Le mercredi 24 février 2010 a été la date retenue par la conférence des présidents de clubs, pour laver le linge sale en famille en présence de Jacques Anouma Bernard.
C’est précisément à l’immeuble EECI que la réunion de la conférence des présidents s’est finalement tenue à défaut du siège de la FIF, pour coupure d’électricité. De 12h00 à 16h30, soit une durée de 4h 30 min d’horloge pour prendre des décisions idoines pour l’avenir du football ivoirien et mettre fin à la gabegie de Jacques Anouma. Des décisions qui avaient été prises depuis la débâcle honteuse de Cabinda par les présidents de clubs et qui devaient être entérinées vaille que vaille par le président de la FIF. Au quel cas le sieur Jacques Anouma se devait de céder son fauteuil à mieux que lui en cas de refus de celui-ci.
En effet, le vendredi 26 février dernier, de 11h30 à 20h29, la chambre 106 d’un hôtel de la place et enceinte adiabatique fut le lieu indiqué pour confirmer les décisions arrêtées deux jours avant par les présidents des clubs. Ainsi, il a été décidé ce qui suit : Me Roger Ouégnin s’occupera désormais de la reforme sine die de la Direction Technique Nationale(DTN). Il a aussi été décidé de l’entrée de 07 membres c`est-à-dire des présidents de clubs, pour l’organisation de la ligue professionnelle. Ont donc été retenu MM. Bictogo Salif, Ervé Siaba, Ahoua Stalone, Aké Paul Bénoit, Ginette Ross, Aby Richmond et Ehouman Richard.
En outre, 07 autres présidents constitueront désormais le bureau exécutif pour un total de 18 membres. Mieux, ce sera à ces derniers que reviendront désormais les grandes décisions et orientations. Quand aux financements des clubs ivoiriens, ils se feront grâce aux différents sponsors et celui de l’équipe nationale par l’ETAT de Côte d’Ivoire. ..
Au sortir de cette rencontre houleuse et pérenne, un horizon nouveau se dégage. Jacques Anouma Bernard Daniel a perdu tous les pouvoirs à la FIF en attendant assurément son départ certain à l’image du ballet infernal des entraineurs qui se succèdent au chevet de la sélephanto, malade de son ascension.
ATHANASE ZEGA
C’est précisément à l’immeuble EECI que la réunion de la conférence des présidents s’est finalement tenue à défaut du siège de la FIF, pour coupure d’électricité. De 12h00 à 16h30, soit une durée de 4h 30 min d’horloge pour prendre des décisions idoines pour l’avenir du football ivoirien et mettre fin à la gabegie de Jacques Anouma. Des décisions qui avaient été prises depuis la débâcle honteuse de Cabinda par les présidents de clubs et qui devaient être entérinées vaille que vaille par le président de la FIF. Au quel cas le sieur Jacques Anouma se devait de céder son fauteuil à mieux que lui en cas de refus de celui-ci.
En effet, le vendredi 26 février dernier, de 11h30 à 20h29, la chambre 106 d’un hôtel de la place et enceinte adiabatique fut le lieu indiqué pour confirmer les décisions arrêtées deux jours avant par les présidents des clubs. Ainsi, il a été décidé ce qui suit : Me Roger Ouégnin s’occupera désormais de la reforme sine die de la Direction Technique Nationale(DTN). Il a aussi été décidé de l’entrée de 07 membres c`est-à-dire des présidents de clubs, pour l’organisation de la ligue professionnelle. Ont donc été retenu MM. Bictogo Salif, Ervé Siaba, Ahoua Stalone, Aké Paul Bénoit, Ginette Ross, Aby Richmond et Ehouman Richard.
En outre, 07 autres présidents constitueront désormais le bureau exécutif pour un total de 18 membres. Mieux, ce sera à ces derniers que reviendront désormais les grandes décisions et orientations. Quand aux financements des clubs ivoiriens, ils se feront grâce aux différents sponsors et celui de l’équipe nationale par l’ETAT de Côte d’Ivoire. ..
Au sortir de cette rencontre houleuse et pérenne, un horizon nouveau se dégage. Jacques Anouma Bernard Daniel a perdu tous les pouvoirs à la FIF en attendant assurément son départ certain à l’image du ballet infernal des entraineurs qui se succèdent au chevet de la sélephanto, malade de son ascension.
ATHANASE ZEGA