Vahid Halilhodzic n'a plus la confiance de Jacques Anouma. Son échec cinglant à la Can angolaise reste encore en travers des gorges. Pour le remplacer « le match » entre le Belge Erik Gerets et le Néerlandais Guus Hiddink, annoncé comme épique, a finalement tourné à l'avantage du technicien belge.
Tout est clair comme le jour ! En envoyant un émissaire dans le club d'Al Hilal en Arabie Saoudite depuis quelques jours afin de finaliser certains aspects du contrat de deux ans qu'ils proposent au technicien belge, Erik Gerets, les dirigeants de la Fédération ivoirienne de football, ne peuvent plus cacher (pendant longtemps) le soleil avec la main. Le choix est fait et Vahid Halilhodzic peut commencer à faire ses valises. Le Franco-bosniaque devrait cependant recevoir un chèque en guise de frais de licenciement. Mais avant d'officialiser quoi que ce soit, la Maison de verre entend aller en douceur.
Pourquoi la piste Hiddink a été laissée…
Et surtout avec la manière. On ne peut pas leur reprocher leur prudence. En effet, tant que tout n'est pas réglé comme une horloge suisse, la Fif ne divulguera rien. L'affaire devrait vraisemblablement durer encore quelques jours. Armand Akobé, l'émissaire ivoirien en question, a donc encore quelques jours pour convaincre définitivement l'ancien entraîneur de l'Olympique de Marseille. Et si tout va bien, les Eléphants pourraient se mesurer aux Sud-Coréens le 3 mars prochain à Londres avec comme sélectionneur, Erik Gerets. Entre Guus Hiddink et Erik Gerets, le choix s'est (très) vite fait. Primo, bien que libre de tout contrat à partir du 1er juillet, le sélectionneur de la Russie, dont le contrat ne sera pas renouvelé, n'aurait pas souhaité s'engager sur le long terme avec une sélection africaine. Secondo, courtisé par la Juventus de Turin depuis quelques jours, Hiddink serait plus tenté de travailler au quotidien. Tertio, l'ex-entraîneur de Didier Drogba à Chelsea se serait montré gourmand. L'un dans l'autre, son recrutement devenait compliqué. A ce jour, les cadres de la sélection sont (déjà) informés du choix d'Erik Gerets. Le plus heureux d'entre eux s'appelle Baky Koné. Espérons qu'avec son mentor, il retrouvera sa place dans le groupe et surtout le chemin des filets.
Choilio Diomandé
Tout est clair comme le jour ! En envoyant un émissaire dans le club d'Al Hilal en Arabie Saoudite depuis quelques jours afin de finaliser certains aspects du contrat de deux ans qu'ils proposent au technicien belge, Erik Gerets, les dirigeants de la Fédération ivoirienne de football, ne peuvent plus cacher (pendant longtemps) le soleil avec la main. Le choix est fait et Vahid Halilhodzic peut commencer à faire ses valises. Le Franco-bosniaque devrait cependant recevoir un chèque en guise de frais de licenciement. Mais avant d'officialiser quoi que ce soit, la Maison de verre entend aller en douceur.
Pourquoi la piste Hiddink a été laissée…
Et surtout avec la manière. On ne peut pas leur reprocher leur prudence. En effet, tant que tout n'est pas réglé comme une horloge suisse, la Fif ne divulguera rien. L'affaire devrait vraisemblablement durer encore quelques jours. Armand Akobé, l'émissaire ivoirien en question, a donc encore quelques jours pour convaincre définitivement l'ancien entraîneur de l'Olympique de Marseille. Et si tout va bien, les Eléphants pourraient se mesurer aux Sud-Coréens le 3 mars prochain à Londres avec comme sélectionneur, Erik Gerets. Entre Guus Hiddink et Erik Gerets, le choix s'est (très) vite fait. Primo, bien que libre de tout contrat à partir du 1er juillet, le sélectionneur de la Russie, dont le contrat ne sera pas renouvelé, n'aurait pas souhaité s'engager sur le long terme avec une sélection africaine. Secondo, courtisé par la Juventus de Turin depuis quelques jours, Hiddink serait plus tenté de travailler au quotidien. Tertio, l'ex-entraîneur de Didier Drogba à Chelsea se serait montré gourmand. L'un dans l'autre, son recrutement devenait compliqué. A ce jour, les cadres de la sélection sont (déjà) informés du choix d'Erik Gerets. Le plus heureux d'entre eux s'appelle Baky Koné. Espérons qu'avec son mentor, il retrouvera sa place dans le groupe et surtout le chemin des filets.
Choilio Diomandé
