ABIDJAN - La composition du nouveau gouvernement ivoirien sera officiellement annoncée ce mardi dans la capitale politique Yamoussoukro, quatre jours après la dissolution du cabinet et de la commission électorale par le chef de l`Etat Laurent Gbagbo, a indiqué la présidence.
"Le nouveau gouvernement sera présenté aujourd`hui à 16H00 (GMT et locales) à Yamoussoukro", où se trouve actuellement M. Gbagbo, a déclaré à l`AFP le service communication de la présidence.
Premier ministre à la suite de l`accord de paix de Ouagadougou signé en 2007, le chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) Guillaume Soro a été reconduit dans ses fonctions après la double dissolution prononcée après plus d`un mois de crise à la Commission électorale indépendante (CEI).
M. Soro, qui avait entamé lundi des consultations avec les partis politiques, rencontrait mardi matin la direction des FN dans leur fief de Bouaké (centre).
Le nouveau gouvernement sera chargé de conduire le pays à un scrutin présidentiel reporté depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005 et censé clore la crise née du coup d`Etat manqué de 2002, qui a coupé le pays en un nord rebelle et un sud loyaliste.
L`opposition a conditionné son retour au gouvernement à un "rétablissement"
de la CEI dissoute.
"Le nouveau gouvernement sera présenté aujourd`hui à 16H00 (GMT et locales) à Yamoussoukro", où se trouve actuellement M. Gbagbo, a déclaré à l`AFP le service communication de la présidence.
Premier ministre à la suite de l`accord de paix de Ouagadougou signé en 2007, le chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) Guillaume Soro a été reconduit dans ses fonctions après la double dissolution prononcée après plus d`un mois de crise à la Commission électorale indépendante (CEI).
M. Soro, qui avait entamé lundi des consultations avec les partis politiques, rencontrait mardi matin la direction des FN dans leur fief de Bouaké (centre).
Le nouveau gouvernement sera chargé de conduire le pays à un scrutin présidentiel reporté depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005 et censé clore la crise née du coup d`Etat manqué de 2002, qui a coupé le pays en un nord rebelle et un sud loyaliste.
L`opposition a conditionné son retour au gouvernement à un "rétablissement"
de la CEI dissoute.