A près l’épisode rocambolesque de détournements sous l’ère des barons avec son lot d’emprisonnement, voila que « le Messie » qui se nome comité de gestion appelé au chevet d’un binôme malade, est en train de se construire son scandale financier à lui.
Ekpnin Konin Gilbert, ancien directeur des projets de l’Ageroute, qui occupait le poste de directeur général de la Forex-ci. Sa depuis plus d’un an a rendu sa démission le 28 décembre 2009. Les raison évoqués sont relatives à la méthodologie de travail du comité de gestion de la filière café-caco, qui est en déphasage avec les objectifs à lui assignés, dans son contrat de nomination. Mais réellement qu’est-ce qui a pu bien pousser ce bouillant « pompier » à claquer ainsi la porte, d’une structure aussi déterminante dans le redressement du binôme café-cacao? Les faits.
Il ressort de sources généralement crédibles, que la nomination de sieur Epkini Gilbert répondait à un souci de relancer l’entreprise, la Forex-ci.Sa, en lui apportant des ressources financières et en élargissant son domaine d’activité, dans l’ouverture des pistes et routes villageoises, en plus du forage de puits dans les zones de production café-cacao. Défi que tentait de relever progressivement le directeur de Forex-ci. Sa. Mais contre toute attente, cette mission ne semble plus être à l’ordre du jour, du moins pour le comité de gestion. En effet, après l’acquisition des engins de grands travaux, le comité de gestion a exproprié la Forex-ci.Sa, contrairement aux closes du contrat de ces machines. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est la récente conférence de presse animée par le président du comité de gestion, Ano Gilbert. Au cours de cette rencontre, le président du comité de gestion a indiqué que les sociétés et structures acquises par les anciens dirigeants, notamment Coco service, Sifca-Coop, Forexi-ci .SA, Maci, Pharma-gé et Cori …. ne valent plus un clou. Selon le président Ano, le comité de gestion pour tenter de sauver certaines structures a injecté la somme de 2 milliards à Sifca-Coop et 300 millions à Forex-ci.SA, sans que ce soutien financier ne change grande chose. Aussi a-t-il signifié que le Fonds d’investissement en milieu rural (FIMR) qui, doté la première année en 2007 de 23 milliards FCFA, a servi à la construction d’écoles, de centres de santé, à faire l’adduction en eau potable, et aussi à l’ouverture des pistes et routes villageoises. Plus de 8 milliards FCFA de cette enveloppe toujours selon le président Ano sont affectés pour le chapitre des pistes et routes chaque année. A cet effet, il faut noter qu’avec ce montant ce sont seulement 1200 kms de routes et de pistes qui sont réalisées sur un objectif de 1500 kms prévus par an. Mais à chaque campagne café-cacao, c’était le perpétuel recommencement avec les pistes et routes. Ce système n’arrivait pas à satisfaire toutes les zones de productions. D’où l’acquisition des machines de grands travaux pour un montant de 3 milliards FCFA. Qui ont permis en un mois seulement de réaliser 1300kms pour un objectif de 1600kms de pistes et de routes pour un montant de 1 milliard FCFA. Toute initiative qui a été salutaire vu l’état de plus en plus appréciable des pistes et routes. Cependant, le hic se trouve au niveau de ce qui conviendrait d’appeler «la mauvaise foi» du comité de gestion. En effet, un contrat d’achat des machines pour la réalisation des pistes et routes villageoises avait été conclu entre les deux parties. Ce qui revient à dire que toutes les machines qui ont servi à la réfection des voies appartiennent à Forex-ci.Sa, qui en a l’exploitation exclusive. Mais dans le déroulement des choses, le comité de gestion s’est tourné vers une autre structure, constituée de Pmi et Pme, pour la réalisation desdits travaux. Toute chose qui stipule que le contrat a été biaisé. Ce que le conseil d’administration ne Forex-ci.Sa, qui représente les actionnaires majoritaires de cette société considère comme un abus. Ainsi, en plus de la démission de leur directeur général, ils ont intenté une action en justice contre le comité de gestion. Pour abus et malversations dans les transactions qui ont abouti à l’achat des engins de grands travaux. Depuis le 2 février 2010 donc, c’est Maître Olivier Bouah qui a été saisi par le président du conseil d’administration, Ignace Kassi, aux fins de défendre, à toute fin utiles les intérêts de Forex-ci.Sa, dans une transaction d’achat de machines à réaliser des pistes rurales.
JC Koré
Ekpnin Konin Gilbert, ancien directeur des projets de l’Ageroute, qui occupait le poste de directeur général de la Forex-ci. Sa depuis plus d’un an a rendu sa démission le 28 décembre 2009. Les raison évoqués sont relatives à la méthodologie de travail du comité de gestion de la filière café-caco, qui est en déphasage avec les objectifs à lui assignés, dans son contrat de nomination. Mais réellement qu’est-ce qui a pu bien pousser ce bouillant « pompier » à claquer ainsi la porte, d’une structure aussi déterminante dans le redressement du binôme café-cacao? Les faits.
Il ressort de sources généralement crédibles, que la nomination de sieur Epkini Gilbert répondait à un souci de relancer l’entreprise, la Forex-ci.Sa, en lui apportant des ressources financières et en élargissant son domaine d’activité, dans l’ouverture des pistes et routes villageoises, en plus du forage de puits dans les zones de production café-cacao. Défi que tentait de relever progressivement le directeur de Forex-ci. Sa. Mais contre toute attente, cette mission ne semble plus être à l’ordre du jour, du moins pour le comité de gestion. En effet, après l’acquisition des engins de grands travaux, le comité de gestion a exproprié la Forex-ci.Sa, contrairement aux closes du contrat de ces machines. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase, c’est la récente conférence de presse animée par le président du comité de gestion, Ano Gilbert. Au cours de cette rencontre, le président du comité de gestion a indiqué que les sociétés et structures acquises par les anciens dirigeants, notamment Coco service, Sifca-Coop, Forexi-ci .SA, Maci, Pharma-gé et Cori …. ne valent plus un clou. Selon le président Ano, le comité de gestion pour tenter de sauver certaines structures a injecté la somme de 2 milliards à Sifca-Coop et 300 millions à Forex-ci.SA, sans que ce soutien financier ne change grande chose. Aussi a-t-il signifié que le Fonds d’investissement en milieu rural (FIMR) qui, doté la première année en 2007 de 23 milliards FCFA, a servi à la construction d’écoles, de centres de santé, à faire l’adduction en eau potable, et aussi à l’ouverture des pistes et routes villageoises. Plus de 8 milliards FCFA de cette enveloppe toujours selon le président Ano sont affectés pour le chapitre des pistes et routes chaque année. A cet effet, il faut noter qu’avec ce montant ce sont seulement 1200 kms de routes et de pistes qui sont réalisées sur un objectif de 1500 kms prévus par an. Mais à chaque campagne café-cacao, c’était le perpétuel recommencement avec les pistes et routes. Ce système n’arrivait pas à satisfaire toutes les zones de productions. D’où l’acquisition des machines de grands travaux pour un montant de 3 milliards FCFA. Qui ont permis en un mois seulement de réaliser 1300kms pour un objectif de 1600kms de pistes et de routes pour un montant de 1 milliard FCFA. Toute initiative qui a été salutaire vu l’état de plus en plus appréciable des pistes et routes. Cependant, le hic se trouve au niveau de ce qui conviendrait d’appeler «la mauvaise foi» du comité de gestion. En effet, un contrat d’achat des machines pour la réalisation des pistes et routes villageoises avait été conclu entre les deux parties. Ce qui revient à dire que toutes les machines qui ont servi à la réfection des voies appartiennent à Forex-ci.Sa, qui en a l’exploitation exclusive. Mais dans le déroulement des choses, le comité de gestion s’est tourné vers une autre structure, constituée de Pmi et Pme, pour la réalisation desdits travaux. Toute chose qui stipule que le contrat a été biaisé. Ce que le conseil d’administration ne Forex-ci.Sa, qui représente les actionnaires majoritaires de cette société considère comme un abus. Ainsi, en plus de la démission de leur directeur général, ils ont intenté une action en justice contre le comité de gestion. Pour abus et malversations dans les transactions qui ont abouti à l’achat des engins de grands travaux. Depuis le 2 février 2010 donc, c’est Maître Olivier Bouah qui a été saisi par le président du conseil d’administration, Ignace Kassi, aux fins de défendre, à toute fin utiles les intérêts de Forex-ci.Sa, dans une transaction d’achat de machines à réaliser des pistes rurales.
JC Koré