La Cosopci (Coalition des organisations de la Société civile pour la Paix en Côte d’Ivoire et le développement démocratique) s’est réunie le vendredi 26 février 2010 à son bureau électoral sis aux 2 Plateaux Mobil. Au centre des échanges, l’élaboration d’une nouvelle stratégie d’intervention afin d’être prise en compte dans les prochaines consultations pour la gestion du processus électoral en Côte d’Ivoire.
Les avancées démocratiques notables enregistrées à la suite des nombreux accords de paix signés entre les antagonistes de la crise militaro politique éclatée en septembre 2002 ont failli volés en éclat. Pour éviter cet état de fait, le Premier ministre Guillaume Soro et le Facilitateur ont entrepris diverses consultations sans la société civile. Bien que se réjouissant que les différentes négociations aient permis le maintien du format de la CEI et celui du gouvernement ainsi que le remplacement des anciens commissaires du bureau central par leurs mandants, les organisations de la société civile membres de la Cosopci déplorent leur mise à l’écart lors des différentes consultations. A la faveur d’un séminaire tenu le vendredi dernier, Traoré Wodjofini et ses camarades ont regretté que la société civile soit restée en marge de toutes les consultations pour la composition du Gouvernement Soro 2 et la recomposition de la CEI. Outre ce point, ces organisations se sont inquiétées de la résurgence de la violence dans les localités à l’intérieur du pays et ont relevé que le délitement de la cohésion sociale exige d’eux un renforcement des capacités des bureaux locaux. « Nous avons analysé de manière profonde la situation qui prévaut sur le terrain. A partir de cette analyse, nous avons proposé une nouvelle stratégie d’intervention sur la base des faiblesses de nos actions antérieures sur le terrain. Cela permettra, d’une part, d’éviter des affrontements inter communautaires et d’autre part, d’être pris en compte dans les prochaines consultations sur la gestion de la sortie de crise », a souligné Adjoumani Pierre, vice-coordonnateur de la Cosopci. Avant l’adoption de la nouvelle stratégie d’actions, Traoré Wodjofini, Me Drissa Traoré, Alexandre Neth Willi et Namizata Sangaré ont animé quatre communications. A savoir « Note sur l’historique de la crise en Côte d’Ivoire, Phénomène de radiation des personnes sur la liste électorale : présentation des faits et conséquences, Présentation des résultats des enquêtes effectuées à Man et Genre, processus électoral en Côte d’Ivoire : résultats et perspectives ».
M.T.T
Les avancées démocratiques notables enregistrées à la suite des nombreux accords de paix signés entre les antagonistes de la crise militaro politique éclatée en septembre 2002 ont failli volés en éclat. Pour éviter cet état de fait, le Premier ministre Guillaume Soro et le Facilitateur ont entrepris diverses consultations sans la société civile. Bien que se réjouissant que les différentes négociations aient permis le maintien du format de la CEI et celui du gouvernement ainsi que le remplacement des anciens commissaires du bureau central par leurs mandants, les organisations de la société civile membres de la Cosopci déplorent leur mise à l’écart lors des différentes consultations. A la faveur d’un séminaire tenu le vendredi dernier, Traoré Wodjofini et ses camarades ont regretté que la société civile soit restée en marge de toutes les consultations pour la composition du Gouvernement Soro 2 et la recomposition de la CEI. Outre ce point, ces organisations se sont inquiétées de la résurgence de la violence dans les localités à l’intérieur du pays et ont relevé que le délitement de la cohésion sociale exige d’eux un renforcement des capacités des bureaux locaux. « Nous avons analysé de manière profonde la situation qui prévaut sur le terrain. A partir de cette analyse, nous avons proposé une nouvelle stratégie d’intervention sur la base des faiblesses de nos actions antérieures sur le terrain. Cela permettra, d’une part, d’éviter des affrontements inter communautaires et d’autre part, d’être pris en compte dans les prochaines consultations sur la gestion de la sortie de crise », a souligné Adjoumani Pierre, vice-coordonnateur de la Cosopci. Avant l’adoption de la nouvelle stratégie d’actions, Traoré Wodjofini, Me Drissa Traoré, Alexandre Neth Willi et Namizata Sangaré ont animé quatre communications. A savoir « Note sur l’historique de la crise en Côte d’Ivoire, Phénomène de radiation des personnes sur la liste électorale : présentation des faits et conséquences, Présentation des résultats des enquêtes effectuées à Man et Genre, processus électoral en Côte d’Ivoire : résultats et perspectives ».
M.T.T
