Sans être alarmiste, il est important de signaler aux friands d’œufs de Coquivoire, qu’il y aurait de faux sur le marché. Ce, par le truchement d’individus qui auraient du mal à écouler les œufs de leurs fermes, des œufs qui ne porteraient pas les marques de cette société.
Avec la maladie de la grippe aviaire qui avait défrayé la chronique à son époque, nombreux étaient les consommateurs ivoiriens qui avaient mis un trait sur la viande de poulet et de ses dérivés. Il a fallu les garanties de Coquivoire, une société ivoirienne spécialisée dans l’élevage de poulets, la commercialisation de poulets de chairs et de tous ses dérivés, notamment les œufs, pour que les populations s’intéressent à nouveau à ces produits. Précisons que les responsables de cette société ont pris le soin de mettre dans les ailes et dans les pattes de leurs poulets, des bagues pour permettre aux consommateurs de faire la différence avec les autres poulets vendus sur le marché. Coquivoire a également eu l’idée d’imprimer des marques sur les œufs provenant de ses fermes. Force est de constater que depuis quelques jours, des individus auraient décidé de faire la contrefaçon, même dans ce domaine. Ce, avec de faux cachets. Selon les informations en notre possession, les communes de Yopougon, d’Abobo, de Cocody, pour ne citer que celles-là, seraient les plus touchées. Un réseau de Libanais serait à la tête de cette contrefaçon. Tout simplement parce que leurs revendeurs éprouveraient d’énormes difficultés sur le terrain pour écouler leurs produits. Les consommateurs ont fait déjà leur choix. Se laisser berner serait une situation qui serait lourde de conséquences pour eux. En procédant par la contrefaçon, les autres vendeurs d’œufs compteraient tenir la concurrence. L’œuf, il faut le préciser, est un ingrédient naturel courant entrant dans la composition de nombreux plats, dans de nombreuses cultures gastronomiques du monde. Nous y reviendrons.
Jules C.
Avec la maladie de la grippe aviaire qui avait défrayé la chronique à son époque, nombreux étaient les consommateurs ivoiriens qui avaient mis un trait sur la viande de poulet et de ses dérivés. Il a fallu les garanties de Coquivoire, une société ivoirienne spécialisée dans l’élevage de poulets, la commercialisation de poulets de chairs et de tous ses dérivés, notamment les œufs, pour que les populations s’intéressent à nouveau à ces produits. Précisons que les responsables de cette société ont pris le soin de mettre dans les ailes et dans les pattes de leurs poulets, des bagues pour permettre aux consommateurs de faire la différence avec les autres poulets vendus sur le marché. Coquivoire a également eu l’idée d’imprimer des marques sur les œufs provenant de ses fermes. Force est de constater que depuis quelques jours, des individus auraient décidé de faire la contrefaçon, même dans ce domaine. Ce, avec de faux cachets. Selon les informations en notre possession, les communes de Yopougon, d’Abobo, de Cocody, pour ne citer que celles-là, seraient les plus touchées. Un réseau de Libanais serait à la tête de cette contrefaçon. Tout simplement parce que leurs revendeurs éprouveraient d’énormes difficultés sur le terrain pour écouler leurs produits. Les consommateurs ont fait déjà leur choix. Se laisser berner serait une situation qui serait lourde de conséquences pour eux. En procédant par la contrefaçon, les autres vendeurs d’œufs compteraient tenir la concurrence. L’œuf, il faut le préciser, est un ingrédient naturel courant entrant dans la composition de nombreux plats, dans de nombreuses cultures gastronomiques du monde. Nous y reviendrons.
Jules C.
