ABIDJAN - Le nouveau gouvernement ivoirien, complété jeudi avec l`entrée de ministres d`opposition, devra parvenir à une liste électorale "propre" et à des progrès "notables" sur la voie de la réunification du pays, a déclaré le Premier ministre Guillaume Soro.
"Le fait qu`on puisse avoir le gouvernement au complet donne des motifs de satisfaction. Je suis content que nous ayons pu gérer la crise que le pays a vécue", a indiqué M. Soro à la presse après la présentation de sa nouvelle équipe, en vantant le recours à "l`arme du dialogue".
La formation de ce cabinet clôt la crise née le 12 février de la dissolution du précédent gouvernement et de la commission électorale par le président Laurent Gbagbo.
"Je suis conscient de la tâche qui nous attend. Il s`agira de faire une liste électorale propre, transparente, qui réconcilie les Ivoiriens", a souligné M. Soro, chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) devenu Premier ministre à la suite de l`accord de paix de 2007.
Il s`agira aussi, selon lui, de "faire des progrès notables sur la voie de la réunification" du pays, coupé en un nord rebelle et un sud loyaliste depuis le coup d`Etat manqué de 2002.
Il a promis que serait remise "au goût du jour" l`application de l`accord de paix signé fin 2008 "qui règle en partie les questions militaires", notamment la démobilisation des combattants FN et des milices loyalistes.
"Le fait qu`on puisse avoir le gouvernement au complet donne des motifs de satisfaction. Je suis content que nous ayons pu gérer la crise que le pays a vécue", a indiqué M. Soro à la presse après la présentation de sa nouvelle équipe, en vantant le recours à "l`arme du dialogue".
La formation de ce cabinet clôt la crise née le 12 février de la dissolution du précédent gouvernement et de la commission électorale par le président Laurent Gbagbo.
"Je suis conscient de la tâche qui nous attend. Il s`agira de faire une liste électorale propre, transparente, qui réconcilie les Ivoiriens", a souligné M. Soro, chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) devenu Premier ministre à la suite de l`accord de paix de 2007.
Il s`agira aussi, selon lui, de "faire des progrès notables sur la voie de la réunification" du pays, coupé en un nord rebelle et un sud loyaliste depuis le coup d`Etat manqué de 2002.
Il a promis que serait remise "au goût du jour" l`application de l`accord de paix signé fin 2008 "qui règle en partie les questions militaires", notamment la démobilisation des combattants FN et des milices loyalistes.
