Qu'est-ce qui occupe votre quotidien depuis votre départ du gouvernement?
Avant même d'entrer au gouvernement, j'étais déjà un homme très occupé. Je suis quand même docteur en Economie et à ce titre, je suis enseignant-chercheur à l'Université de Bouaké. A côté de cela, je suis le fondateur de plusieurs établissements dont une université privée. En un mot, j'avais plusieurs activités qui m'occupaient jusqu'à ce qu'à un moment donné, mon parti a jugé bon que j'entre au gouvernement. Etant là-bas, mes affaires avaient commencé à prendre un coup. Aujourd'hui, je suis un peu libéré pour reprendre en main mes affaires. Je suis donc très occupé.
Qu'en est-il également de votre fonction d'enseignant ?
Je demeure enseignant puisque je suis fonctionnaire. Je verrai avec le doyen de l'Ufr de Sciences Economiques dans quelles mesures je peux reprendre mes cours. Certainement que je ne pourrai pas les dispenser comme je le faisais auparavant mais je resterai disponible. Il serait donc dommageable qu'on s'éloigne de cet environnement.
Quelle part de votre temps consacrez-vous alors à votre parti ?
Le Parti ivoirien des travailleurs nous a permis, dans notre principe de rotation, d'avoir plus de militants qui se soient frottés aux affaires de l'Etat. Aujourd'hui, si nous prenons le pouvoir, nous n'allons pas tâtonner. Nous avons donc ce système qui est très huilé et qui permet aux uns et aux autres qui arrivent, de savoir qu'à un moment donné, ils doivent partir sans que cela crée un problème. Etant un cadre important du parti, j'ai donc l'obligation d'être disponible pour les activités de mon parti dans la perspective des élections à venir.
Quel commentaire faites-vous sur certains de vos anciens collègues qui ont vite atterri dans certains cabinets ministériels ?
Dans la vie, chacun a son choix à faire. S'ils ont fait cette option, je pense qu'ils peuvent continuer de servir l'Etat.
Entretien réalisé par Marc Dossa
Avant même d'entrer au gouvernement, j'étais déjà un homme très occupé. Je suis quand même docteur en Economie et à ce titre, je suis enseignant-chercheur à l'Université de Bouaké. A côté de cela, je suis le fondateur de plusieurs établissements dont une université privée. En un mot, j'avais plusieurs activités qui m'occupaient jusqu'à ce qu'à un moment donné, mon parti a jugé bon que j'entre au gouvernement. Etant là-bas, mes affaires avaient commencé à prendre un coup. Aujourd'hui, je suis un peu libéré pour reprendre en main mes affaires. Je suis donc très occupé.
Qu'en est-il également de votre fonction d'enseignant ?
Je demeure enseignant puisque je suis fonctionnaire. Je verrai avec le doyen de l'Ufr de Sciences Economiques dans quelles mesures je peux reprendre mes cours. Certainement que je ne pourrai pas les dispenser comme je le faisais auparavant mais je resterai disponible. Il serait donc dommageable qu'on s'éloigne de cet environnement.
Quelle part de votre temps consacrez-vous alors à votre parti ?
Le Parti ivoirien des travailleurs nous a permis, dans notre principe de rotation, d'avoir plus de militants qui se soient frottés aux affaires de l'Etat. Aujourd'hui, si nous prenons le pouvoir, nous n'allons pas tâtonner. Nous avons donc ce système qui est très huilé et qui permet aux uns et aux autres qui arrivent, de savoir qu'à un moment donné, ils doivent partir sans que cela crée un problème. Etant un cadre important du parti, j'ai donc l'obligation d'être disponible pour les activités de mon parti dans la perspective des élections à venir.
Quel commentaire faites-vous sur certains de vos anciens collègues qui ont vite atterri dans certains cabinets ministériels ?
Dans la vie, chacun a son choix à faire. S'ils ont fait cette option, je pense qu'ils peuvent continuer de servir l'Etat.
Entretien réalisé par Marc Dossa
