Le fpi sur le départ

Tout faire pour énerver tout le temps les ivoiriens. C’est à ce plaisir que s’adonne le Front Populaire Ivoirien (fpi).Ce parti qui n’a jamais voulu le bonheur du peuple ivoirien. Depuis son accession au pouvoir en 2000, le fpi n’a fait que semer dans le cœur des ivoiriens, la désolation, le désespoir et la tristesse. Ce parti a plongé le pays dans une situation lamentable à tel point que les habitants ne savent plus à quel saint se vouer. La mauvaise gestion du pouvoir d’Etat par les refondateurs a conduit le pays dans cet état triste constaté par tous. Une situation de ni guerre, ni paix où la misère bat son plein avec la destruction de toutes les infrastructures économiques. Un pays où les lois sont bafouées et où un président règne sans être élu. Non content de cette dramatique situation, le fpi a décidé d’achever les Ivoiriens en les privant d’eau et en plongeant ce qui reste du pays dans le noir. Quelle méchanceté ! N’ayant aucun argument pour affronter leurs adversaires politiques au cours des prochaines campagnes électorales, les refondateurs ont décidé de tout mélanger. Leur plan, faire démettre contre vents et marées le président de la cei, Beugré Mambé, de son poste. Ensuite, chasser le premier ministre Guillaume Soro de son fauteuil. Tout ceci, pour être maître de la situation. C'est-à-dire, positionner Desiré Tagro à la primature et le responsabiliser dans l’organisation des élections. Ainsi, le fpi pourra aisément frauder pour sa victoire. Malheureusement, les ivoiriens ont vu le jeu des refondateurs. La situation pourrait alors se retourner contre leur piètre parti. Déjà, les fonctionnaires dans les zones concernées par le délestage grognent. Certains même menaceraient d’abandonner leur poste pour regagner Abidjan. Concernant « l’affaire fraude à la cei », la population serait sur le qui- vive. A entendre les commentaires des uns et des autres dans la ville, le fpi n’échappera pas, cette fois à cette situation. Il sera pris à son propre piège car « trop c’est trop » selon les dires des populations. Que les refondateurs sachent que « Le couteau qui sert à manger, c’est celui-là même qui blesse».Si le fpi persiste dans sa logique, le peuple sera donc son propre couteau.

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