Le 17 mars 2009 au cours de la séance du Conseil de sécurité des Nations Unies, l’Ambassadeur Alcide Djédjé s’est livré à un exercice de dénonciation systématique des Forces Nouvelles, les épinglant comme ceux qui bloquent le processus de sortie de crise.
L’Ambassadeur a indiqué que les Forces Nouvelles en refusant de désarmer empêcheraient la tenue de l’élection présidentielle et que son camp n’irait jamais à celle-ci sans le rétablissement de l’autorité de l’Etat.
En outre, il a rajouté que les Nations Unies ne peuvent pas valider un scrutin national sur un territoire coupé en deux avec l’interdiction d’accès à un candidat et ses partisans sur une partie de ce territoire et une télévision privée dans la zone contrôlée par les Forces Nouvelles.
Les Forces Nouvelles sont indignées et surprises que ledit ambassadeur, membre du Comité d’Evaluation et d’Accompagnement de l’Accord Politique de Ouagadougou (CEA) n’ait pas choisi ce cadre d’échanges pour régler les problèmes si cela était nécessaire, mais plutôt qu’il choisisse de façon unilatérale une telle tribune internationale pour étaler ces préoccupations.
Or il n’est pas sans ignorer que l’Accord Politique de Ouagadougou est très clair sur ces questions qui ne sont en aucun cas un préalable à l’organisation de l’élection présidentielle comme il tente de le faire accroire.
Face à de tels faits graves, les Forces Nouvelles tiennent une conférence de presse le lundi 22 mars 2010 à 17 h au Golf Hôtel pour clairement exposer leur position relativement à tous les aspects du processus de sortie de crise.
Pour les Forces Nouvelles
Le Porte-parole
Me Affoussy BAMBA
L’Ambassadeur a indiqué que les Forces Nouvelles en refusant de désarmer empêcheraient la tenue de l’élection présidentielle et que son camp n’irait jamais à celle-ci sans le rétablissement de l’autorité de l’Etat.
En outre, il a rajouté que les Nations Unies ne peuvent pas valider un scrutin national sur un territoire coupé en deux avec l’interdiction d’accès à un candidat et ses partisans sur une partie de ce territoire et une télévision privée dans la zone contrôlée par les Forces Nouvelles.
Les Forces Nouvelles sont indignées et surprises que ledit ambassadeur, membre du Comité d’Evaluation et d’Accompagnement de l’Accord Politique de Ouagadougou (CEA) n’ait pas choisi ce cadre d’échanges pour régler les problèmes si cela était nécessaire, mais plutôt qu’il choisisse de façon unilatérale une telle tribune internationale pour étaler ces préoccupations.
Or il n’est pas sans ignorer que l’Accord Politique de Ouagadougou est très clair sur ces questions qui ne sont en aucun cas un préalable à l’organisation de l’élection présidentielle comme il tente de le faire accroire.
Face à de tels faits graves, les Forces Nouvelles tiennent une conférence de presse le lundi 22 mars 2010 à 17 h au Golf Hôtel pour clairement exposer leur position relativement à tous les aspects du processus de sortie de crise.
Pour les Forces Nouvelles
Le Porte-parole
Me Affoussy BAMBA