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Économie Publié le samedi 20 février 2010 | Le National

Après les graves révélations de « Le National » : Toute la vérité sur la crise Gossio-Tapé Koulou

Les écrits de « Le National », le journal aux informations directes ont fait mouche. La cible a été touchée. Et Gossio ne dort plus perturbé que le président de La République lui tourne à jamais le dos. Il a donc décidé de livrer une bataille vaine contre « Le National » en s’attaquant à Tapé Koulou, injustement dans des journaux.

En réalité, écrire sur Gossio n’est pas une gloire pour « Le National ». Mais le devoir nous appelle. Nous pensons que Gossio et sa clique ont trahi le président Laurent Gbagbo qui a essuyé toutes sortes d’humiliation pour maintenir la Côte d’Ivoire dans la paix. Certaines institutions internationales ont déjà attiré l’attention des autorités ivoiriennes sur le taux élevé de paupérisation dans le pays. Et pendant que certains ivoiriens soucieux du combat du chef de l’Etat se battent pour maintenir le pays sur les rails des directeurs généraux peu soucieux en qui Laurent Gbagbo a placé sa confiance, pillent l’économie, se vautrent dans la gabegie et méprisent la population qui ploie sous le poids de la pauvreté. « Le National » a décidé de mener le combat contre cette injustice et contre la trahison dont le président Gbagbo est victime en dénonçant les malversations nombreuses de Marcel Gossio qui considère le port autonome comme sa propriété personnelle. Nous n’avons jamais publié un seul article sur Marcel Gossio sans apporter de preuve comme nous le recommande le CNP en ces temps de crise. Il suffit de consulter toutes nos archives pour s’en rendre compte. De toutes façons, « Le National » a décidé de mener le combat contre Gossio jusqu’à ce qu’il quitte le port d’Abidjan. Parce qu’auteur de plusieurs délits constatés.

Marcel Gossio déçoit les ivoiriens

« Si Gossio soutient que ce que vous avez écrit est faux, pourquoi il ne vous convoque pas à la justice et s’en prend à Tapé Koulou ? » se demandait un haut cadre du port très remonté contre son Directeur général. En réalité, Marcel Gossio est tombé très bas comme un vulgaire qui ignore l’Etat de droit et le chemin du temple de Thémis. Il a préféré payer des canards pour occulter ses crimes économiques. Ces derniers jours, certains journaux ont pris position pour défendre Marcel Gossio, le plus grand fossoyeur de l’économie ivoirienne. Des tracts mal inspirés payés à 400000F CFA par journal ont été publiés dans des journauxcomme Le Quotidien, Soir Info etc. Aujourd’hui beaucoup d’ivoiriens sont unanimes pour dire que « Le National » a vraiment touché mortellement Gossio au point qu’il ne peut même pas se plaindre à la justice et préfère s’épandre dans des journaux. Le directeur général du PAA jette la honte sur la République de Côte d’Ivoire. En tout cas, pour beaucoup d’Ivoiriens qui téléphonent à la rédaction, Marcel Gossio doit être chassé de la tête du port si le président ne veut pas s’attirer leur courroux. Ils ont promis que « des dossiers en béton » seront bientôt remis à « Le National » pour être publiés.


De la vérité sur la crise Tapé Koulou/ Gossio

Ce qui est déplorable dans cette crise qui oppose « Le National » à Marcel Gossio, ce sont les nombreux préjudices subis par Tapé Koulou . Parce qu’il n’est pas l’auteur des articles publiés sur Gossio. En plus, depuis plusieurs années, Tapé Koulou n’est plus à la tête du journal « Le National ». Pourquoi lui en veut donc Marcel Gossio ? Ignore-t-il la loi sur la presse ? Marcel Gossio est allé plus loin dans sa méchanceté contre Tapé Koulou Laurent. Les ivoiriens ont été touchés par cette triste nouvelle quand elle a été publiée. En effet, Tapé Koulou Laurent venait d’avoir une aide de la présidence pour se soigner à Paris. Le voyage était prévu pour le 29 décembre dernier à 21H00 sur un vol Air Ivoire dont le billet en business class est à 1.635.000 FCFA. Aux environs de 9H50 ce jour là, alors qu’il faisait ses dernières courses, il reçoit un coup de fil du lieutenant Zézé Tébili Yves du Cecos qui appelait au nom du Général Guiai Bi qui souhaitait le rencontrer. Occupé, M. Tapé lui répondra qu’il le rappellera dès qu’il est libre. Mieux, un rendez-vous ferme sera pris pour 15h00. A 11H00 un autre coup de fil émanant du même lieutenant, lui intime l’ordre de se rendre immédiatement au bureau du général Guiai Pi Poin. Tapé Koulou demande l’objet de cette convocation. On ne lui signifia rien. Devant les menaces incessantes du général Guiai Bi, il demande alors conseil au Général Lorougnon, patron de l’ANSI, qui ira aux nouvelles. Ce dernier lui apprendra que c’est à la demande de M. Gossio, qui serait allé voir les généraux Mangou et Guiai Bi pour qu’ils trouvent une solution à l’amiable au différend qui l’oppose à Tapé Koulou. Ainsi, lui conseillera t-il de s’y rendre. Vers 18H30, ce dernier ira au rendez vous. Là-bas, le patron du Cecos l’informe que c’est Marcel Gossio qui a sollicité sa médiation pour que « Le National » arrête ses publications sur madame Gossio. En effet « Le National » avait publié un article dans lequel il était écrit que l’imprimerie qui a servi à imprimer les fameux tickets parallèles du stade Félix Houphouët Boigny appartiendrait à l’épouse de Marcel Gossio. Ce sont ces tickets qui avaient provoqué de nombreux morts au stade. Madame Gossio avait été ébranlée par l’article et son époux paniqué, a sollicité la médiation du Général Guiai Bi auprès de Tapé Koulou pour que « Le National » cesse toutes publications d’articles sur madame Gossio. Tapé Koulou surpris par cette démarche, explique qu’il n’a pas écrit d’article et que les journalistes de « Le National » sont bien des responsables de leurs écrits. Mais, Guiai Bi Poin insiste et demande que Tapé Koulou intervienne auprès des journalistes de « Le National » et rencontre Gossio pour faire la paix. L’ancien DP par respect, se soumet à la demande du Général mais explique qu’il voyage le jour même à 21H00 parce qu’il a rendez-vous avec son médecin à Paris le 30 décembre 2009. Le Général le suppliera de reporter le voyage pour qu’il puisse discuter le lendemain avec Gossio qui voulait un règlement à l’amiable. Tapé Koulou téléphone alors à Air Ivoire pour reporter le voyage au lendemain. Mais il s’entend dire que le prochain voyage sur Air Ivoire est prévu pour le 02 janvier 2010. Après des recherches, le vol prévu sur Paris le lendemain était sur Air France et coûtait 2 500 000 CFA. apé Koulou dira alors que s’il doit rester pour rencontrer le DG du PAA, que Gossio paie au moins son billet sur Air France. Le Général Guiai Pi Poin lui promet alors que Gossio le fera sans problème. S’étant tous mis d’accord, Tapé Koulou accepte donc de reporter son voyage pour le lendemain et décaler son rendez-vous avec le médecin au 31 décembre à 18H. Le lendemain, la rencontre a lieu mais au lieu d’être un règlement à l’amiable, Tapé Koulou est plutôt soumis à un pugilat. Il est menacé avec une arme à feu par Gossio au nez et à la barbe du Général médiateur et couvert de toutes sortes d’injures grossières. Après quoi, Gossio de sa bouche lui demandera de revoir les écrits sur sa femme et en retour, il paiera son billet pour réparer le préjudice causé. A sa sortie, Tapé Koulou interviendra auprès des journalistes de « Le National », qui acceptent de ne plus poursuivre les publications sur madame Gossio. Peu de temps après, Tapé Koulou tente alors de téléphoner à Guiai Bi Poin et Gossio pour leur rendre compte. Ces derniers répondront qu’ils le recontacteront sous peu, pour le billet. Curieusement, il s’aperçoit que leurs téléphones on été tous fermés. Il tente de les joindre en vain jusqu’à 15H. Ainsi décidera-t-il d’aller acheter lui-même le billet d’avion sur Air France. Dans ce vol, il y aura les ministres Amadou Gon Coulibaly, Amadou Koné et le Dg des Impôts, Feh Kessé. Comme quoi, Gossio a démontré sa mauvaise foi car Tapé Koulou a dû prendre de l’argent sur la somme prévue pour les soins d’hospitalisation pour payer le billet. Aujourd’hui, tous les ivoiriens se sont rendus compte du mal que Gossio lui a fait. Et si le directeur général du port a encore un peu de dignité, qu’il répare les préjudices subis par Tapé Koulou Laurent. Quand au journal « Le National », il continue son combat pour dénoncer les fossoyeurs de l’économie ivoirienne. Pour l’épisode Gossio, « Le National », tire un tant soit peu son frein pour mettre balle à terre et se tourner vers d’autres responsables véreux qui se plaisent dans la gabegie. Cependant, nous osons espérer pour l’heure que le Général Lorougnon, officier supérieur de la Police dont la probité est reconnue de tous, saura intervenir, comme il a fait au tout début, auprès de Marcel Gossio et son homologue Guiai Bi Poin, afin que Tapé Koulou puisse rentrer dans ses fonds et continuer à se soigner tranquillement. Le préjudice est énorme et ce n’est pas de l’argent qu’il exige à Gossio mais qu’on répare ce préjudice qu’il a subi. Aussi, que le DG Marcel Gossio, arrête d’utiliser le noble service qu’est le CECOS pour régler ses affaires personnelles. Pou l’heure, l’affaire est entre les mains de la police criminelle. M. Tapé Koulou a déjà été entendu. On attend le tour de Gossio directeur général du PAA.

Nguessan Antoine
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