Hier, plusieurs patrons d’entreprises françaises ont été reçus au cabinet du 1er responsable des mines et de l’énergie.
L’avenir s’annonce avec optimisme. Les gros nuages qui obscurcissent l’horizon de l’énergie en Côte d’Ivoire semblent davantage se dissiper. Après l’annonce prématurée de la fin du délestage, un des épineux problèmes vient de trouver une solution. L’éternelle surexploitation de la centrale thermique d’Azito ne serait bientôt qu’un souvenir. Du moins à en croire la promesse faite par le premier patron ivoirien des mines et de l’énergie, Augustin Comoé. A l’issue d’une audience avec plus d’une dizaines de chefs d’entreprises regroupés au sein du Mouvement des chefs d’entreprises françaises (Medef), hier à son cabinet. « Nous accueillons ces chefs d’entreprises à un moment crucial qu’est la reconstruction du pays avec le processus de sortie de crise enclenché. Plusieurs projets verront le jour, d’autres sont en cours. A cet effet, grâce à une entreprise, une nouvelle centrale thermique verra le jour début mai avec une puissance de 70 mégawatts pour résorber le déficit», a indiqué le ministre des mines et de l’énergie. Poursuivant, il a fait remarquer que l’avenir s’annonce plus radieux parce que « tout le monde entier est mobilisé pour la Côte d’Ivoire ». Pour sa part, le chef de la délégation du Medef, Philippe Anizan, a précisé que l’essentiel de la rencontre avec le ministre Comoé se résumait à l’énergie renouvelable et l’électrification villageoise. Insistant sur la volonté de développement du ministre, il a rassuré que sa délégation se fera l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire à l’extérieur, car, dira-t-il : «Ce pays regorge d’énormes potentialités pour un véritable développement ». Le Mouvement des chefs d’entreprises françaises (Medef), arrivé pour la quatrième (4è) fois en cinq (5) ans en début de cette semaine, en terre d’Eburnie, repart aujourd’hui.
Estelle Blai
L’avenir s’annonce avec optimisme. Les gros nuages qui obscurcissent l’horizon de l’énergie en Côte d’Ivoire semblent davantage se dissiper. Après l’annonce prématurée de la fin du délestage, un des épineux problèmes vient de trouver une solution. L’éternelle surexploitation de la centrale thermique d’Azito ne serait bientôt qu’un souvenir. Du moins à en croire la promesse faite par le premier patron ivoirien des mines et de l’énergie, Augustin Comoé. A l’issue d’une audience avec plus d’une dizaines de chefs d’entreprises regroupés au sein du Mouvement des chefs d’entreprises françaises (Medef), hier à son cabinet. « Nous accueillons ces chefs d’entreprises à un moment crucial qu’est la reconstruction du pays avec le processus de sortie de crise enclenché. Plusieurs projets verront le jour, d’autres sont en cours. A cet effet, grâce à une entreprise, une nouvelle centrale thermique verra le jour début mai avec une puissance de 70 mégawatts pour résorber le déficit», a indiqué le ministre des mines et de l’énergie. Poursuivant, il a fait remarquer que l’avenir s’annonce plus radieux parce que « tout le monde entier est mobilisé pour la Côte d’Ivoire ». Pour sa part, le chef de la délégation du Medef, Philippe Anizan, a précisé que l’essentiel de la rencontre avec le ministre Comoé se résumait à l’énergie renouvelable et l’électrification villageoise. Insistant sur la volonté de développement du ministre, il a rassuré que sa délégation se fera l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire à l’extérieur, car, dira-t-il : «Ce pays regorge d’énormes potentialités pour un véritable développement ». Le Mouvement des chefs d’entreprises françaises (Medef), arrivé pour la quatrième (4è) fois en cinq (5) ans en début de cette semaine, en terre d’Eburnie, repart aujourd’hui.
Estelle Blai