Camarades jeunes, au nom de cette jeunesse qui a mis tout son espoir sur GBAGBO nous vous saluons. Nous avions des raisons d’espérer en GBAGBO. Car avant son accession au pouvoir son discours faisait rêver la jeunesse et même le peuple Ivoirien dans son ensemble.
I- GBAGBO AVANT SON ACCESSION AU POUVOIR
En 1990, sous le pois du parti unique, du parti Etat avec ces méfaits et dérapages GBAGBO représentait pour nous une véritable source d’espoir. Car il nous promettait :
· La sécurité sociale pour tous.
· La redistribution juste et équitable des ressources nationales
· Une école débarrassée de violence
· L’administration Ivoirienne devrait jouer son rôle de service public
· L’armée devrait rester républicaine
· Les marches de protestation qui constituent des manifestations de la démocratie devraient être garanties.
En un mot l’Etat de droit et la bonne gouvernance se verront instaurés et même entretenus.
Alor la Côte d’Ivoire de GBAGBO présentait tout les caractères d’une veritable république. Ceci étant, notre devoirs était de braver tout les dangers pour que notre <>, notre messie accède au pouvoir. Car au bout il y a la terre promise, le paradis. Donc GBAGBO garantissait le bonheur de la jeunesse Ivoirienne.
Mille morts a gauche, mille morts à droite GBAGBO accède au pouvoir dans des conditions qu’il juge lui-même de calamiteuses.
II- GBAGBO FACE AUX REALITES DU POUVOIR
Le bien être promis n’a été que virtuel, le bonheur sur GBAGBO est devenu une arlésienne. C’est le début de nos malheurs :
· Pillage des ressources financières (plus de 6000 milliards détournés dans la filière café-cacao)
· Le manque d’emplois pour la jeunesse.
· Souffrance quotidienne
· Précarité de la vie
· L’immoralité comme mode de vie
· Taux d’échec élevé dans l’enseignement
· Violence sans pareille dans nos écoles
· Le marchandage des concours administratifs etc…
· Le délestage apparait en 2010 et dérange fortement l’économie déjà sous perfusion.
Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire est dans la banlieue du sous développement. Et GBAGBO semble heureux de nous assigner à la pauvreté, à la précarité. Cet homme gouverne sans perspective, sans planification, ce qui est important et primordial pour lui c’est son seul et unique fauteuil.
Dans ce pays les tam-tams ont grondé, les flûtes ont sifflé par ce que simplement la Côte d’Ivoire était éligible aux initiatives PPTE (Pays Pauvre Très Endetté).
Les quelques rares manifestations de l’opposition se soldent le plus souvent par des morts. En témoigne les dernières du mois de février (au moins 10 morts par balle).
Président de 1990 jusqu’à ton accession au pouvoir les manifestations de la gauche démocratique n’ont pas connues plus de 10 morts.
Président seulement en mars 2004 une manifestation de l’opposition réprimée a occasionné plus de 100 morts.
Président GBAGBO où allons-nous ?
Cher ami BLE GOUDE, (ZOUZOU,ZADI gbapê) un vrai FESCISTE ne peut pas être indifférent face à ce tableau qui n’honore pas.
Le vrai FESCISTE doit s’éloigner de GBAGBO et se rapprocher du peuple qui souffre.
Ceux qui aujourd’hui s’organisent pour soutenir GBAGBO avec l’assistance de BLE GOUDE veulent certainement et surement aller à la soupe.
Nous membres du congrès des anciens de La FESCI digne sommes indignés face aux agitations, zèles et excitations de notre frère BLE GOUDE (ZOUZOU, ZADI gbapê) et ses suiveurs qui ont du coup oublié les vertus de la lutte syndicale.
Pour nous la place des anciens de la FESCI et de la FESCI elle-même se trouve aux côtés du peuple opprimé et donc de l’opposition.
III- APPEL A MOBILISATION
Camarades jeunes nous avons perdu 10 années de notre vie. Ceux qui en 2000 avaient 30ans ont aujourd’hui 40ans. Le temps passe. Le temps ne nous appartient pas on ne peut donc pas le suspendre. Certains d’entre nous vont à la soupe du prince ils sont devenus du coup aveugles et muets d’autres chantent les prouesses de GBAGBO le rusé. On tente parfois a transformer les méfaits de la refondation en bienfaits en succès. Nous n’avons pas le droit de laisser le peuple Ivoirien seul face à GBAGBO. L’heure est venue pour nous d’être solidaires et soudés pour installer un véritable Etat de droit. Le congrès des anciens de la FESCI-digne (CAFES) est un instrument disponible pour les Ivoiriens afin de combattre la dictature, le tribalisme et le favoritisme. Soutenons-nous pour que notre pays soit fort et que nous menions le combat pour le développement. Le seul combat qui mérite d’être mené. On ne doit pas nous demander aujourd’hui de choisir entre la liberté et le colonialisme. Ce combat a été déjà fait par nos grands parents notre génération à son combat : SORTIRE LA COTE D’IVOIRE DU SOUS DEVELOPPEMENT ET CECI PASSE PAR DES ELECTIONS JUSTES ET TRANSPARANTES. Voila pour quoi nous demandons au nouveau président de la CEI de nous donner la liste électorale définitive et la DATE PRECISE DES ELECTIONS.
Soyons mobilisés car l’histoire nous regarde.
Le secrétaire général du CAFES DOGNI DJI BHAT.K.RICHARD dit GENERAL LOKOKO
Contact : 01 50 66 00
I- GBAGBO AVANT SON ACCESSION AU POUVOIR
En 1990, sous le pois du parti unique, du parti Etat avec ces méfaits et dérapages GBAGBO représentait pour nous une véritable source d’espoir. Car il nous promettait :
· La sécurité sociale pour tous.
· La redistribution juste et équitable des ressources nationales
· Une école débarrassée de violence
· L’administration Ivoirienne devrait jouer son rôle de service public
· L’armée devrait rester républicaine
· Les marches de protestation qui constituent des manifestations de la démocratie devraient être garanties.
En un mot l’Etat de droit et la bonne gouvernance se verront instaurés et même entretenus.
Alor la Côte d’Ivoire de GBAGBO présentait tout les caractères d’une veritable république. Ceci étant, notre devoirs était de braver tout les dangers pour que notre <
Mille morts a gauche, mille morts à droite GBAGBO accède au pouvoir dans des conditions qu’il juge lui-même de calamiteuses.
II- GBAGBO FACE AUX REALITES DU POUVOIR
Le bien être promis n’a été que virtuel, le bonheur sur GBAGBO est devenu une arlésienne. C’est le début de nos malheurs :
· Pillage des ressources financières (plus de 6000 milliards détournés dans la filière café-cacao)
· Le manque d’emplois pour la jeunesse.
· Souffrance quotidienne
· Précarité de la vie
· L’immoralité comme mode de vie
· Taux d’échec élevé dans l’enseignement
· Violence sans pareille dans nos écoles
· Le marchandage des concours administratifs etc…
· Le délestage apparait en 2010 et dérange fortement l’économie déjà sous perfusion.
Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire est dans la banlieue du sous développement. Et GBAGBO semble heureux de nous assigner à la pauvreté, à la précarité. Cet homme gouverne sans perspective, sans planification, ce qui est important et primordial pour lui c’est son seul et unique fauteuil.
Dans ce pays les tam-tams ont grondé, les flûtes ont sifflé par ce que simplement la Côte d’Ivoire était éligible aux initiatives PPTE (Pays Pauvre Très Endetté).
Les quelques rares manifestations de l’opposition se soldent le plus souvent par des morts. En témoigne les dernières du mois de février (au moins 10 morts par balle).
Président de 1990 jusqu’à ton accession au pouvoir les manifestations de la gauche démocratique n’ont pas connues plus de 10 morts.
Président seulement en mars 2004 une manifestation de l’opposition réprimée a occasionné plus de 100 morts.
Président GBAGBO où allons-nous ?
Cher ami BLE GOUDE, (ZOUZOU,ZADI gbapê) un vrai FESCISTE ne peut pas être indifférent face à ce tableau qui n’honore pas.
Le vrai FESCISTE doit s’éloigner de GBAGBO et se rapprocher du peuple qui souffre.
Ceux qui aujourd’hui s’organisent pour soutenir GBAGBO avec l’assistance de BLE GOUDE veulent certainement et surement aller à la soupe.
Nous membres du congrès des anciens de La FESCI digne sommes indignés face aux agitations, zèles et excitations de notre frère BLE GOUDE (ZOUZOU, ZADI gbapê) et ses suiveurs qui ont du coup oublié les vertus de la lutte syndicale.
Pour nous la place des anciens de la FESCI et de la FESCI elle-même se trouve aux côtés du peuple opprimé et donc de l’opposition.
III- APPEL A MOBILISATION
Camarades jeunes nous avons perdu 10 années de notre vie. Ceux qui en 2000 avaient 30ans ont aujourd’hui 40ans. Le temps passe. Le temps ne nous appartient pas on ne peut donc pas le suspendre. Certains d’entre nous vont à la soupe du prince ils sont devenus du coup aveugles et muets d’autres chantent les prouesses de GBAGBO le rusé. On tente parfois a transformer les méfaits de la refondation en bienfaits en succès. Nous n’avons pas le droit de laisser le peuple Ivoirien seul face à GBAGBO. L’heure est venue pour nous d’être solidaires et soudés pour installer un véritable Etat de droit. Le congrès des anciens de la FESCI-digne (CAFES) est un instrument disponible pour les Ivoiriens afin de combattre la dictature, le tribalisme et le favoritisme. Soutenons-nous pour que notre pays soit fort et que nous menions le combat pour le développement. Le seul combat qui mérite d’être mené. On ne doit pas nous demander aujourd’hui de choisir entre la liberté et le colonialisme. Ce combat a été déjà fait par nos grands parents notre génération à son combat : SORTIRE LA COTE D’IVOIRE DU SOUS DEVELOPPEMENT ET CECI PASSE PAR DES ELECTIONS JUSTES ET TRANSPARANTES. Voila pour quoi nous demandons au nouveau président de la CEI de nous donner la liste électorale définitive et la DATE PRECISE DES ELECTIONS.
Soyons mobilisés car l’histoire nous regarde.
Le secrétaire général du CAFES DOGNI DJI BHAT.K.RICHARD dit GENERAL LOKOKO
Contact : 01 50 66 00