Les dix (10) communes d'Abidjan et même toutes les autres de l’intérieur du pays ont un point commun : la dégradation avancée de la voirie. Le bitume se dégrade de plus en plus, au point même que certains endroits ont atteint un seuil critique.
Les soutiens de la Commission européenne dans les domaines des infrastructures de voies de communication ont visé à préparer les conditions d’une relance du développement économique en milieux urbain et rural. Pour ce faire, ces appuis se sont centrés en priorité sur les travaux de réhabilitation des ouvrages fortement dégradés du fait de la crise frappant le pays, en zone urbaine et rurale. Les travaux d’infrastructures urbaines ont concerné les voiries structurantes des six chefs-lieux régionaux, cibles du programme, avec la réhabilitation de voiries revêtues et de voiries en terre communales (y compris deux ouvrages de franchissement) ; l’aménagement de gares routières (quatre plate-formes) ; l’adressage et le panneautage des voiries ; la fourniture d’outillage aux services municipaux. Les travaux d’infrastructures rurales de transport ont concerné aussi la réhabilitation de pistes et la construction d’ouvrages d’art, afin de permettre le rétablissement de la circulation, ainsi que le désenclavement des populations rurales et des principaux centres de production. La réhabilitation et le traitement des points critiques de 4.200 Km de pistes et de 200 ouvrages de franchissement dans la zone cotonnière du Nord du pays ; la construction d’ouvrages d’art sur l’ensemble du réseau classé (50 dalots et 3 ponts) qui sera lancé en 2010, ont été les projets concernés. L’étude de faisabilité de la réhabilitation d’un axe routier national a concerné également le tronçon reliant Bouaké, deuxième ville ivoirienne en poids démographique, situé au Centre du pays, et la ville de Ouangolodougou au Nord du pays, carrefour des axes menant au Mali et au Burkina Faso. En somme, la voirie ivoirienne a bénéficié d’un appui de la Commission Européenne pour son amélioration.
J. C.
Les soutiens de la Commission européenne dans les domaines des infrastructures de voies de communication ont visé à préparer les conditions d’une relance du développement économique en milieux urbain et rural. Pour ce faire, ces appuis se sont centrés en priorité sur les travaux de réhabilitation des ouvrages fortement dégradés du fait de la crise frappant le pays, en zone urbaine et rurale. Les travaux d’infrastructures urbaines ont concerné les voiries structurantes des six chefs-lieux régionaux, cibles du programme, avec la réhabilitation de voiries revêtues et de voiries en terre communales (y compris deux ouvrages de franchissement) ; l’aménagement de gares routières (quatre plate-formes) ; l’adressage et le panneautage des voiries ; la fourniture d’outillage aux services municipaux. Les travaux d’infrastructures rurales de transport ont concerné aussi la réhabilitation de pistes et la construction d’ouvrages d’art, afin de permettre le rétablissement de la circulation, ainsi que le désenclavement des populations rurales et des principaux centres de production. La réhabilitation et le traitement des points critiques de 4.200 Km de pistes et de 200 ouvrages de franchissement dans la zone cotonnière du Nord du pays ; la construction d’ouvrages d’art sur l’ensemble du réseau classé (50 dalots et 3 ponts) qui sera lancé en 2010, ont été les projets concernés. L’étude de faisabilité de la réhabilitation d’un axe routier national a concerné également le tronçon reliant Bouaké, deuxième ville ivoirienne en poids démographique, situé au Centre du pays, et la ville de Ouangolodougou au Nord du pays, carrefour des axes menant au Mali et au Burkina Faso. En somme, la voirie ivoirienne a bénéficié d’un appui de la Commission Européenne pour son amélioration.
J. C.