Des indics et tueurs à gage dans les rues d’Abidjan
- Les milices Fpi déjà en action
Le nuage qui s’amoncèle sur la Côte d’Ivoire annonce des signes inquiétants
Les acquis des accords politiques viennent d’être quasiment remis à plat par la dissolution du gouvernement et de la Commission électorale indépendante. C’est dans ce contexte déjà délétère qu’interviennent une série d’actions de nature à plonger le pays dans le chaos total. Alors que l’opposition exige la démission du chef de l’Etat, le camp présidentiel, de son côté peaufine ses stratégies. Ainsi, depuis le palais présidentiel, tout est mis en œuvre pour le musellement de tous les contestateurs au régime Fpi. Au niveau de l’armée, toutes les unités sont en alerte maximale. Selon les informations en notre possession, tout est planifié depuis le palais présidentiel.
Un Etat-major parallèle
« Le palais présidentiel, indique un de nos informateurs est un Etat-major bis des armées. L’ex-ministre Bertin Kadet qui doute de la compétence et de la vigilance de notre armée forme une CIA à l’ivoirienne. Il y peaufine les stratégies et les faits exécuter la chaîne de commandement de l’armée officielle» accuse-t-on. Outre cet aspect, des sources bien concordantes affirment que l’exécution des ordres ne se limite pas au FDS. Mais s’étend à tous les irréductibles gbagboïstes qui s’essaient à l’espionnage. Epiant toutes les conversations, ils rendent compte à leurs « employeurs » de ce qui se trame sur le chef de l’Etat. Dans ces genres de missions, on y associe le rapt.
Des indices
« L’espionnage se fait avec des indicateurs. Ils filent tous ceux qui auraient des idées subversives à l’égard des institutions de la république » révèle une autre source. Qui renchérit que « en l’état actuel de la situation socio-politique, il faut mettre les bouchées doubles.
Les milices en action
Poursuivant sur cette lancée, un interlocuteur proche du GPP est plus précis. « Comme le RHDP veut déstabiliser le président, nous on est prêt. Le Fpi aurait commis une erreur grave si nous déposions les armes. Aujourd’hui, nous sommes sollicités pour mettre au service de la république nos compétences militaires ». Des propos qui traduisent l’état d’esprit du camp présidentiel face à la demande de sa démission par la jeunesse du RHDP. Autant dire que le pays traverse un sale temps.
K. Zéguédoua Tano
- Les milices Fpi déjà en action
Le nuage qui s’amoncèle sur la Côte d’Ivoire annonce des signes inquiétants
Les acquis des accords politiques viennent d’être quasiment remis à plat par la dissolution du gouvernement et de la Commission électorale indépendante. C’est dans ce contexte déjà délétère qu’interviennent une série d’actions de nature à plonger le pays dans le chaos total. Alors que l’opposition exige la démission du chef de l’Etat, le camp présidentiel, de son côté peaufine ses stratégies. Ainsi, depuis le palais présidentiel, tout est mis en œuvre pour le musellement de tous les contestateurs au régime Fpi. Au niveau de l’armée, toutes les unités sont en alerte maximale. Selon les informations en notre possession, tout est planifié depuis le palais présidentiel.
Un Etat-major parallèle
« Le palais présidentiel, indique un de nos informateurs est un Etat-major bis des armées. L’ex-ministre Bertin Kadet qui doute de la compétence et de la vigilance de notre armée forme une CIA à l’ivoirienne. Il y peaufine les stratégies et les faits exécuter la chaîne de commandement de l’armée officielle» accuse-t-on. Outre cet aspect, des sources bien concordantes affirment que l’exécution des ordres ne se limite pas au FDS. Mais s’étend à tous les irréductibles gbagboïstes qui s’essaient à l’espionnage. Epiant toutes les conversations, ils rendent compte à leurs « employeurs » de ce qui se trame sur le chef de l’Etat. Dans ces genres de missions, on y associe le rapt.
Des indices
« L’espionnage se fait avec des indicateurs. Ils filent tous ceux qui auraient des idées subversives à l’égard des institutions de la république » révèle une autre source. Qui renchérit que « en l’état actuel de la situation socio-politique, il faut mettre les bouchées doubles.
Les milices en action
Poursuivant sur cette lancée, un interlocuteur proche du GPP est plus précis. « Comme le RHDP veut déstabiliser le président, nous on est prêt. Le Fpi aurait commis une erreur grave si nous déposions les armes. Aujourd’hui, nous sommes sollicités pour mettre au service de la république nos compétences militaires ». Des propos qui traduisent l’état d’esprit du camp présidentiel face à la demande de sa démission par la jeunesse du RHDP. Autant dire que le pays traverse un sale temps.
K. Zéguédoua Tano