Il nous a été donné d’entendre depuis “ailleurs’’ le principal collaborateur du Président de la République de Côte d’Ivoire le vendredi 05 février sur une Radio “d’ailleurs’’ : “Nous sommes venu solliciter le concours de l’astre “d’ailleurs’’ pour nous aider à la sortie de la crise’’ (Mambé, Justice, Liste Electorale, Divo et Man en flammes, la classe ouvrière en embuscade, du malodorant des casernes en armes).
NOUS EN AVONS ASSEZ de cet “ailleurs’’-miracle. Ce lundi 08 février, toujours sur la Radio “d’ailleurs’’, le célèbre collaborateur de nous entretenir : “ailleurs’’ nous a entendu, il doit recevoir dans la semaine les protagonistes de la crise et nous trouver une “SOLUTION’’… solution miracle certainement ? Gouvernants, classe politique ivoirienne un peu de gène, beaucoup de fierté, forêt de noblesse. Protagonistes, allez vous promener “ailleurs’’ et vous reviendrez honteux. Pourvu que le peuple ivoirien ne vous égratigne pas.
Par la grâce de Dieu, je suis le fils de cet “ailleurs’’ à travers mon Illustre Géniteur par l’exil et la déportation. Le Martyr de l’intolérance coloniale partagera la vie des Ivoiriens, participant activement (je pèse le mot) à la lutte anticolonialiste et s’intégrera à la société ivoirienne avec la Communauté Hamalliste qu’il avait entre-temps fondée, sans avoir cessé d’être Malien. Mon père Cheick Yacouba Sylla dans la grandeur volonté divine, est mort en Ivoirien. (Que Dieu exalte son âme !). Très pénétré par cette évidence irréfutable, Anc Député de Nioro-du-Sahel (Mali) février 1959, Anc Collaborateur du Président F.H.Boigny mars 1964 à décembre 1993, je sais que je viens de quelque part… d’un grand “ailleurs’’, le Soudan-Mali. Gloire à Dieu !
Je connais l’histoire du bout du bois qui a séjourné un siècle dans l’eau et qui ne peut rester que lui-même. En toute humilité, c’est fort de ce moi-même, forgé à l’école du Soufisme et de la vie, “Il n’y a pas de vérité qui vaille sans la conviction d’appartenir à un idéal, un pays, une patrie’’.
Notre réflexion-lettre ouverte en date du 21 janvier 2010 : « Aller se chercher ailleurs », quelle déchirante tragédie… est un cri de cœur qui ne peut demeurer dans le panier de l’indifférence, voire, du mépris de nos gouvernants étrangement sous colonie “d’ailleurs’’. Nous avons paraphrasé la vérité ensoleillée de Rabiatou Sera Diallo et Jean Marie Doré de Guinée, dixit : “les Affaires de Guinée se règlent en Guinée’’ (15 janvier 2010). Dans notre interpellante adresse du 21 janvier, en probité, nous avons illustré cette vérité fondamentale : “Les Affaires de la Côte d’Ivoire se règlent en Côte d’Ivoire’’. Vérité de la Vérité !
Comment ne pas être offusqué, indigné, douloureusement déchiré dans notre civique conviction, le fait de vivre et de constater que nos gouvernants savent lire les journaux comme source d’information pour entreprendre une instance en justice contre le Président de la CEI , mais, lisent en diagonale, les contributions-réflexions de la raison discursive des citoyens et compatriotes, non gagnés par l’amnésie et le dérèglement mental, et qui s’investissent dans l’exercice d’aimer et de pratiquer la Vérité : “Les Affaires de la Côte d’Ivoire se règlent en Côte d’Ivoire’’. Se refuser à cette vérité d’Eglise et de Mosquée c’est faire dans le banditisme politique. Nous avons l’humilité de savoir que nous ne sommes pas habités par “une seconde vue ésotérique’’… Par notre certitude d’analyse, notre probité d’exploration du trésor historique de la gouvernance des peuples, gouvernance fondée sur l’ancrage de la souveraineté inviolable, nous nous fondons pour affirmer (sorte de défi) que jamais “ailleurs’’ sera la solution boule miracle de notre crise. L’astre de cet “ailleurs’’ qui, depuis mars 2007, voltige dans le cosmos ivoirien a une origine, construite par les paramètres ivoiriens dans les circonstances de la gouvernance ivoirienne. De grâce, alors, que la mémoire amnésique cesse de s’abuser et de croire pouvoir nous abuser.
Nous en avons assez ! Gouvernants ivoiriens, attention !!! Le Peuple ivoirien a de la mémoire, le Peuple ivoirien se reconnaît en lui-même, il ne saurait être pris en otage par les calculs d’intérêts morbides, politiciens et d’ambitions en manque de lucidité. Nous en avons assez de cet “ailleurs’’ de la duplicité.
Félix Houphouët-Boigny, la Fondation pour la recherche de la Paix à Yamoussoukro ne sont pas des légendes et contes pour enfants.
En la Miséricorde de Dieu, VIVE LA COTE D ’IVOIRE ! INCHALLAH !
NOUS EN AVONS ASSEZ de cet “ailleurs’’-miracle. Ce lundi 08 février, toujours sur la Radio “d’ailleurs’’, le célèbre collaborateur de nous entretenir : “ailleurs’’ nous a entendu, il doit recevoir dans la semaine les protagonistes de la crise et nous trouver une “SOLUTION’’… solution miracle certainement ? Gouvernants, classe politique ivoirienne un peu de gène, beaucoup de fierté, forêt de noblesse. Protagonistes, allez vous promener “ailleurs’’ et vous reviendrez honteux. Pourvu que le peuple ivoirien ne vous égratigne pas.
Par la grâce de Dieu, je suis le fils de cet “ailleurs’’ à travers mon Illustre Géniteur par l’exil et la déportation. Le Martyr de l’intolérance coloniale partagera la vie des Ivoiriens, participant activement (je pèse le mot) à la lutte anticolonialiste et s’intégrera à la société ivoirienne avec la Communauté Hamalliste qu’il avait entre-temps fondée, sans avoir cessé d’être Malien. Mon père Cheick Yacouba Sylla dans la grandeur volonté divine, est mort en Ivoirien. (Que Dieu exalte son âme !). Très pénétré par cette évidence irréfutable, Anc Député de Nioro-du-Sahel (Mali) février 1959, Anc Collaborateur du Président F.H.Boigny mars 1964 à décembre 1993, je sais que je viens de quelque part… d’un grand “ailleurs’’, le Soudan-Mali. Gloire à Dieu !
Je connais l’histoire du bout du bois qui a séjourné un siècle dans l’eau et qui ne peut rester que lui-même. En toute humilité, c’est fort de ce moi-même, forgé à l’école du Soufisme et de la vie, “Il n’y a pas de vérité qui vaille sans la conviction d’appartenir à un idéal, un pays, une patrie’’.
Notre réflexion-lettre ouverte en date du 21 janvier 2010 : « Aller se chercher ailleurs », quelle déchirante tragédie… est un cri de cœur qui ne peut demeurer dans le panier de l’indifférence, voire, du mépris de nos gouvernants étrangement sous colonie “d’ailleurs’’. Nous avons paraphrasé la vérité ensoleillée de Rabiatou Sera Diallo et Jean Marie Doré de Guinée, dixit : “les Affaires de Guinée se règlent en Guinée’’ (15 janvier 2010). Dans notre interpellante adresse du 21 janvier, en probité, nous avons illustré cette vérité fondamentale : “Les Affaires de la Côte d’Ivoire se règlent en Côte d’Ivoire’’. Vérité de la Vérité !
Comment ne pas être offusqué, indigné, douloureusement déchiré dans notre civique conviction, le fait de vivre et de constater que nos gouvernants savent lire les journaux comme source d’information pour entreprendre une instance en justice contre le Président de la CEI , mais, lisent en diagonale, les contributions-réflexions de la raison discursive des citoyens et compatriotes, non gagnés par l’amnésie et le dérèglement mental, et qui s’investissent dans l’exercice d’aimer et de pratiquer la Vérité : “Les Affaires de la Côte d’Ivoire se règlent en Côte d’Ivoire’’. Se refuser à cette vérité d’Eglise et de Mosquée c’est faire dans le banditisme politique. Nous avons l’humilité de savoir que nous ne sommes pas habités par “une seconde vue ésotérique’’… Par notre certitude d’analyse, notre probité d’exploration du trésor historique de la gouvernance des peuples, gouvernance fondée sur l’ancrage de la souveraineté inviolable, nous nous fondons pour affirmer (sorte de défi) que jamais “ailleurs’’ sera la solution boule miracle de notre crise. L’astre de cet “ailleurs’’ qui, depuis mars 2007, voltige dans le cosmos ivoirien a une origine, construite par les paramètres ivoiriens dans les circonstances de la gouvernance ivoirienne. De grâce, alors, que la mémoire amnésique cesse de s’abuser et de croire pouvoir nous abuser.
Nous en avons assez ! Gouvernants ivoiriens, attention !!! Le Peuple ivoirien a de la mémoire, le Peuple ivoirien se reconnaît en lui-même, il ne saurait être pris en otage par les calculs d’intérêts morbides, politiciens et d’ambitions en manque de lucidité. Nous en avons assez de cet “ailleurs’’ de la duplicité.
Félix Houphouët-Boigny, la Fondation pour la recherche de la Paix à Yamoussoukro ne sont pas des légendes et contes pour enfants.
En la Miséricorde de Dieu, VIVE LA COTE D ’IVOIRE ! INCHALLAH !