Le Vendredi 12 février 2010, le Chef de l’Etat a dans une déclaration à la nation annoncé les mesures suivantes :
· La dissolution de la CEI ;
· La dissolution du gouvernement
La raison principale qui a milité en faveur de telles mesures, selon le Chefs de l’Etat, serait l’inscription frauduleuse par le Président de la CEI de 429 000 personnes sur la liste électorale sans l’avis des acteurs de la crise et des opérateurs techniques. De l’avis du chef de l’Etat cela est une lourde faute, un manquement grave qui est à l’origine des troubles et du blocage du processus électoral. C’est pourquoi, pour ramener l’ordre, il a donc fait usage du fameux article 48 de notre constitution.
L’ANALYSE
L’APC note :
- Que l’utilisation de l’article 48 de notre constitution faite par le Chef de l’Etat est abusive tant du point de vue de la forme que du fond ;
- Les interventions intempestives du Président Gbagbo, candidat déclaré à l’élection présidentielle, dans le processus électoral sont de nature à freiner la dynamique en cour et à entacher la crédibilité dudit processus ;
- L’APC rappelle que dans ses prises de positions précédentes, elle avait clairement soutenu ce faux débat autour de la CEI n’était qu’une manœuvre pour remettre en cause l’APO ;
- L’APC note sans surprise que les appels actuels à la démission du Chef de l’Etat ne sont qu’une conséquence logique des agissements de ce Président candidat préoccupé à se maintenir au pouvoir qu’à sauvegarder la paix sociale.
RECOMMANDATION
En conséquence de ce qui précède l’APC recommande :
- La mise à l’écart de tous les candidats déclarés dans le processus de sortie de crise et des élections ;
- La dévolution des pleins pouvoirs au Premier Ministre seul garant de la neutralité et de la crédibilité des élections ;
- L’APC appelle le peuple de Côte d’Ivoire à faire barrage à la dictature rampante de Monsieur Laurent Gbagbo ;
- L’APC invite les ivoiriens à se mobiliser pour réclamer des élections irréprochables dans les plus brefs délais
Pour l’Apc
Alphonse Soro
· La dissolution de la CEI ;
· La dissolution du gouvernement
La raison principale qui a milité en faveur de telles mesures, selon le Chefs de l’Etat, serait l’inscription frauduleuse par le Président de la CEI de 429 000 personnes sur la liste électorale sans l’avis des acteurs de la crise et des opérateurs techniques. De l’avis du chef de l’Etat cela est une lourde faute, un manquement grave qui est à l’origine des troubles et du blocage du processus électoral. C’est pourquoi, pour ramener l’ordre, il a donc fait usage du fameux article 48 de notre constitution.
L’ANALYSE
L’APC note :
- Que l’utilisation de l’article 48 de notre constitution faite par le Chef de l’Etat est abusive tant du point de vue de la forme que du fond ;
- Les interventions intempestives du Président Gbagbo, candidat déclaré à l’élection présidentielle, dans le processus électoral sont de nature à freiner la dynamique en cour et à entacher la crédibilité dudit processus ;
- L’APC rappelle que dans ses prises de positions précédentes, elle avait clairement soutenu ce faux débat autour de la CEI n’était qu’une manœuvre pour remettre en cause l’APO ;
- L’APC note sans surprise que les appels actuels à la démission du Chef de l’Etat ne sont qu’une conséquence logique des agissements de ce Président candidat préoccupé à se maintenir au pouvoir qu’à sauvegarder la paix sociale.
RECOMMANDATION
En conséquence de ce qui précède l’APC recommande :
- La mise à l’écart de tous les candidats déclarés dans le processus de sortie de crise et des élections ;
- La dévolution des pleins pouvoirs au Premier Ministre seul garant de la neutralité et de la crédibilité des élections ;
- L’APC appelle le peuple de Côte d’Ivoire à faire barrage à la dictature rampante de Monsieur Laurent Gbagbo ;
- L’APC invite les ivoiriens à se mobiliser pour réclamer des élections irréprochables dans les plus brefs délais
Pour l’Apc
Alphonse Soro