Franck Anderson Kouassi, président du Conseil national de communication audiovisuelle (CNCA) vient de confirmer ce que plusieurs personnes pensaient de lui. Anciennement journaliste (et on ne doute pas de ses qualités de journalistes) il est devenu secrétaire général , puis président du CNCA. C’est donc en tant que président du CNCA que sa sortie dans la presse suscite des inquiétudes.
Le président de la structure qui doit contrôler les émissions des télévisions et radiodiffusions, s’est invité dans le débat politique. Parlant des prochaines élections générales en Côte d’Ivoire, Fanck A. Kouassi a choisi son camp. Il s’affiche comme une structure de soutien au camp présidentiel. "Pas d’élections avec des télés en zones CNO", a-t-il déclaré au cours d’une interview accordée à un confrère "bleu" de la place. Au lieu de demander aux télés et radios des zones Cno de se mettre en règle, il préfère se faire le porte-voix du camp présidentiel. Et pourtant, il dit lui-même, dans cette interview que "le CNCA est une autorité administrative indépendante". De quelle indépendance parle-t-il donc ? Il se dévoile pour dire que "maintenant, ce que les gens doivent comprendre, c’est que la période que nous traversons concerne le traitement équitable de l’information et non le traitement égalitaire". On retient que les temps d’antenne ne seront jamais égaux sauf en période électorale avec la plate-forme mise sur pied à cet effet. Pour l’heure, souffrez que le camp présidentiel vous envahisse. Franck Anderson Kouassi en a décidé ainsi. Son parti est au pouvoir et sa propagande doit être faite par…les médias d’Etat. Sinon comment comprendre qu’une autorité administrative in-dé-pen-dan-te puisse gravement aliéner son indépendance ? Le CNCA est devenu le relai ou le satellite du FPI. Tout le monde est donc prévenu. Si pendant les élections présidentielles, les antennes de la RTI sont prises en otage, il ne faudra pas s’en plaindre. C’est maintenant qu’il faut demander la démission de Franck Anderson Kouassi-Kouamé, le militant du Front populaire ivoirien (FPI).
Ange Nicaelle LYRANE
Le président de la structure qui doit contrôler les émissions des télévisions et radiodiffusions, s’est invité dans le débat politique. Parlant des prochaines élections générales en Côte d’Ivoire, Fanck A. Kouassi a choisi son camp. Il s’affiche comme une structure de soutien au camp présidentiel. "Pas d’élections avec des télés en zones CNO", a-t-il déclaré au cours d’une interview accordée à un confrère "bleu" de la place. Au lieu de demander aux télés et radios des zones Cno de se mettre en règle, il préfère se faire le porte-voix du camp présidentiel. Et pourtant, il dit lui-même, dans cette interview que "le CNCA est une autorité administrative indépendante". De quelle indépendance parle-t-il donc ? Il se dévoile pour dire que "maintenant, ce que les gens doivent comprendre, c’est que la période que nous traversons concerne le traitement équitable de l’information et non le traitement égalitaire". On retient que les temps d’antenne ne seront jamais égaux sauf en période électorale avec la plate-forme mise sur pied à cet effet. Pour l’heure, souffrez que le camp présidentiel vous envahisse. Franck Anderson Kouassi en a décidé ainsi. Son parti est au pouvoir et sa propagande doit être faite par…les médias d’Etat. Sinon comment comprendre qu’une autorité administrative in-dé-pen-dan-te puisse gravement aliéner son indépendance ? Le CNCA est devenu le relai ou le satellite du FPI. Tout le monde est donc prévenu. Si pendant les élections présidentielles, les antennes de la RTI sont prises en otage, il ne faudra pas s’en plaindre. C’est maintenant qu’il faut demander la démission de Franck Anderson Kouassi-Kouamé, le militant du Front populaire ivoirien (FPI).
Ange Nicaelle LYRANE