-7 janvier 2010 : Révélation du scandale des 429.034 croisements réalisés par la Cei en dehors du mode opératoire selon lequel cette opération est conjointement réalisée par la Sagem et l'Ins.
-Vendredi 08 Janvier : Coulibaly Gervais, porte-parole de Laurent Gbagbo, dans une déclaration télévisée, met en cause le Président de la Commission électorale indépendante (Cei) sur ce qui deviendra "l'affaire des 429.000 pétitionnaires"
-10 janvier : Affi N'Guessan, président du Front populaire ivoirien (Fpi), parti présidentiel, réclame la démission de Robert Beugré Mambé et le réaménagement de la Cei pour garantir sa neutralité et son impartialité.
-10 janvier : Alassane Ouattara en visite à Jacqueville défend le président de la Cei, « un homme honnête et intègre. »
-11 janvier : Le Rhdp (Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix) vole au secours de Beugré Mambé et déclare par la voix de Djédjé Mady, que la Cei ne peut-être accusée de fraude.
-12 janvier : Au sortir d'une réunion de crise avec toutes les structures en charge du dossier des élections, le Premier ministre annonce la mise en place d'un comité de suivi du travail de la Cei. Il annonce que les croisements effectués par la Cei sont nuls et de nul effet. « Il n'y a donc pas de possibilité de tripatouillage de la liste électorale », a tenté de rassuré Guillaume Soro.
-14 janvier : Devant des membres de la communauté ébrié venus le soutenir, Mambé continue à clamer son innocence.
-15 janvier : Ouverture d'une procédure judiciaire par le procureur de la République Raymond Tchimou contre le président de la Cei pour fraude après saisine par le ministre de l'Intérieur, Désiré Tagro (Camp présidentiel).
-16 janvier : Mambé refuse de démissionner. Selon lui, la Cei n'est pas sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.
-21 janvier : Mambé reconnaît un dysfonctionnement de certains de ses services et s'engage à prendre des mesures correctives.
-24 janvier : le président du Parti ivoirien des travailleurs (Pit), demande la démission de Mambé.
-05 février : L'enquête du procureur conclut à la culpabilité de Robert Beugré Mambé.
-06 février : Mambé refuse à nouveau de démissionner et rejette les accusations du procureur.
-06 février : Une centaine de jeunes du Rhdp conduits par Blé Guirao, Secrétaire général adjoint chargé de la mobilisation à l'Udpci (Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d'Ivoire), installent un cordon de sécurité autour de la résidence du président de la Cei.
-12 février : Le Facilitateur du dialogue direct reçoit les différentes parties à Ouagadougou. Malgré l'insistance de Blaise Compaoré, le Rhdp et Mambé campent sur leur position : le président de la Cei reste en place.
-12 février : Prenant acte de cet échec et du blocage, Laurent Gbagbo dissout le gouvernement et la Cei.
-13 février : Dans une déclaration, le Rhdp dit ne plus reconnaître le président de la République. Il déclare nulles et de nul effet les décisions de dissolution de la Commission électorale indépendante et du gouvernement et appelle ses militants à s'opposer par tout moyen à la « dictature ».
-19 février : La marche des partisans du Rhdp contre la dissolution de la Cei, organisée à Gagnoa, fait 5 morts et plusieurs blessés.
-22 février : Deux manifestants du Rhdp sont tués à Divo.
-22 février : Une manifestation des jeunes du Rhdp fait deux morts à Abobo.
-22 février : Le Facilitateur de la crise ivoirienne, le président Burkinabé Blaise Compaoré, arrive à Abidjan pour désamorcer la bombe. Un accord est trouvé. Il implique le maintien de la structure de la Cei conformément à l'Accord de Pretoria, mais le remplacement du président de la Cei et des vice-présidents, par leurs formations politiques mandataires et l'élection du bureau de la Cei dès le jeudi 25 février 2010. Le Facilitateur et les parties ivoiriennes ont aussi convenu de la mise en place le 23 février 2010 d'un Gouvernement qui sera composé de représentants de tous les partis signataires des Accords Linas Marcoussis.
-23 février : Guillaume Soro présente 16 ministres de sa nouvelle équipe gouvernementale constituée de 27 membres. 11 postes sont réservés au Rhdp.
-24 février : Le Rhdp conditionne sa participation au gouvernement à la mise en place de la nouvelle Cei. Il est rejoint par le Pit de Francis Wodié.
-jeudi 25 février : La nouvelle Cei est mise en place, elle est présidée par l'ancien ministre des Affaires étrangères, Youssouf Bakayoko (Pdci).
-Vendredi 26 février : Le premier Conseil des ministres se tient au palais de la présidence sans les ministres Rhdp. Les partis membres de cette alliance continuent à réclamer la reconduction de leurs anciens ministres dont plusieurs ont été récusés par Laurent Gbagbo. Dans la soirée, le Rhdp annonce qu'il va rejoindre l'équipe gouvernementale, après des « détails » à régler avec le Premier ministre.
Sanou Amadou (Stagiaire)
-Vendredi 08 Janvier : Coulibaly Gervais, porte-parole de Laurent Gbagbo, dans une déclaration télévisée, met en cause le Président de la Commission électorale indépendante (Cei) sur ce qui deviendra "l'affaire des 429.000 pétitionnaires"
-10 janvier : Affi N'Guessan, président du Front populaire ivoirien (Fpi), parti présidentiel, réclame la démission de Robert Beugré Mambé et le réaménagement de la Cei pour garantir sa neutralité et son impartialité.
-10 janvier : Alassane Ouattara en visite à Jacqueville défend le président de la Cei, « un homme honnête et intègre. »
-11 janvier : Le Rhdp (Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix) vole au secours de Beugré Mambé et déclare par la voix de Djédjé Mady, que la Cei ne peut-être accusée de fraude.
-12 janvier : Au sortir d'une réunion de crise avec toutes les structures en charge du dossier des élections, le Premier ministre annonce la mise en place d'un comité de suivi du travail de la Cei. Il annonce que les croisements effectués par la Cei sont nuls et de nul effet. « Il n'y a donc pas de possibilité de tripatouillage de la liste électorale », a tenté de rassuré Guillaume Soro.
-14 janvier : Devant des membres de la communauté ébrié venus le soutenir, Mambé continue à clamer son innocence.
-15 janvier : Ouverture d'une procédure judiciaire par le procureur de la République Raymond Tchimou contre le président de la Cei pour fraude après saisine par le ministre de l'Intérieur, Désiré Tagro (Camp présidentiel).
-16 janvier : Mambé refuse de démissionner. Selon lui, la Cei n'est pas sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.
-21 janvier : Mambé reconnaît un dysfonctionnement de certains de ses services et s'engage à prendre des mesures correctives.
-24 janvier : le président du Parti ivoirien des travailleurs (Pit), demande la démission de Mambé.
-05 février : L'enquête du procureur conclut à la culpabilité de Robert Beugré Mambé.
-06 février : Mambé refuse à nouveau de démissionner et rejette les accusations du procureur.
-06 février : Une centaine de jeunes du Rhdp conduits par Blé Guirao, Secrétaire général adjoint chargé de la mobilisation à l'Udpci (Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d'Ivoire), installent un cordon de sécurité autour de la résidence du président de la Cei.
-12 février : Le Facilitateur du dialogue direct reçoit les différentes parties à Ouagadougou. Malgré l'insistance de Blaise Compaoré, le Rhdp et Mambé campent sur leur position : le président de la Cei reste en place.
-12 février : Prenant acte de cet échec et du blocage, Laurent Gbagbo dissout le gouvernement et la Cei.
-13 février : Dans une déclaration, le Rhdp dit ne plus reconnaître le président de la République. Il déclare nulles et de nul effet les décisions de dissolution de la Commission électorale indépendante et du gouvernement et appelle ses militants à s'opposer par tout moyen à la « dictature ».
-19 février : La marche des partisans du Rhdp contre la dissolution de la Cei, organisée à Gagnoa, fait 5 morts et plusieurs blessés.
-22 février : Deux manifestants du Rhdp sont tués à Divo.
-22 février : Une manifestation des jeunes du Rhdp fait deux morts à Abobo.
-22 février : Le Facilitateur de la crise ivoirienne, le président Burkinabé Blaise Compaoré, arrive à Abidjan pour désamorcer la bombe. Un accord est trouvé. Il implique le maintien de la structure de la Cei conformément à l'Accord de Pretoria, mais le remplacement du président de la Cei et des vice-présidents, par leurs formations politiques mandataires et l'élection du bureau de la Cei dès le jeudi 25 février 2010. Le Facilitateur et les parties ivoiriennes ont aussi convenu de la mise en place le 23 février 2010 d'un Gouvernement qui sera composé de représentants de tous les partis signataires des Accords Linas Marcoussis.
-23 février : Guillaume Soro présente 16 ministres de sa nouvelle équipe gouvernementale constituée de 27 membres. 11 postes sont réservés au Rhdp.
-24 février : Le Rhdp conditionne sa participation au gouvernement à la mise en place de la nouvelle Cei. Il est rejoint par le Pit de Francis Wodié.
-jeudi 25 février : La nouvelle Cei est mise en place, elle est présidée par l'ancien ministre des Affaires étrangères, Youssouf Bakayoko (Pdci).
-Vendredi 26 février : Le premier Conseil des ministres se tient au palais de la présidence sans les ministres Rhdp. Les partis membres de cette alliance continuent à réclamer la reconduction de leurs anciens ministres dont plusieurs ont été récusés par Laurent Gbagbo. Dans la soirée, le Rhdp annonce qu'il va rejoindre l'équipe gouvernementale, après des « détails » à régler avec le Premier ministre.
Sanou Amadou (Stagiaire)