Douze sélections dont la Côte d'Ivoire ont quitté précipitamment la compétition avec des fortunes diverses. Toujours annoncés vainqueurs, toujours portés disparus. Les Eléphants restent incapables de tenir leur rang. En réalité, Drogba Didier et ses camarades ont une réputation surfaite. Au fil des Can, ils avancent à reculons en provoquant des morts comme ce fut le cas à l'intérieur du pays suite à la défaite (2-3) devant l'Algérie. Par ailleurs, on a découvert des sélections comme le Mali, la Zambie, le Malawi, le Cameroun, la Tunisie, le Burkina Faso, le Gabon, l'Angola, le Bénin, le Mozambique, ont obtenu des résultats à polémiques. Alors qu'on ne vendait pas cher leur peau, certaines de ces formations ont créé la surprise en déroutant des ténors :
Gabon-Cameroun (1-0) ; Malawi-Algérie (3-0) ; Mali-Angola (4-4) entre autres rencontres. Ce match d'ouverture a battu tous les records de suspense et de but au cours de la compétition. Le Cameroun a une circonstance atténuante, au contraire de la Côte d'ivoire, car les Lions indomptables ont perdu devant les vainqueurs de l'épreuve. Au final, la Can a commencé sur des chapeaux de roue pour les cendrillons et les outsiders. Puis, les ténors ont pris le contrôle de la compétition pour confirmer l'ordre préétabli. En atteste la configuration des quarts de finale et du dernier carré de l'épreuve.
Autre aspect non négligeable, c'est que l'Egypte a montré que les professionnels évoluant en Europe ne font pas forcément de grandes sélections africaines. Et que des techniciens nationaux existent bel et bien sur le continent et qui peuvent faire l'affaire plutôt que de prendre des européens au chômage. Encore faut-il que le choix des nationaux se fasse sans complaisance.
Marc Koffi
Gabon-Cameroun (1-0) ; Malawi-Algérie (3-0) ; Mali-Angola (4-4) entre autres rencontres. Ce match d'ouverture a battu tous les records de suspense et de but au cours de la compétition. Le Cameroun a une circonstance atténuante, au contraire de la Côte d'ivoire, car les Lions indomptables ont perdu devant les vainqueurs de l'épreuve. Au final, la Can a commencé sur des chapeaux de roue pour les cendrillons et les outsiders. Puis, les ténors ont pris le contrôle de la compétition pour confirmer l'ordre préétabli. En atteste la configuration des quarts de finale et du dernier carré de l'épreuve.
Autre aspect non négligeable, c'est que l'Egypte a montré que les professionnels évoluant en Europe ne font pas forcément de grandes sélections africaines. Et que des techniciens nationaux existent bel et bien sur le continent et qui peuvent faire l'affaire plutôt que de prendre des européens au chômage. Encore faut-il que le choix des nationaux se fasse sans complaisance.
Marc Koffi
