Le président de la commission électorale indépendante est allé rencontrer le président du Fpi hier à sa résidence à Cocody.
« Nous avons rendu une visite de courtoisie au président du Front populaire ivoirien pour lui dire que nous apprécions au plus haut niveau l’appui de ce parti qui a permis notre élection par consensus. Je suis venu lui exprimer mes sentiments et dire que la CEI qui se met en place doit œuvrer pour que l’on arrive à des élections transparentes et justes. Une élection dont les résultats sont acceptés par tous les candidats », a indiqué Youssouf Bakayoko au sortir de la séance de travail qu’il a eue avec le président du Fpi, Pascal Affi Nguessan. Et d’ajouter que lorsque la commission centrale va entrer en action, « elle travaillera à rassurer l’ensemble des acteurs politiques en leur disant que notre mission ne va pas dans le sens de favoriser tel ou tel candidat. Notre première action sera de convaincre les Ivoiriens que nous travaillons pour la transparence des élections qui vont être organisées en Côte d’Ivoire »,
a-t-il conclu. Pour sa part, Pascal Affi Nguessan s’est réjoui de l’honneur que le président de la CEI lui a fait, en allant le rencontrer à domicile. Avant d’ajouter qu’« il est trop tôt d’évoquer dans les détails les chantiers importants qui nous préoccupent. Mais nous avons tenu à lui exposer quelques préoccupations, notamment la reconstitution intégrale de la CEI ». Pour le premier responsable du parti au pouvoir, « le processus de mise en place des structures de la CEI doit se prolonger jusqu’à la base. Nous avons évoqué cela comme un point d’intérêt. Nous avons évoqué aussi la question relative à la procédure du contentieux. Parce que, par le passé, nous avons observé beaucoup de difficultés sur le terrain qui ont énormément gêné le travail des magistrats et de nos responsables électoraux », a noté Affi Nguessan. Qui a souhaité que sur ces questions, le président de la CEI veuille à ce qu’il y
ait plus de clarté, pour que les réclamations soient facilitées, que la commission puisse se prononcer sans entraves, que les magistrats puissent apprécier toutes les demandes de radiation en toute sérénité. « Parce qu’il s’agit d’appliquer la loi, et nous tenons à ce qu’elle soit appliquée », a précisé le précisé du Fpi. Qui était pour la circonstance entouré de Sangaré Aboudramane, Sokouri Bohoui, Assoa Adou, Lida Kouassi Moïse et Odette Sauyet.
B.T.
« Nous avons rendu une visite de courtoisie au président du Front populaire ivoirien pour lui dire que nous apprécions au plus haut niveau l’appui de ce parti qui a permis notre élection par consensus. Je suis venu lui exprimer mes sentiments et dire que la CEI qui se met en place doit œuvrer pour que l’on arrive à des élections transparentes et justes. Une élection dont les résultats sont acceptés par tous les candidats », a indiqué Youssouf Bakayoko au sortir de la séance de travail qu’il a eue avec le président du Fpi, Pascal Affi Nguessan. Et d’ajouter que lorsque la commission centrale va entrer en action, « elle travaillera à rassurer l’ensemble des acteurs politiques en leur disant que notre mission ne va pas dans le sens de favoriser tel ou tel candidat. Notre première action sera de convaincre les Ivoiriens que nous travaillons pour la transparence des élections qui vont être organisées en Côte d’Ivoire »,
a-t-il conclu. Pour sa part, Pascal Affi Nguessan s’est réjoui de l’honneur que le président de la CEI lui a fait, en allant le rencontrer à domicile. Avant d’ajouter qu’« il est trop tôt d’évoquer dans les détails les chantiers importants qui nous préoccupent. Mais nous avons tenu à lui exposer quelques préoccupations, notamment la reconstitution intégrale de la CEI ». Pour le premier responsable du parti au pouvoir, « le processus de mise en place des structures de la CEI doit se prolonger jusqu’à la base. Nous avons évoqué cela comme un point d’intérêt. Nous avons évoqué aussi la question relative à la procédure du contentieux. Parce que, par le passé, nous avons observé beaucoup de difficultés sur le terrain qui ont énormément gêné le travail des magistrats et de nos responsables électoraux », a noté Affi Nguessan. Qui a souhaité que sur ces questions, le président de la CEI veuille à ce qu’il y
ait plus de clarté, pour que les réclamations soient facilitées, que la commission puisse se prononcer sans entraves, que les magistrats puissent apprécier toutes les demandes de radiation en toute sérénité. « Parce qu’il s’agit d’appliquer la loi, et nous tenons à ce qu’elle soit appliquée », a précisé le précisé du Fpi. Qui était pour la circonstance entouré de Sangaré Aboudramane, Sokouri Bohoui, Assoa Adou, Lida Kouassi Moïse et Odette Sauyet.
B.T.
