Le nouveau ministre de la Culture et de la Francophonie, Moutaye Anzoumana, a pris fonction hier. Dans une ambiance bon enfant, il s’est dit prêt à affronter les défis qui se présentent à lui.
C’est un Augustin Kouadio Komoé heureux, fort de son nouveau poste de ministre des Mines et Energies qui a passé le relais au nouveau ministre de la Culture et de la Francophonie, Anzoumana Moutaye. Hier, au 22e étage de la Tour E de la Cité administrative sise au Plateau, la salle de conférence dudit ministère s’est trouvée exiguë. De nombreux collaborateurs du ministre sortant, mais aussi ceux du nouvel arrivant n’ont pas voulu se faire raconter l’évènement. Très à l’aise, Augustin Komoé a passé en revue ce qui a été fait par son équipe en trois années . De la mise en place d’un document d’une politique culturelle nationale, en passant par l’installation du Burida nouveau, jusqu’à la réflexion sur le zouglou (musique et danse urbaines de Côte d’Ivoire) et le nouchi (jargon abidjanais), le nouvel homme fort de la culture a fait savoir à son successeur qu’il y a du travail qui l’attend. Un constat que le nouveau responsable de la culture ivoirienne a vite perçu. « De mon métier d’ingénieur où je suis toujours sur les chantiers, je pensais qu’en venant ici, je venais pour me reposer. Mais en écoutant le ministre Komoé, je me rends compte qu’il y a de grands chantiers qui sont ouverts, tandis que d’autres sont sur le point de voir le jour. Donc, il y a du travail et ce n’est pas un lieu de repos. Pour moi, c’est un motif de fierté que de savoir qu’il y a autant de travaux à faire ici », a apprécié le ministre entrant. Selon lui, le ministère en charge de la culture est « un grand ministère », même si ceux qui sont dehors n’en sont pas convaincus. « Je pense pouvoir m’adapter pour amener à bien ce département », a estimé le ministre Moutaye. Le secrétaire général du gouvernement, Tyéhoulou Félix, a félicité Augustin Komoé pour tout le travail qu’il a fait au sein du ministère et reconnu la capacité du ministre arrivant à faire mieux que son prédécesseur. Car, pense-t-il, celui-ci est « une personne humble ». Une qualité qui sera pour lui un grand avantage.
Sanou Amadou (stagiaire)
C’est un Augustin Kouadio Komoé heureux, fort de son nouveau poste de ministre des Mines et Energies qui a passé le relais au nouveau ministre de la Culture et de la Francophonie, Anzoumana Moutaye. Hier, au 22e étage de la Tour E de la Cité administrative sise au Plateau, la salle de conférence dudit ministère s’est trouvée exiguë. De nombreux collaborateurs du ministre sortant, mais aussi ceux du nouvel arrivant n’ont pas voulu se faire raconter l’évènement. Très à l’aise, Augustin Komoé a passé en revue ce qui a été fait par son équipe en trois années . De la mise en place d’un document d’une politique culturelle nationale, en passant par l’installation du Burida nouveau, jusqu’à la réflexion sur le zouglou (musique et danse urbaines de Côte d’Ivoire) et le nouchi (jargon abidjanais), le nouvel homme fort de la culture a fait savoir à son successeur qu’il y a du travail qui l’attend. Un constat que le nouveau responsable de la culture ivoirienne a vite perçu. « De mon métier d’ingénieur où je suis toujours sur les chantiers, je pensais qu’en venant ici, je venais pour me reposer. Mais en écoutant le ministre Komoé, je me rends compte qu’il y a de grands chantiers qui sont ouverts, tandis que d’autres sont sur le point de voir le jour. Donc, il y a du travail et ce n’est pas un lieu de repos. Pour moi, c’est un motif de fierté que de savoir qu’il y a autant de travaux à faire ici », a apprécié le ministre entrant. Selon lui, le ministère en charge de la culture est « un grand ministère », même si ceux qui sont dehors n’en sont pas convaincus. « Je pense pouvoir m’adapter pour amener à bien ce département », a estimé le ministre Moutaye. Le secrétaire général du gouvernement, Tyéhoulou Félix, a félicité Augustin Komoé pour tout le travail qu’il a fait au sein du ministère et reconnu la capacité du ministre arrivant à faire mieux que son prédécesseur. Car, pense-t-il, celui-ci est « une personne humble ». Une qualité qui sera pour lui un grand avantage.
Sanou Amadou (stagiaire)