Charles Blé Goudé a animé un meeting hier à la Sorbonne au Plateau.
L’élection du diplomate Youssouf Bakayoko à la présidence de la Cei suscite déjà des réactions. Au cours d’un meeting qu’il a animé à la Sorbonne au Plateau, hier, le directeur national de campagne chargé de la mobilisation des jeunes de La Majorité Présidentielle (LMP) a tenu à faire un commentaire sur ce sujet, qui, selon lui, suscite un découragement chez les jeunes patriotes. « Youssouf Bakayoko n’est pas l’homme du Pdci, sinon les militants du Fpi ne le voteraient pas. Il a été élu à ce poste en obtenant 19 voix sur 20 au total. Et c’est parce qu’il a la caution du Fpi, du Pdci, des Forces Nouvelles, de tous les partis et formations politiques membres de la Cei, qu’il a été élu président de la Cei », dira Charles Blé Goudé pour rassurer les partisans encore fébriles. Le principal animateur du rassemblement a invité ses auditeurs au grand meeting qu’il organise le samedi 6 mars pour, dit-il, « montrer que dans ce pays, nous sommes les plus nombreux et prouver ainsi la majorité dont jouit le président Laurent Gbagbo ».
Pour le messager de la Majorité Présidentielle (LMP), Laurent Gbagbo mérite d’être soutenu parce qu’il fait partie de cette nouvelle élite africaine qui se bat pour le bonheur et le développement de l’Afrique. La France selon ce dernier, veut l’en empêcher pour que son combat ne fasse tâche d’huile en Afrique. Le responsable de LMP est revenu sur les 3 sondages faits par la Sofres qui donnaient Laurent Gbagbo vainqueur à la présidentielle. Pour lui, ces sondages visaient à endormir le chef de l’Etat et ses partisans puis les pousser à la faute. « Les sondages ont été réalisés alors que la listes électorale n’était pas prête », a révélé Blé Goudé.
Konaté Navigué qui a accompagné le président des jeunes patriotes, a invité les partisans de LMP à ne pas ceder au découragement. « Ne doutez pas, ce n’est pas le moment. Le combat consiste à tout faire pour que ceux qui ne doivent pas figurer sur la liste n’y soient pas. Mais que ceux qui ont droit d’y être y soient », a-t-il indiqué.
Aristide Otré
L’élection du diplomate Youssouf Bakayoko à la présidence de la Cei suscite déjà des réactions. Au cours d’un meeting qu’il a animé à la Sorbonne au Plateau, hier, le directeur national de campagne chargé de la mobilisation des jeunes de La Majorité Présidentielle (LMP) a tenu à faire un commentaire sur ce sujet, qui, selon lui, suscite un découragement chez les jeunes patriotes. « Youssouf Bakayoko n’est pas l’homme du Pdci, sinon les militants du Fpi ne le voteraient pas. Il a été élu à ce poste en obtenant 19 voix sur 20 au total. Et c’est parce qu’il a la caution du Fpi, du Pdci, des Forces Nouvelles, de tous les partis et formations politiques membres de la Cei, qu’il a été élu président de la Cei », dira Charles Blé Goudé pour rassurer les partisans encore fébriles. Le principal animateur du rassemblement a invité ses auditeurs au grand meeting qu’il organise le samedi 6 mars pour, dit-il, « montrer que dans ce pays, nous sommes les plus nombreux et prouver ainsi la majorité dont jouit le président Laurent Gbagbo ».
Pour le messager de la Majorité Présidentielle (LMP), Laurent Gbagbo mérite d’être soutenu parce qu’il fait partie de cette nouvelle élite africaine qui se bat pour le bonheur et le développement de l’Afrique. La France selon ce dernier, veut l’en empêcher pour que son combat ne fasse tâche d’huile en Afrique. Le responsable de LMP est revenu sur les 3 sondages faits par la Sofres qui donnaient Laurent Gbagbo vainqueur à la présidentielle. Pour lui, ces sondages visaient à endormir le chef de l’Etat et ses partisans puis les pousser à la faute. « Les sondages ont été réalisés alors que la listes électorale n’était pas prête », a révélé Blé Goudé.
Konaté Navigué qui a accompagné le président des jeunes patriotes, a invité les partisans de LMP à ne pas ceder au découragement. « Ne doutez pas, ce n’est pas le moment. Le combat consiste à tout faire pour que ceux qui ne doivent pas figurer sur la liste n’y soient pas. Mais que ceux qui ont droit d’y être y soient », a-t-il indiqué.
Aristide Otré