Toujours conduite par Madame Doris Ross, la deuxième mission d’évaluation du programme économique a pris fin il y a quelques jours. Conclu avec les bailleurs de fonds le 27 mars 2009, ledit programme est censé aboutir à l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative PPTE par la Côte d’Ivoire. Après avoir qualifié de ‘’dégradé’’ l’environnement dans lequel se déroule ledit programme, le rapport a constaté : « les évènements sociopolitiques de février et les délestages d’électricité ont entraîné un ralentissement de l’activité ». Le FMI a surtout salué ‘’une performance économique du pays en 2009, pour s’établir à 3,8%, entraînant une croissance par habitant positive pour la première fois depuis 1998’’, selon le communiqué publié. Le moins que l’on puisse déduire, est que la Côte d’Ivoire fonce tout droit vers le point d’achèvement, après cet autre record battu par le Ministre Diby Koffi, et formellement révélé par les bailleurs de fonds internationaux. Les analystes et observateurs avertis de la vie économique ivoirienne n’ont donc pas tort, d’affirmer que ce pays est au seuil de la délivrance financière, qui se traduira par l’effacement des 6700 milliards de FCFA de dette, et l’octroi de 3000 autres milliards nécessaires à la réalisation d’un développement durable. Le moins que l’on puisse non moins affirmer, est qu’il s’agit d’un grandissime hommage adressé à l’Administration financière nationale dans son ensemble, qui a redoublé d’ardeur et d’effort durant les six derniers mois, en s’appropriant des mesures de bonne gouvernance édictées par l’actuel meilleur ministre des Finances d’Afrique, Charles Diby Koffi.
La preuve par deux de la bonne gouvernance
« Malgré la crise, l’activité économique au premier semestre s’est maintenue à un bon niveau, et l’objectif de croissance de 3,5% en 2009 peut-être atteint. Les perspectives économiques du pays restent favorables. L’exécution du budget de 2009 au premier semestre était globalement satisfaisante et les objectifs annuels devraient être atteints ». Tel était le résumé de la première mission d’évaluation qui a séjourné en Côte d’Ivoire du 02 au 17 septembre 2009. C’est donc la preuve par deux, de la bonne gestion des Finances publiques ivoiriennes, de la bonne gouvernance tout court. Tout beigne comme le dit l’adage, ce qui rassure d’un avenir économique et financier radieux pour la Côte d’Ivoire, au seuil du sésame indispensable à la réalisation des grands investissements. A mi-parcours du chemin, le bilan est donc globalement positif, comme l’indique l’état d’âme clairement exprimé par les bailleurs de fonds eux-mêmes. En rang serré et comme un seul homme, les Ivoiriens devraient donc gratifier leur Administration financière d’un standing ovation and congratulations, pour être en train de réaliser le grand chelem. Ce second quitus des bailleurs de fonds au ministre Diby Koffi, fermera à coup sur le caquet aux négationnistes éternellement jaloux et aigris comme pas deux, qui s’efforcent de peindre en noir le tableau économique ivoirien, que le monde entier qualifie pourtant de reluisant. Comme peau de chagrin ou comme du beurre au soleil, leurs arguments s’évanouissent peu à peu, leur enlevant toute latitude de payer des pisses vinaigres chargés de salir les autorités de la République.
Franck Boyo
La preuve par deux de la bonne gouvernance
« Malgré la crise, l’activité économique au premier semestre s’est maintenue à un bon niveau, et l’objectif de croissance de 3,5% en 2009 peut-être atteint. Les perspectives économiques du pays restent favorables. L’exécution du budget de 2009 au premier semestre était globalement satisfaisante et les objectifs annuels devraient être atteints ». Tel était le résumé de la première mission d’évaluation qui a séjourné en Côte d’Ivoire du 02 au 17 septembre 2009. C’est donc la preuve par deux, de la bonne gestion des Finances publiques ivoiriennes, de la bonne gouvernance tout court. Tout beigne comme le dit l’adage, ce qui rassure d’un avenir économique et financier radieux pour la Côte d’Ivoire, au seuil du sésame indispensable à la réalisation des grands investissements. A mi-parcours du chemin, le bilan est donc globalement positif, comme l’indique l’état d’âme clairement exprimé par les bailleurs de fonds eux-mêmes. En rang serré et comme un seul homme, les Ivoiriens devraient donc gratifier leur Administration financière d’un standing ovation and congratulations, pour être en train de réaliser le grand chelem. Ce second quitus des bailleurs de fonds au ministre Diby Koffi, fermera à coup sur le caquet aux négationnistes éternellement jaloux et aigris comme pas deux, qui s’efforcent de peindre en noir le tableau économique ivoirien, que le monde entier qualifie pourtant de reluisant. Comme peau de chagrin ou comme du beurre au soleil, leurs arguments s’évanouissent peu à peu, leur enlevant toute latitude de payer des pisses vinaigres chargés de salir les autorités de la République.
Franck Boyo