Arrivée à Abidjan dans l’après-midi du lundi 22 mars 2010, la délégation du MEDEF (Mouvement des entreprises de France à l’International) conduite par son président M. Patrick Lucas, a entrepris plusieurs consultations avec les autorités ivoiriennes. Objectif, s’assurer du climat des affaires en Côte d’Ivoire et voir dans quelle possibilité faut-il procéder à de nouveaux investissements dans la dynamique du soutien au processus de la relance économique post-crise.
Avant son départ le mercredi 24 mars 2010, dans la capitale burkinabé, la délégation du MEDEF s’est entretenue avec le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi. A l’issue de cette séance de travail, M. Patrick Lucas, a déclaré à la presse la détermination des membres du MEDEF (Mouvement des entreprises de France à l’International) à soutenir la relance de l’activité économique en Côte d’Ivoire. Non sans rappeler la nécessité de la sortie de crise conditionnée par les élections. Ainsi, se montrant rassurant, il a dit : «Nous sommes plus que désireux à accompagner le développement économique de la Côte d’Ivoire. Nous savons que la Côte d’Ivoire a une position extrêmement importante sur le continent africain. Nous sommes absolument convaincus du décollage économique de la Côte d’Ivoire. Et qu’après toutes ces années difficiles, viendra le renouveau. Nous l’espérons. Nous l’accompagnerons. Et nous comptons sur le gouvernement pour créer les conditions pour les opérateurs économiques de créer la richesse.
Nous comptons bien sur le gouvernement. C’est un moment relativement clé, à notre avis, en ce moment pour la Côte d’Ivoire et bien entendu pour toutes les entreprises qui travaillent». Avant de révéler que la seule chose qui préoccupe est que les échéances politiques sont clés dans le développement et le décollage économique de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, dira-t-il, ‘’nous attendons le moment où très clairement à quel moment les élections se tiendront et les échéances seront le point de démarrage pour toute une série d’investisseurs pour venir en Côte d’Ivoire’’. Au cours de cette même rencontre, les membres du Medef ont promis la réalisation des projets déjà admis dont le troisième pont d’Abidjan, la centrale thermique d’Azito, le renouvellement du chantier du barrage de Buyo, le projet de tramways (trains interurbains).
Honoré Kouassi
Avant son départ le mercredi 24 mars 2010, dans la capitale burkinabé, la délégation du MEDEF s’est entretenue avec le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi. A l’issue de cette séance de travail, M. Patrick Lucas, a déclaré à la presse la détermination des membres du MEDEF (Mouvement des entreprises de France à l’International) à soutenir la relance de l’activité économique en Côte d’Ivoire. Non sans rappeler la nécessité de la sortie de crise conditionnée par les élections. Ainsi, se montrant rassurant, il a dit : «Nous sommes plus que désireux à accompagner le développement économique de la Côte d’Ivoire. Nous savons que la Côte d’Ivoire a une position extrêmement importante sur le continent africain. Nous sommes absolument convaincus du décollage économique de la Côte d’Ivoire. Et qu’après toutes ces années difficiles, viendra le renouveau. Nous l’espérons. Nous l’accompagnerons. Et nous comptons sur le gouvernement pour créer les conditions pour les opérateurs économiques de créer la richesse.
Nous comptons bien sur le gouvernement. C’est un moment relativement clé, à notre avis, en ce moment pour la Côte d’Ivoire et bien entendu pour toutes les entreprises qui travaillent». Avant de révéler que la seule chose qui préoccupe est que les échéances politiques sont clés dans le développement et le décollage économique de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, dira-t-il, ‘’nous attendons le moment où très clairement à quel moment les élections se tiendront et les échéances seront le point de démarrage pour toute une série d’investisseurs pour venir en Côte d’Ivoire’’. Au cours de cette même rencontre, les membres du Medef ont promis la réalisation des projets déjà admis dont le troisième pont d’Abidjan, la centrale thermique d’Azito, le renouvellement du chantier du barrage de Buyo, le projet de tramways (trains interurbains).
Honoré Kouassi