Pourquoi est-ce que l'élection a duré si longtemps ?
Il a fallu d'abord discuter du mode opératoire. Fallait-il élire le président et les quatre vice-présidents ou fallait-il tout remettre sur le tapis ? Puisque nous partons d'une certaine situation, donc un renouvellement de la Cei. Nous avons discuté sur ces points pour nous mettre d'accord. Nous sommes convenus d'élire le bureau, pour être en harmonie avec le décret présidentiel de reconstitution de la Commission électorale indépendante.
Il semble qu'il y a eu beaucoup de discussions…
Je voudrais tout de suite vous dire qu'il n'y a eu aucune difficulté. Tout s'est bien passé, dans une ambiance amicale. Disons que s'il y avait eu davantage de discussions, on n'aurait pas terminé à cette heure-ci (00 h 35), pour douze postes avec tant d'électeurs. Ce qui a, peut-être, fait durer l'opération, c'est que nous avons procédé par bulletin avec isoloir, dépôt dans l'urne, signature d'une feuille d'émargement… comme toute élection. Vous savez que cela prend du temps.
Quels sont les chantiers immédiats?
Là, vous le saurez après. Là, on vient d'être remis en selle. Attendez la première réunion de mars.
C'est vous le porte-parole ?
Disons que pour le moment, j'ai ravi le poste de porte-parole (Rire). Comme nous recommençons, mettez-vous dans la tête que c'est une nouvelle Cei. Et que l'ancienne Cei a été dissoute. Donc, il n'y a plus rien.
Que se passera-t-il pour les Cei régionales, départementales et locales?
Ce qui nous préoccupait, c'était le bureau central. A partir de lundi, quand nous aurons notre programme de travail, ce sera des chantiers dont nous allons nous occuper.
Propos recueillis par Bidi Ignace
Il a fallu d'abord discuter du mode opératoire. Fallait-il élire le président et les quatre vice-présidents ou fallait-il tout remettre sur le tapis ? Puisque nous partons d'une certaine situation, donc un renouvellement de la Cei. Nous avons discuté sur ces points pour nous mettre d'accord. Nous sommes convenus d'élire le bureau, pour être en harmonie avec le décret présidentiel de reconstitution de la Commission électorale indépendante.
Il semble qu'il y a eu beaucoup de discussions…
Je voudrais tout de suite vous dire qu'il n'y a eu aucune difficulté. Tout s'est bien passé, dans une ambiance amicale. Disons que s'il y avait eu davantage de discussions, on n'aurait pas terminé à cette heure-ci (00 h 35), pour douze postes avec tant d'électeurs. Ce qui a, peut-être, fait durer l'opération, c'est que nous avons procédé par bulletin avec isoloir, dépôt dans l'urne, signature d'une feuille d'émargement… comme toute élection. Vous savez que cela prend du temps.
Quels sont les chantiers immédiats?
Là, vous le saurez après. Là, on vient d'être remis en selle. Attendez la première réunion de mars.
C'est vous le porte-parole ?
Disons que pour le moment, j'ai ravi le poste de porte-parole (Rire). Comme nous recommençons, mettez-vous dans la tête que c'est une nouvelle Cei. Et que l'ancienne Cei a été dissoute. Donc, il n'y a plus rien.
Que se passera-t-il pour les Cei régionales, départementales et locales?
Ce qui nous préoccupait, c'était le bureau central. A partir de lundi, quand nous aurons notre programme de travail, ce sera des chantiers dont nous allons nous occuper.
Propos recueillis par Bidi Ignace
