La sécurité n’est pas de mise dans le camp présidentiel, ces jours-ci. La peur s’est emparée de Gbagbo et ses camarades, suite à la sortie guerrière de celui-ci, le vendredi dernier. La crainte d’un coup d’Etat et d’un soulèvement populaire s’est emparée de nos pseudo-socialistes. Conscient des dangers qui peuvent découler des mesures impopulaires qu’il a prises, l’occupant provisoire du palais s’est retranché dans la capitale politique. La phobie d’un lendemain mouvementé a emmené le très courageux Gbagbo à battre le rappel de toupes des fanci. Les camps militaires d’Akouédo, le 3ème bataillon, la gendarmerie, pour n’énumérer que ceux-ci, ont été désertés par leurs éléments. Tous ces hommes en arme sont désormais dans les rues d’Abidjan et de certaines villes de l’intérieur du pays. Armes lourdes, artilleries lourdes à leur côté, les militaires postés à tous les carrefours veillent sur le fauteuil de Gbagbo, comme du lait sur le feu. Cette disposition particulière de l’armée crée la psychose au sein des populations qui vaquent à leurs occupations, la peur au ventre. Les frontistes qui crient à tout vent qu’il n’y a pas d’opposants en Côte d’Ivoire ou encore, il n’y a rien en face, sont devenus tout tremblants après la forfaiture de leur candidat apeuré, le woody qui a fait sortir, depuis sa retraite à Yamoussoukro, les militaires des casernes. Or donc Gbagbo a peur. Mais cet état de siège, qui ne dit pas son nom, pourrait avoir un revers contre le natif de Mama. Comme Jupiter rend fou celui qui veut perdre, la refondation qui court vers son apocalypse multiplie les impairs contre la Côte d’Ivoire.
Voici ceux qui contrôlent le pays
La Côte d’Ivoire est-elle aux mains de l’armée ? C’est l’interrogation qui circule sur toutes lèvres. Et les faits qui motivent cette question sont apparents. En effet, au lendemain de la décision de dissolution de la CEI et du gouvernement, l’armée s’est fortement déployée dans les villes. A quel besoin répond cette disposition ? Seul le président sortant est habilité à répondre. Le constat qui se dégage néanmoins aujourd’hui, c’est que l’armée est à la commande des affaires même si on ne l’avoue pas explicitement. Tout est sous le contrôle de nos hommes en treillis. C’est pourquoi, ils marquent une présence effective dans les rues et villes pour le maintien de l’ordre. La Côte d’Ivoire est privée de gouvernement depuis le week-end dernier. On se demande bien si elle a encore à sa tête un président, parce que l’autorité de celui qui assume actuellement le rôle de chef d’Etat est fortement contestée. Alors, dans cet imbroglio, les forces de défense et de sécurité sont montées au créneau. Et le schéma qui nous est présenté est celui d’un pays dirigé par l’armée. A la vérité, tout semble fonctionner dans cette logique. Où et donc passé le chef de file du Fpi qui a bombé la poitrine et retroussé ses manches pour défier l’opposition et la communauté internationale ?
Les vraies ambitions de Soro
Pour gérer la sortie de crise, l’accord politique de Ouaga a consacré un cadre dans lequel le poste de premier ministre est revenu à Soro Guillaume, Secrétaire général des forces nouvelles, qui du coup, avait la lourde tâche de piloter le processus de sortie de crise. Une certaine « affaire Mambé » est venue stopper l’élan pris par la commission électorale indépendante. Une crise dans la crise, pourrait-on dire. Le Chef de l’Etat a pris des décisions inopinées, à savoir la dissolution pure et simple du gouvernement et de la Commission électorale indépendante, et le maintien de Soro Guillaume au poste de premier ministre. Actuellement, l’opinion nationale et la communauté internationale attendent de voir ce que seront les prochains jours en Eburnie. Dans tout cet imbroglio, il y a un personnage qui joue à un jeu très subtil qui échappe aux esprits ordinaires. Il se nomme Soro Kigbafori Guillaume. Ayant revendiqué la paternité de la rébellion, il s’est exposé au monde entier et à la vindicte populaire, à ses risques et périls. Calculateur à souhait, ce ressortissant du nord de la Côte-d’Ivoire a sa petite idée en tête. En fait, son ambition la plus légitime est le poste de président de la république de Côte-d’Ivoire. Car, il a eu un parcours qui a évolué crescendo. Etudiant, Secrétaire général de la Fesci, Secrétaire général des forces nouvelles, ministre, premier ministre. Il a un carnet d’adresses très fourni et impressionnant. Il a des relations au niveau mondial avec des chefs d’Etat. Il a assuré plus d’une fois l’intérim du président de la république. Il a marché sur le tapis rouge. Il vit dans les honneurs au sommet de l’Etat. Que lui reste-t-il donc sur cette terre des hommes pour atteindre une sorte de perfection ? S’asseoir dans le fauteuil présidentiel ? Il n’y a rien d’étonnant quand l’on se souvient de ses propres déclarations aux premières heures de la guerre : « Nous avons pris les armes pour chasser Gbagbo Laurent. Il faut que Gbagbo parte. » L’on peut aisément comprendre que Soro et ses compagnons d’armes n’ont pas pris le maquis pour faire le lit à une tierce personne. Ils ont pris les armes pour espérer prendre le pouvoir d’Etat, et s’asseoir eux-mêmes à la présidence. Et comme Soro est le chef de file, c’est naturellement à lui que reviendra le mythique poste de Chef de l’Etat. Pour dire que, au-delà de la crise ivoirienne à multiples rebondissements, Soro Guillaume lorgne vers la présidence. Le moindre faux pas, la moindre ouverture, et le voici à la tête de l’Etat. Et cela ne devrait surprendre personne. L’homme est ambitieux, très ambitieux même. C’est une qualité, il faut le reconnaître. Mais il est mieux d’échoir au poste de président de la république par les élections, c`est-à-dire de façon démocratique. C’est une question de civilité.
Les soldats en exil se signalent
Certains fils de la Côte-d’Ivoire connaissent l’exil, de façon volontaire ou forcée. Toujours est-il que leur vie semblait menacée, et ceci leur a valu de se retrouver à l’étranger. Malgré tout, Ils suivent de près l’actualité socio-politique, surtout en cette période de sortie de crise. Aussi, les derniers rebondissements dans la crise née de l’affaire Mambé, ont-ils suscité un vif intérêt de la part des fils de ce pays qui vivent malgré eux à l’extérieur. Ainsi donc, les militaires plus ou moins célèbres, qui sont à l’extérieur du territoire ivoirien se signaleraient. Le général Doué, le Sergent Chef Ibrahim Coulibaly dit IB, et bien d’autres, s’apprêteraient à rentrer en Côte-d’Ivoire, pour partager avec leurs frères ces moments cruciaux que les Ivoiriens vivent. La situation socio-politique délétère créée par les décisions impopulaires du Chef de l’Etat, à savoir la dissolution du gouvernement et de la commission électorale indépendante, inquiètent plus d’un. C’est pourquoi, les soldats ivoiriens en exil veulent apporter leur contribution au règlement de cette crise dans la crise. Parmi eux, Le Sergent Chef Ibrahim Coulibaly dit IB a fait une déclaration pour calmer les esprits. Il invite ses frères Ivoiriens à cultiver l’entente, la concorde, et la paix pour sauver la mère patrie. Mais au-delà de ce discours liminaire, ne faut-il pas comprendre qu’IB souhaiterait se rapprocher des dirigeants de ce pays, après « ses frasques » ? Ne veut-il pas rentrer au pays avec l’onction du pouvoir pour essayer de « se rattraper » ? Cette crise n’est-elle pas en train de fragiliser la Côte-d’Ivoire, au point que les exilés trouvent là l’occasion de faire irruption sur la scène politique, afin d’exploiter la moindre faille. Il y a lieu de cultiver la vigilance pour ne pas se laisser surprendre. La déclaration d’IB fait penser aux paroles d’un enfant de chœur. Il faut s’en méfier.
L’Assemblée nationale est-elle dissoute ?
Depuis quelques jours, l’actualité politique au plan national connaît une animation particulière. La crise à la CEI relative à une affaire de 429 000 personnes, après avoir connu plusieurs épisodes, a fini par aboutir à la dissolution du gouvernement de la commission électorale indépendante. Pourtant, ces deux entités, selon l’accord politique de Ouaga qui les a engendrées devaient nous conduire à des élections de sortie de crise. Ainsi le gouvernement de Soro appelé gouvernement de sortie de crise devait pouvoir organiser les élections en dix mois. Après plus de trois (3) ans, nous sommes toujours à la case de départ. La CEI sensée être indépendante pour conduire toutes les opérations liées au processus électoral est au centre d’une bagarre politique pour son contrôle. Et malheureusement ces deux structures viennent d’être immolées sur l’autel des intérêts purement partisans. Du coup, une ambiance fortement délétère enveloppe le pays. Le chef d’Etat major des armées, Philippe Mangou, est invisible aux côtés de ses éléments. Les forces de l’ordre sont déployées à tous les recoins de la ville d’Abidjan. Sur le plan politique, les différentes positions se radicalisent et le peuple est pris de panique et de peur justifiées. Le temps est bizarre et l’ambiance morose. Comme si quelque chose d’horrible allait se produire. Et dans cette situation de totale confusion où la paix sociale est une fois encore menacée, le parlement, représentant le peuple de Côte d’Ivoire est muet. Son président Coulibaly Mamadou, souvent très prolène à certaines occasions a fait l’option d’un silence inquiétant. Devant donc ce silence parlementaire qui sonne comme une trahison, le peuple s’interroge. Puisque le régime au pouvoir n’a aucune notion du respect des lois, les uns et les autres sont à se demander si l’instituons parlementaire n’est pas ainsi discrètement dissoute. Gbagbo froisse et contourne l’Assemblée nationale pour porter son coup fatal à l’opposition en abusant de l’article 48 de la constitution. Et Coulibaly Mamadou n’y trouve aucun inconvénient. Le CEMA est en résidence surveillée et la paix sociale est menacée sans que cela n’interpelle l’Assemblée nationale. Seules les morts n’agissent pas. Alors, comme l’Assemblée nationale n’agit pas, on se demande bien si elle n’est pas morte par le même mal qui a emporté la CEI et le gouvernement. Car nous sommes dans le pays de Koudou Laurent Gbagbo où tout est possible, même l’impensable. Alors qu’on nous dise aussi, le peuple de Côte d’Ivoire le mérite bien, si notre parlement est dissout.
Dossier réalisé par Rodolphe Flaha, Lemistck, Dos Jn
Voici ceux qui contrôlent le pays
La Côte d’Ivoire est-elle aux mains de l’armée ? C’est l’interrogation qui circule sur toutes lèvres. Et les faits qui motivent cette question sont apparents. En effet, au lendemain de la décision de dissolution de la CEI et du gouvernement, l’armée s’est fortement déployée dans les villes. A quel besoin répond cette disposition ? Seul le président sortant est habilité à répondre. Le constat qui se dégage néanmoins aujourd’hui, c’est que l’armée est à la commande des affaires même si on ne l’avoue pas explicitement. Tout est sous le contrôle de nos hommes en treillis. C’est pourquoi, ils marquent une présence effective dans les rues et villes pour le maintien de l’ordre. La Côte d’Ivoire est privée de gouvernement depuis le week-end dernier. On se demande bien si elle a encore à sa tête un président, parce que l’autorité de celui qui assume actuellement le rôle de chef d’Etat est fortement contestée. Alors, dans cet imbroglio, les forces de défense et de sécurité sont montées au créneau. Et le schéma qui nous est présenté est celui d’un pays dirigé par l’armée. A la vérité, tout semble fonctionner dans cette logique. Où et donc passé le chef de file du Fpi qui a bombé la poitrine et retroussé ses manches pour défier l’opposition et la communauté internationale ?
Les vraies ambitions de Soro
Pour gérer la sortie de crise, l’accord politique de Ouaga a consacré un cadre dans lequel le poste de premier ministre est revenu à Soro Guillaume, Secrétaire général des forces nouvelles, qui du coup, avait la lourde tâche de piloter le processus de sortie de crise. Une certaine « affaire Mambé » est venue stopper l’élan pris par la commission électorale indépendante. Une crise dans la crise, pourrait-on dire. Le Chef de l’Etat a pris des décisions inopinées, à savoir la dissolution pure et simple du gouvernement et de la Commission électorale indépendante, et le maintien de Soro Guillaume au poste de premier ministre. Actuellement, l’opinion nationale et la communauté internationale attendent de voir ce que seront les prochains jours en Eburnie. Dans tout cet imbroglio, il y a un personnage qui joue à un jeu très subtil qui échappe aux esprits ordinaires. Il se nomme Soro Kigbafori Guillaume. Ayant revendiqué la paternité de la rébellion, il s’est exposé au monde entier et à la vindicte populaire, à ses risques et périls. Calculateur à souhait, ce ressortissant du nord de la Côte-d’Ivoire a sa petite idée en tête. En fait, son ambition la plus légitime est le poste de président de la république de Côte-d’Ivoire. Car, il a eu un parcours qui a évolué crescendo. Etudiant, Secrétaire général de la Fesci, Secrétaire général des forces nouvelles, ministre, premier ministre. Il a un carnet d’adresses très fourni et impressionnant. Il a des relations au niveau mondial avec des chefs d’Etat. Il a assuré plus d’une fois l’intérim du président de la république. Il a marché sur le tapis rouge. Il vit dans les honneurs au sommet de l’Etat. Que lui reste-t-il donc sur cette terre des hommes pour atteindre une sorte de perfection ? S’asseoir dans le fauteuil présidentiel ? Il n’y a rien d’étonnant quand l’on se souvient de ses propres déclarations aux premières heures de la guerre : « Nous avons pris les armes pour chasser Gbagbo Laurent. Il faut que Gbagbo parte. » L’on peut aisément comprendre que Soro et ses compagnons d’armes n’ont pas pris le maquis pour faire le lit à une tierce personne. Ils ont pris les armes pour espérer prendre le pouvoir d’Etat, et s’asseoir eux-mêmes à la présidence. Et comme Soro est le chef de file, c’est naturellement à lui que reviendra le mythique poste de Chef de l’Etat. Pour dire que, au-delà de la crise ivoirienne à multiples rebondissements, Soro Guillaume lorgne vers la présidence. Le moindre faux pas, la moindre ouverture, et le voici à la tête de l’Etat. Et cela ne devrait surprendre personne. L’homme est ambitieux, très ambitieux même. C’est une qualité, il faut le reconnaître. Mais il est mieux d’échoir au poste de président de la république par les élections, c`est-à-dire de façon démocratique. C’est une question de civilité.
Les soldats en exil se signalent
Certains fils de la Côte-d’Ivoire connaissent l’exil, de façon volontaire ou forcée. Toujours est-il que leur vie semblait menacée, et ceci leur a valu de se retrouver à l’étranger. Malgré tout, Ils suivent de près l’actualité socio-politique, surtout en cette période de sortie de crise. Aussi, les derniers rebondissements dans la crise née de l’affaire Mambé, ont-ils suscité un vif intérêt de la part des fils de ce pays qui vivent malgré eux à l’extérieur. Ainsi donc, les militaires plus ou moins célèbres, qui sont à l’extérieur du territoire ivoirien se signaleraient. Le général Doué, le Sergent Chef Ibrahim Coulibaly dit IB, et bien d’autres, s’apprêteraient à rentrer en Côte-d’Ivoire, pour partager avec leurs frères ces moments cruciaux que les Ivoiriens vivent. La situation socio-politique délétère créée par les décisions impopulaires du Chef de l’Etat, à savoir la dissolution du gouvernement et de la commission électorale indépendante, inquiètent plus d’un. C’est pourquoi, les soldats ivoiriens en exil veulent apporter leur contribution au règlement de cette crise dans la crise. Parmi eux, Le Sergent Chef Ibrahim Coulibaly dit IB a fait une déclaration pour calmer les esprits. Il invite ses frères Ivoiriens à cultiver l’entente, la concorde, et la paix pour sauver la mère patrie. Mais au-delà de ce discours liminaire, ne faut-il pas comprendre qu’IB souhaiterait se rapprocher des dirigeants de ce pays, après « ses frasques » ? Ne veut-il pas rentrer au pays avec l’onction du pouvoir pour essayer de « se rattraper » ? Cette crise n’est-elle pas en train de fragiliser la Côte-d’Ivoire, au point que les exilés trouvent là l’occasion de faire irruption sur la scène politique, afin d’exploiter la moindre faille. Il y a lieu de cultiver la vigilance pour ne pas se laisser surprendre. La déclaration d’IB fait penser aux paroles d’un enfant de chœur. Il faut s’en méfier.
L’Assemblée nationale est-elle dissoute ?
Depuis quelques jours, l’actualité politique au plan national connaît une animation particulière. La crise à la CEI relative à une affaire de 429 000 personnes, après avoir connu plusieurs épisodes, a fini par aboutir à la dissolution du gouvernement de la commission électorale indépendante. Pourtant, ces deux entités, selon l’accord politique de Ouaga qui les a engendrées devaient nous conduire à des élections de sortie de crise. Ainsi le gouvernement de Soro appelé gouvernement de sortie de crise devait pouvoir organiser les élections en dix mois. Après plus de trois (3) ans, nous sommes toujours à la case de départ. La CEI sensée être indépendante pour conduire toutes les opérations liées au processus électoral est au centre d’une bagarre politique pour son contrôle. Et malheureusement ces deux structures viennent d’être immolées sur l’autel des intérêts purement partisans. Du coup, une ambiance fortement délétère enveloppe le pays. Le chef d’Etat major des armées, Philippe Mangou, est invisible aux côtés de ses éléments. Les forces de l’ordre sont déployées à tous les recoins de la ville d’Abidjan. Sur le plan politique, les différentes positions se radicalisent et le peuple est pris de panique et de peur justifiées. Le temps est bizarre et l’ambiance morose. Comme si quelque chose d’horrible allait se produire. Et dans cette situation de totale confusion où la paix sociale est une fois encore menacée, le parlement, représentant le peuple de Côte d’Ivoire est muet. Son président Coulibaly Mamadou, souvent très prolène à certaines occasions a fait l’option d’un silence inquiétant. Devant donc ce silence parlementaire qui sonne comme une trahison, le peuple s’interroge. Puisque le régime au pouvoir n’a aucune notion du respect des lois, les uns et les autres sont à se demander si l’instituons parlementaire n’est pas ainsi discrètement dissoute. Gbagbo froisse et contourne l’Assemblée nationale pour porter son coup fatal à l’opposition en abusant de l’article 48 de la constitution. Et Coulibaly Mamadou n’y trouve aucun inconvénient. Le CEMA est en résidence surveillée et la paix sociale est menacée sans que cela n’interpelle l’Assemblée nationale. Seules les morts n’agissent pas. Alors, comme l’Assemblée nationale n’agit pas, on se demande bien si elle n’est pas morte par le même mal qui a emporté la CEI et le gouvernement. Car nous sommes dans le pays de Koudou Laurent Gbagbo où tout est possible, même l’impensable. Alors qu’on nous dise aussi, le peuple de Côte d’Ivoire le mérite bien, si notre parlement est dissout.
Dossier réalisé par Rodolphe Flaha, Lemistck, Dos Jn