L’épée du Woody continue de planer cherchant la prochaine cible à atteindre. Et la prochaine proie de Gbagbo pourrait être les journaux d’opposition. Du moins si on s’en tient aux indiscrétions logées au cœur de la refondation.
Après l’exploit qu’il vient de réaliser en faisant sauter dans cette atmosphère sensible le verrou Mambé et en balayant le gouvernement, la prochaine frasque du Golden Boy du Fpi, semble être le musèlement de la presse proche de l’opposition. Et des instructions seraient données à ce sujet. Dans leur volonté de caporaliser le pouvoir d’Etat, les frontistes ne veulent nullement être gênés par l’opposition encore moins par les médias, surtout ceux qui sont engagés aux côtés des partis politiques de l’opposition. Les dernières mesures radicales de Laurent Gbagbo diffusées ces jours-ci pourraient s’étendre aux journaux « verts ». Ainsi donc, au nom du fameux article 48 de la Constitution, le sésame par excellence, le manitou du palais présidentiel envisagerait d’arrêter des mesures vigoureuses contre certains canards qui ont un regard très critique sur ses faits et gestes. Une source très proche du palais présidentiel n’a pas hésité à confirmer cette information. Elle précise par ailleurs que Laurent Gbagbo serait très remonté contre certains tabloïdes, qu’il dit « empoissonner » son pouvoir. Et il manœuvre pour se débarrasser de ce qu’il qualifie de gangrène. Selon notre source, la méthode qui sera utilisée dans ce cas d’espèce, sera celle expérimentée au Niger par le président Tandja. Cette méthode consisterait à interdire de parution certains journaux et semer le maximum de psychose au sein de la presse, aux fins de faire plier l’échine aux plumes accérées. Les indiscrétions font état de ce que deux journaux seraient déjà sur la liste noire. Des jours sombres s’annoncent pour ces tabloïdes.
JN
Après l’exploit qu’il vient de réaliser en faisant sauter dans cette atmosphère sensible le verrou Mambé et en balayant le gouvernement, la prochaine frasque du Golden Boy du Fpi, semble être le musèlement de la presse proche de l’opposition. Et des instructions seraient données à ce sujet. Dans leur volonté de caporaliser le pouvoir d’Etat, les frontistes ne veulent nullement être gênés par l’opposition encore moins par les médias, surtout ceux qui sont engagés aux côtés des partis politiques de l’opposition. Les dernières mesures radicales de Laurent Gbagbo diffusées ces jours-ci pourraient s’étendre aux journaux « verts ». Ainsi donc, au nom du fameux article 48 de la Constitution, le sésame par excellence, le manitou du palais présidentiel envisagerait d’arrêter des mesures vigoureuses contre certains canards qui ont un regard très critique sur ses faits et gestes. Une source très proche du palais présidentiel n’a pas hésité à confirmer cette information. Elle précise par ailleurs que Laurent Gbagbo serait très remonté contre certains tabloïdes, qu’il dit « empoissonner » son pouvoir. Et il manœuvre pour se débarrasser de ce qu’il qualifie de gangrène. Selon notre source, la méthode qui sera utilisée dans ce cas d’espèce, sera celle expérimentée au Niger par le président Tandja. Cette méthode consisterait à interdire de parution certains journaux et semer le maximum de psychose au sein de la presse, aux fins de faire plier l’échine aux plumes accérées. Les indiscrétions font état de ce que deux journaux seraient déjà sur la liste noire. Des jours sombres s’annoncent pour ces tabloïdes.
JN