La machine de la nouvelle Cei a l’allumage lent. L’équipe de Youssouf Bakayoko a prêté serment le jeudi 25 février. L’on était en droit de croire que le processus irait sur des chapeaux de roue. Etant entendu qu’il fallait très rapidement rattraper le temps perdu.
Mais, à la vérité, on a eu tort de vite rêver. La Cei qui a été mise en place par la volonté du chef de l’Etat n’a pas encore intégré la notion de temps. Elle ne sait pas ou feint d’ignorer que le temps est son premier ennemi. Les élections présidentielles sont annoncées fin mai-début juin.
Les tâches qui concourent à la tenue de ce délai sont encore en souffrance.
Le contentieux sur la liste électorale qui soulève bien des passions et cristallise les débats dans les chapelles politiques qui devrait être prestement relancé dès la mise en place de la nouvelle Cei n’a jusque-là pas encore connu un début de commencement.
Youssouf Bakayoko, a-t-on appris de sources proches de la Cei, est encore en train de consulter la classe politique. Le temps, lui, continue sa longue marche inexorable en grignotant les deux petits mois qui restent à la Côte d’Ivoire pour organiser ses élections fin mai-début juin.
Il urge, aujourd’hui, que Youssouf Bakayoko prenne les choses en main pour exécuter, comme l’a dit Robert Beugré Mambé, ancien chef de la Cei, les 5% des tâches qui restent.
K. Marras. D
Mais, à la vérité, on a eu tort de vite rêver. La Cei qui a été mise en place par la volonté du chef de l’Etat n’a pas encore intégré la notion de temps. Elle ne sait pas ou feint d’ignorer que le temps est son premier ennemi. Les élections présidentielles sont annoncées fin mai-début juin.
Les tâches qui concourent à la tenue de ce délai sont encore en souffrance.
Le contentieux sur la liste électorale qui soulève bien des passions et cristallise les débats dans les chapelles politiques qui devrait être prestement relancé dès la mise en place de la nouvelle Cei n’a jusque-là pas encore connu un début de commencement.
Youssouf Bakayoko, a-t-on appris de sources proches de la Cei, est encore en train de consulter la classe politique. Le temps, lui, continue sa longue marche inexorable en grignotant les deux petits mois qui restent à la Côte d’Ivoire pour organiser ses élections fin mai-début juin.
Il urge, aujourd’hui, que Youssouf Bakayoko prenne les choses en main pour exécuter, comme l’a dit Robert Beugré Mambé, ancien chef de la Cei, les 5% des tâches qui restent.
K. Marras. D