Le Directoire du Mouvement pour le Néo-Houphouétisme (MNH), observe avec beaucoup de peine une grave menace sur le processus de paix et sur l'opération électoral en Côte d'Ivoire.
Le MNH note avec tous les ivoiriens que l'usage fait de l'article 48 par le président GBAGBO sans consultation préalable de l'Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel est une flagrante violation inacceptable.de la loi
Le MNH, soucieux de la préservation des acquis du processus électoral réalisé selon les experts à 95 %, invite le Premier ministre a rassuré les Ivoiriens et l'opinion internationale sur la sécurisation des données acquises sur l'étendue du territoire national.
Le MNH rappelle au Président GABGBO que sentant proche l'échéance de son mandat et la difficulté d'organiser des élections au 31 octobre 2005, c'est le Conseil de Paix et de sécurité de l'Union Africaine à sa rencontre du 6 octobre 2005 qui a proposé son maintien au pouvoir au - delà des limites constitutionnelles de son mandat avec nomination d'un Premier ministre.
Cette décision a été confirmée par la résolution 1633 du Conseil de sécurité de l'ONU du 21 octobre 2005 et suivie de la nomination le 04 décembre 2006 du Premier ministre Charles Konan BANY.
Le 04 mars 2007, c'est encore adossé aux accords précédents que celui dit de OUAGA avec l'avantage du " Dialogue Direct " des belligérants, a reconduit le schéma nommant cette fois alors SORO Guillaume, Premier ministre.
Dans une attitude citoyenne, les partis et mouvements politiques de l'opposition ont accepté d'accompagner et de donner une chance au processus de sortie de crise devant aboutir à des élections justes et transparentes.
Cependant, ce qu'il est convenu d'appeler le clan (non camp) présidentiel ne semble pas se soucier autant de la souffrance des populations du fait de la situation de longue et pénible transition politique.
La décision unilatérale du 12 février du président GBAGBO de dissoudre la CEI et le gouvernement marque l'évidence de cette attitude.
Le MNH apporte alors son ferme soutien au RHDP et à tous les acteurs du front du refus à travers le pays.
Il appelle le facilitateur Son Excellence le Président du Burkina Faso et le représentant de l'O. N. U. à prendre toutes mesures visant l'intérêt supérieur de la nation pour éviter à la Côte d'Ivoire une autre crise sanglante ; l'histoire les ayant choisis pour être, à cette période, les responsables devant conduire le destin de notre pays. La taille de leurs responsabilités relatives est à la dimension de nos espérances d'Ivoiriens.
Le MNH compte aussi sur le sens du devoir des Forces de Défense et de Sécurité pour distinguer un ordre de mission républicaine de celui répondant d'intérêt particulier et égoïste.
Le MNH engage bénévolement une cellule de communicateurs professionnels pour exposer, partout sur le territoire national, les dérives, abus et manquements graves aux droits et libertés afin de sensibiliser chaque ivoirien à l'intérêt non négociable de la patrie.
A toutes fins utiles, le MNH rappelle sans commentaire à la mémoire du Président Laurent GBAGBO, son serment d'investiture:
"Devant le peuple souverain de Côte d'Ivoire, je jure solennellement et sur l'honneur, de respecter et de défendre juridiquement la constitution, de protéger les droits et libertés des citoyens, de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge dans l'intérêt supérieur de la nation.
Que le peuple me retire sa confiance et que je subisse la rigueur de la loi, si je trahis mon serment "
P/LE DIRECTOIRE
Le président
Guy Charles Wayoro
Le MNH note avec tous les ivoiriens que l'usage fait de l'article 48 par le président GBAGBO sans consultation préalable de l'Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel est une flagrante violation inacceptable.de la loi
Le MNH, soucieux de la préservation des acquis du processus électoral réalisé selon les experts à 95 %, invite le Premier ministre a rassuré les Ivoiriens et l'opinion internationale sur la sécurisation des données acquises sur l'étendue du territoire national.
Le MNH rappelle au Président GABGBO que sentant proche l'échéance de son mandat et la difficulté d'organiser des élections au 31 octobre 2005, c'est le Conseil de Paix et de sécurité de l'Union Africaine à sa rencontre du 6 octobre 2005 qui a proposé son maintien au pouvoir au - delà des limites constitutionnelles de son mandat avec nomination d'un Premier ministre.
Cette décision a été confirmée par la résolution 1633 du Conseil de sécurité de l'ONU du 21 octobre 2005 et suivie de la nomination le 04 décembre 2006 du Premier ministre Charles Konan BANY.
Le 04 mars 2007, c'est encore adossé aux accords précédents que celui dit de OUAGA avec l'avantage du " Dialogue Direct " des belligérants, a reconduit le schéma nommant cette fois alors SORO Guillaume, Premier ministre.
Dans une attitude citoyenne, les partis et mouvements politiques de l'opposition ont accepté d'accompagner et de donner une chance au processus de sortie de crise devant aboutir à des élections justes et transparentes.
Cependant, ce qu'il est convenu d'appeler le clan (non camp) présidentiel ne semble pas se soucier autant de la souffrance des populations du fait de la situation de longue et pénible transition politique.
La décision unilatérale du 12 février du président GBAGBO de dissoudre la CEI et le gouvernement marque l'évidence de cette attitude.
Le MNH apporte alors son ferme soutien au RHDP et à tous les acteurs du front du refus à travers le pays.
Il appelle le facilitateur Son Excellence le Président du Burkina Faso et le représentant de l'O. N. U. à prendre toutes mesures visant l'intérêt supérieur de la nation pour éviter à la Côte d'Ivoire une autre crise sanglante ; l'histoire les ayant choisis pour être, à cette période, les responsables devant conduire le destin de notre pays. La taille de leurs responsabilités relatives est à la dimension de nos espérances d'Ivoiriens.
Le MNH compte aussi sur le sens du devoir des Forces de Défense et de Sécurité pour distinguer un ordre de mission républicaine de celui répondant d'intérêt particulier et égoïste.
Le MNH engage bénévolement une cellule de communicateurs professionnels pour exposer, partout sur le territoire national, les dérives, abus et manquements graves aux droits et libertés afin de sensibiliser chaque ivoirien à l'intérêt non négociable de la patrie.
A toutes fins utiles, le MNH rappelle sans commentaire à la mémoire du Président Laurent GBAGBO, son serment d'investiture:
"Devant le peuple souverain de Côte d'Ivoire, je jure solennellement et sur l'honneur, de respecter et de défendre juridiquement la constitution, de protéger les droits et libertés des citoyens, de remplir consciencieusement les devoirs de ma charge dans l'intérêt supérieur de la nation.
Que le peuple me retire sa confiance et que je subisse la rigueur de la loi, si je trahis mon serment "
P/LE DIRECTOIRE
Le président
Guy Charles Wayoro