Le Fonds monétaire international (FMI), dans le cadre de son évaluation périodique, a envoyé une mission en Côte d’Ivoire. Doris Ross, chef de division Ouest 2 pour le département Afrique, qui était accompagné du représentant-résident en Côte d’Ivoire, Philippe Egoumé, a eu une séance de travail avec le ministre de la Fonction publique et de l’Emploi, Emile Guiriéoulou.
Après près d’une heure d’échanges, le ministre a déclaré à la presse que les échanges ont porté sur deux points essentiels. Selon lui, le premier point a concerné la question de la masse salariale et le second, les reformes institutionnelles et organisationnelles à opérer pour améliorer le fonctionnement de l’administration. Poussant plus loin les explications, le ministre a dit que dans le dossier PPTE, la question de la masse salariale est centrale et que la Côte d’Ivoire doit maintenir la masse salariale si elle veut atteindre le point d’achèvement. “C’est l’un des dossiers prioritaires avec les partenaires au développement”, a-t-il fait savoir. Mais, il a aussi précisé que les partenaires au développement n’imposent pas de délai de réalisation dans la mise en œuvre des réformes. “Il nous faut pour nous-mêmes, régler un certain nombre de questions qui vont permettre à l’Etat d’être moderne. Vous convenez avec moi qu’un Etat qui ne connaît pas le nombre de ses fonctionnaires, qui n’a pas un fichier assaini n’est pas un Etat moderne”, a fait remarquer le ministre.
Emile Guiriéoulou a précisé que les échanges vont se poursuivre avec la délégation du FMI et qu’un autre rendez-vous a été fixé.
Koné Modeste
Après près d’une heure d’échanges, le ministre a déclaré à la presse que les échanges ont porté sur deux points essentiels. Selon lui, le premier point a concerné la question de la masse salariale et le second, les reformes institutionnelles et organisationnelles à opérer pour améliorer le fonctionnement de l’administration. Poussant plus loin les explications, le ministre a dit que dans le dossier PPTE, la question de la masse salariale est centrale et que la Côte d’Ivoire doit maintenir la masse salariale si elle veut atteindre le point d’achèvement. “C’est l’un des dossiers prioritaires avec les partenaires au développement”, a-t-il fait savoir. Mais, il a aussi précisé que les partenaires au développement n’imposent pas de délai de réalisation dans la mise en œuvre des réformes. “Il nous faut pour nous-mêmes, régler un certain nombre de questions qui vont permettre à l’Etat d’être moderne. Vous convenez avec moi qu’un Etat qui ne connaît pas le nombre de ses fonctionnaires, qui n’a pas un fichier assaini n’est pas un Etat moderne”, a fait remarquer le ministre.
Emile Guiriéoulou a précisé que les échanges vont se poursuivre avec la délégation du FMI et qu’un autre rendez-vous a été fixé.
Koné Modeste