondiale a exprimé jeudi à Abidjan son soutien au processus de paix en Côte d`Ivoire, qui doit aboutir à une élection présidentielle officiellement prévue fin février-début mars.
"Le pays a fait de grands progrès après une terrible tragédie", a déclaré le président de la BM, Robert Zoellick, en référence au coup d`Etat manqué de 2002, qui a plongé la Côte d`Ivoire dans une grave crise politico-militaire.
"Je sais qu`il y a encore beaucoup de travail à faire", a-t-il poursuivi devant la presse, après une rencontre avec le Premier ministre Guillaume Soro.
La Banque mondiale "essaie de soutenir le processus de réconciliation politique. Nous voulons essayer d`utiliser cela comme une base pour aider à la croissance économique", a-t-il dit.
Censé aboutir à la tenue d`un scrutin présidentiel sans cesse reporté depuis 2005, le processus électoral ivoirien a été marqué ces dernières semaines par de nouvelles difficultés, notamment une polémique sur la liste des votants.
"Sur la base des progrès déjà réalisés par la Côte d`Ivoire, nous avons commencé le processus de remise d`une partie de la dette", a rappelé M. Zoellick.
La Côte d`Ivoire s`est qualifiée en 2009 en vue d`atteindre le "point d`achèvement" de l`Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE), qui lui permet d`espérer une très importante réduction de sa dette extérieure.
Pour obtenir cet allègement, le pays s`est engagé à un ensemble de réformes, notamment en matière de lutte contre la pauvreté.
M. Zoellick a indiqué également vouloir discuter des "réformes dans le secteur du cacao", jugeant qu`on pouvait "mieux faire" dans ce domaine.
Le pays est le premier producteur mondial de la fève et emploie quatre millions de personnes. Mais l`organisation de la filière et la répartition des revenus sont critiquées par les institutions internationales.
Le patron de la BM, arrivé mercredi soir à Abidjan pour 72 heures après une étape en Sierra Leone, doit se rendre ensuite en Ethiopie.
"Le pays a fait de grands progrès après une terrible tragédie", a déclaré le président de la BM, Robert Zoellick, en référence au coup d`Etat manqué de 2002, qui a plongé la Côte d`Ivoire dans une grave crise politico-militaire.
"Je sais qu`il y a encore beaucoup de travail à faire", a-t-il poursuivi devant la presse, après une rencontre avec le Premier ministre Guillaume Soro.
La Banque mondiale "essaie de soutenir le processus de réconciliation politique. Nous voulons essayer d`utiliser cela comme une base pour aider à la croissance économique", a-t-il dit.
Censé aboutir à la tenue d`un scrutin présidentiel sans cesse reporté depuis 2005, le processus électoral ivoirien a été marqué ces dernières semaines par de nouvelles difficultés, notamment une polémique sur la liste des votants.
"Sur la base des progrès déjà réalisés par la Côte d`Ivoire, nous avons commencé le processus de remise d`une partie de la dette", a rappelé M. Zoellick.
La Côte d`Ivoire s`est qualifiée en 2009 en vue d`atteindre le "point d`achèvement" de l`Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE), qui lui permet d`espérer une très importante réduction de sa dette extérieure.
Pour obtenir cet allègement, le pays s`est engagé à un ensemble de réformes, notamment en matière de lutte contre la pauvreté.
M. Zoellick a indiqué également vouloir discuter des "réformes dans le secteur du cacao", jugeant qu`on pouvait "mieux faire" dans ce domaine.
Le pays est le premier producteur mondial de la fève et emploie quatre millions de personnes. Mais l`organisation de la filière et la répartition des revenus sont critiquées par les institutions internationales.
Le patron de la BM, arrivé mercredi soir à Abidjan pour 72 heures après une étape en Sierra Leone, doit se rendre ensuite en Ethiopie.