Au terme d'un séjour de 24 heures à Yamoussoukro, son Excellence M. Pedro Pires, président du Cap Vert, a fait une déclaration à la presse hier.
Monsieur le président depuis 24 h vous êtes à Yamoussoukro la capitale politique ivoirienne pouvez vous nous situer le cadre de cette visite ?
J'ai profité de la réunion de la Cedeao pour faire ce passage à Yamoussoukro, précisément pour voir mon frère et ami : le président Gbagbo. Pour qu'on puisse échanger sur notre sous-région et sur la Cedeao avec le président Gbagbo. J'ai vu Yamoussoukro, une ville en chantier et je crois que cette idée de faire d'elle la capitale est une excellente idée. Jai vu beaucoup de choses, beaucoup de projets et je crois que le président Gbagbo a une vision pour la capitale politique.
Quelles sont les perceptives de la coopération Côte d'Ivoire-Cap Vert ?
Je pense qu'on a des bonnes perspectives de développement de nos rapports économiques. Je crois qu'on doit régler un point très important qui est le transport. Si on arrive à régler le point du transport maritime et que nous faisons des efforts sur nous-mêmes, nous pourrions développer des rapports économiques. Par exemple, au lieu d'importer du chocolat, du café de la Côte d'Ivoire, nous l'importons de l'Europe. Il faut qu'on se réunisse. Il en est de même pour la viande et d'autres produits. Mais il faut qu'on s'organise. Moi, je crois et j'ai foi dans les possibilités de notre sous-région.
Monsieur le président, la situation en Côte d'Ivoire a certainement été au centre des discussions au sommet de la Cedeao. Qu'elle est la position des chefs d'Etat de la sous-région?
Leur position est simple : Il y a un processus en cours, il faut travailler pour qu'on puisse l'amener jusqu'aux élections. Donc, sur ce point, notre vision est très positive. Notre voyons qu'il y a vraiment toutes les possibilités de finir ce processus de normalisation institutionnelle. Nous apportons notre soutien. Mais, au-delà, nous attendons des résultats. Nous sommes optimistes, modérément optimistes
Propos recueillis par Ousmane Diallo à Yamoussoukro
Monsieur le président depuis 24 h vous êtes à Yamoussoukro la capitale politique ivoirienne pouvez vous nous situer le cadre de cette visite ?
J'ai profité de la réunion de la Cedeao pour faire ce passage à Yamoussoukro, précisément pour voir mon frère et ami : le président Gbagbo. Pour qu'on puisse échanger sur notre sous-région et sur la Cedeao avec le président Gbagbo. J'ai vu Yamoussoukro, une ville en chantier et je crois que cette idée de faire d'elle la capitale est une excellente idée. Jai vu beaucoup de choses, beaucoup de projets et je crois que le président Gbagbo a une vision pour la capitale politique.
Quelles sont les perceptives de la coopération Côte d'Ivoire-Cap Vert ?
Je pense qu'on a des bonnes perspectives de développement de nos rapports économiques. Je crois qu'on doit régler un point très important qui est le transport. Si on arrive à régler le point du transport maritime et que nous faisons des efforts sur nous-mêmes, nous pourrions développer des rapports économiques. Par exemple, au lieu d'importer du chocolat, du café de la Côte d'Ivoire, nous l'importons de l'Europe. Il faut qu'on se réunisse. Il en est de même pour la viande et d'autres produits. Mais il faut qu'on s'organise. Moi, je crois et j'ai foi dans les possibilités de notre sous-région.
Monsieur le président, la situation en Côte d'Ivoire a certainement été au centre des discussions au sommet de la Cedeao. Qu'elle est la position des chefs d'Etat de la sous-région?
Leur position est simple : Il y a un processus en cours, il faut travailler pour qu'on puisse l'amener jusqu'aux élections. Donc, sur ce point, notre vision est très positive. Notre voyons qu'il y a vraiment toutes les possibilités de finir ce processus de normalisation institutionnelle. Nous apportons notre soutien. Mais, au-delà, nous attendons des résultats. Nous sommes optimistes, modérément optimistes
Propos recueillis par Ousmane Diallo à Yamoussoukro
