Après sa sortie du gouvernement, c’est un président tout confiant que nous avons rencontré. Il se dit prêt à affronter le chef de l’Etat sur le terrain et même à le battre. Le président du parti arc-en-ciel, Mabri Toikeusse dégagé désormais de contraintes administratives entend mettre toute son énergie dans cette campagne. Il l’a promis et a donné dans cet entretien la dimension de ce que sera son engagement
Monsieur le ministre, pourquoi avoir choisi de vous retirer du gouvernement ?
Parce que je pars en campagne.Nous sommes à deux mois des élections. Je crois que ce temps devrait être mis à profit pour que sur le terrain, nous remobilisions nos troupes, nous organiserions mieux notre campagne et que nous nous préparions à gagner les prochaines élections.
Monsieur le ministre, il se murmure que c’est parce que vous avez proposé trois fois votre propre nom sur la liste du l’Udpci chose que le président ayant refusé, que vous avez décidé de ne pas aller au gouvernement vous personnellement?
Je n’ai donné aucun nom encore, ni mon nom ni autre nom. A ce que je sache, peut-être que les premiers à avoir donné des noms au niveau du Rhdp on dû le faire hier soir. Ce que je sais c’est que nous nous sommes tous donnés jusqu’à mercredi pour le faire. Donc, je n’ai aucune proposition jusqu’à présent présent ni à la personne de Mabri Toikeusse ni personne d’autre et puis il n’ya eu aucune réunion au niveau de l’Udpci avec comme ordre du jour la désignation de celui qui aurait notre mandat pour le gouvernement. Cela relève de moi, pas de la direction du parti. Je prends des avis et ça se limite à cela.
Ne craignez-vous pas d’être trahi par celui qui sera désigné au gouvernement ?
Non, je suis confiant. Je crois que ce ne sera pas le cas et puis de toutes les façons ceux qui organisent la trahison jusque là en payent le prix. Et ce prix là pourrait faire la déception sur le terrain je pense qu’ils ne vont pas s’amuser à ça et aussi qu’aucun cadre ne jouera encore à ce jour parce que de toutes les façons tous ceux qui sont allé de cette façon, sont aujourd’hui l’ombre d’eux même.
Quel est votre agenda après la sortie du gouvernement ?
Je me prépare à mettre en place le cabinet du président de l’UDPCI et QG de campagne. Ensuite, nous irons sur le terrain pour entreprendre une tournée en particulier dans le bastion de Laurent Gbagbo.
Vous venez de quitter un ministère important. Que doit-on retenir de votre passage à ce ministère ?
C’est ma volonté d’organiser le secteur en particulier le transport routier qui est un secteur pourvoyeur d’emplois et de ressources. C’est un secteur qui est profitable aussi bien aux acteurs du secteur qu’à l’Etat. Un secteur réfractaire à tout changement, où nous avons mis beaucoup d’énergie. Les choses sont en train de prendre forme. Celui qui va me succéder va poursuivre ces efforts, et j’espère qu’il aura une oreille attentive pour tous les acteurs du milieu pour que le transport aérien puisse bénéficier de la certification de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny en 2010. Il ya aussi la réorganisation du secteur maritime où les Etats généraux ont été reportés deux fois par le chef de l’Etat, sans raison. J’espère que ces Etats généraux de la mer auront lieu et qu’ils permettront de relancer l’économie marine en Côte d’Ivoire. Je souhaite pour nos ports que le chemin de fer soit réhabilité. C’est d’ailleurs un projet sur lequel nous étions en collaboration avec le Burkina ; et je pense que nous avons réussi quelques-uns de ces grands chantiers. Il y a la mise en place du Fond de Développement des Transports pour le renouvellement du parc automobile vieillissant de la Côte d’Ivoire, et bien d’autres comme l’organisation des petits transporteurs en organisations d’intérêt économique. Nous avons aussi réussi des choses comme la réforme du permis de conduire. Il y avait tant à faire que cela demandait beaucoup de temps. Je souhaite pour la Côte d’Ivoire, pour les hommes du secteur et pour l’économie Ivoirienne que, ces efforts soient poursuivis.
Peut-on avoir le nom de celui qui sera désigné pour l’UDPCI ?
Vous le saurez d’ici ce soir.
Vous serez bientôt en compagne. Quel appel lancez-vous aux militants de l’UDPCI ?
je leur d’observer la plus grande des cohésions. Si nous sommes sondés, l’Udpci triompher et j’ai qu’ils comprendraient que c’est le moment de faire bloc. C’est le moment également de se mobiliser pour mettre à profit nos acquis pour permettre aux femmes et aux jeunes Ivoiriens d’avoir l’espérance qu’ils sont en droit d’attendre de nous. L’espoir n’est pas perdu pour la Côte d’Ivoire.
L’un des points importants de votre programme c’est l’emploi. Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?
Premièrement il faut savoir que l’Etat ne peut plus être premier pourvoyeur d’emploi. Nous devons, dans un deuxième temps, créer les mécanismes de l’auto-emploi. Dans notre programme de gouvernement, nous avons des schemas qui s’éloignent de ceux que nous avons aujourd’hui. Il y a un fond de promotion de l’emploi jeune qui est meconnu des Ivoiriens et qui est à la disposition d’apprentis politiciens qui prennent ce argent pour se liberer des jeunes en les amenant à se mettre au service de grands maîtres qui sont malheureusement en train de compromettre leur avenir. Nous avons un schéma pour l’emploi, notamment le soutien au secteur privé, les facilités fiscales pour mieux assainir l’environnement des affaires en mettant en place un système judiciare fillable. Ce qui va permettre de mettre en confiance tous les investisseurs. Tous les jeunes formés dans nos écoles qui ont de belles idées, mais qui ne trouvent pas encore l’appui nécessaire, puissent avoir des opportunités pour s’offrir leur propre emploi, afin qu’eux aussi puissent employer d’autres jeunes sans emploi.
Monsieur le ministre, pourquoi avoir choisi de vous retirer du gouvernement ?
Parce que je pars en campagne.Nous sommes à deux mois des élections. Je crois que ce temps devrait être mis à profit pour que sur le terrain, nous remobilisions nos troupes, nous organiserions mieux notre campagne et que nous nous préparions à gagner les prochaines élections.
Monsieur le ministre, il se murmure que c’est parce que vous avez proposé trois fois votre propre nom sur la liste du l’Udpci chose que le président ayant refusé, que vous avez décidé de ne pas aller au gouvernement vous personnellement?
Je n’ai donné aucun nom encore, ni mon nom ni autre nom. A ce que je sache, peut-être que les premiers à avoir donné des noms au niveau du Rhdp on dû le faire hier soir. Ce que je sais c’est que nous nous sommes tous donnés jusqu’à mercredi pour le faire. Donc, je n’ai aucune proposition jusqu’à présent présent ni à la personne de Mabri Toikeusse ni personne d’autre et puis il n’ya eu aucune réunion au niveau de l’Udpci avec comme ordre du jour la désignation de celui qui aurait notre mandat pour le gouvernement. Cela relève de moi, pas de la direction du parti. Je prends des avis et ça se limite à cela.
Ne craignez-vous pas d’être trahi par celui qui sera désigné au gouvernement ?
Non, je suis confiant. Je crois que ce ne sera pas le cas et puis de toutes les façons ceux qui organisent la trahison jusque là en payent le prix. Et ce prix là pourrait faire la déception sur le terrain je pense qu’ils ne vont pas s’amuser à ça et aussi qu’aucun cadre ne jouera encore à ce jour parce que de toutes les façons tous ceux qui sont allé de cette façon, sont aujourd’hui l’ombre d’eux même.
Quel est votre agenda après la sortie du gouvernement ?
Je me prépare à mettre en place le cabinet du président de l’UDPCI et QG de campagne. Ensuite, nous irons sur le terrain pour entreprendre une tournée en particulier dans le bastion de Laurent Gbagbo.
Vous venez de quitter un ministère important. Que doit-on retenir de votre passage à ce ministère ?
C’est ma volonté d’organiser le secteur en particulier le transport routier qui est un secteur pourvoyeur d’emplois et de ressources. C’est un secteur qui est profitable aussi bien aux acteurs du secteur qu’à l’Etat. Un secteur réfractaire à tout changement, où nous avons mis beaucoup d’énergie. Les choses sont en train de prendre forme. Celui qui va me succéder va poursuivre ces efforts, et j’espère qu’il aura une oreille attentive pour tous les acteurs du milieu pour que le transport aérien puisse bénéficier de la certification de l’aéroport Félix Houphouët-Boigny en 2010. Il ya aussi la réorganisation du secteur maritime où les Etats généraux ont été reportés deux fois par le chef de l’Etat, sans raison. J’espère que ces Etats généraux de la mer auront lieu et qu’ils permettront de relancer l’économie marine en Côte d’Ivoire. Je souhaite pour nos ports que le chemin de fer soit réhabilité. C’est d’ailleurs un projet sur lequel nous étions en collaboration avec le Burkina ; et je pense que nous avons réussi quelques-uns de ces grands chantiers. Il y a la mise en place du Fond de Développement des Transports pour le renouvellement du parc automobile vieillissant de la Côte d’Ivoire, et bien d’autres comme l’organisation des petits transporteurs en organisations d’intérêt économique. Nous avons aussi réussi des choses comme la réforme du permis de conduire. Il y avait tant à faire que cela demandait beaucoup de temps. Je souhaite pour la Côte d’Ivoire, pour les hommes du secteur et pour l’économie Ivoirienne que, ces efforts soient poursuivis.
Peut-on avoir le nom de celui qui sera désigné pour l’UDPCI ?
Vous le saurez d’ici ce soir.
Vous serez bientôt en compagne. Quel appel lancez-vous aux militants de l’UDPCI ?
je leur d’observer la plus grande des cohésions. Si nous sommes sondés, l’Udpci triompher et j’ai qu’ils comprendraient que c’est le moment de faire bloc. C’est le moment également de se mobiliser pour mettre à profit nos acquis pour permettre aux femmes et aux jeunes Ivoiriens d’avoir l’espérance qu’ils sont en droit d’attendre de nous. L’espoir n’est pas perdu pour la Côte d’Ivoire.
L’un des points importants de votre programme c’est l’emploi. Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?
Premièrement il faut savoir que l’Etat ne peut plus être premier pourvoyeur d’emploi. Nous devons, dans un deuxième temps, créer les mécanismes de l’auto-emploi. Dans notre programme de gouvernement, nous avons des schemas qui s’éloignent de ceux que nous avons aujourd’hui. Il y a un fond de promotion de l’emploi jeune qui est meconnu des Ivoiriens et qui est à la disposition d’apprentis politiciens qui prennent ce argent pour se liberer des jeunes en les amenant à se mettre au service de grands maîtres qui sont malheureusement en train de compromettre leur avenir. Nous avons un schéma pour l’emploi, notamment le soutien au secteur privé, les facilités fiscales pour mieux assainir l’environnement des affaires en mettant en place un système judiciare fillable. Ce qui va permettre de mettre en confiance tous les investisseurs. Tous les jeunes formés dans nos écoles qui ont de belles idées, mais qui ne trouvent pas encore l’appui nécessaire, puissent avoir des opportunités pour s’offrir leur propre emploi, afin qu’eux aussi puissent employer d’autres jeunes sans emploi.