Ivoiriens et Togolais disputent, demain, au Félicia, la manche retour des éliminatoires du Chan 2011 programmé au Soudan. A l'aller à Lomé, faut-il le rappeler, les Eléphants locaux avaient pris le meilleur (2-1) sur les Eperviers. C'est autour de ce résultat que chacune des deux équipes va tenter d'arracher sa qualification durant les 90 minutes de la bataille d'Abidjan. Dans cette optique, le sélectionneur ivoirien Kouadio Georges, en compagnie de deux joueurs, a tenu, hier, le traditionnel point de presse au Ctn à Bingerville. L'option de jeu, l'infirmerie, le mental, la pression et le poids des responsabilités sont entre autres thèmes passés au peigne…
Dans quel état se trouve ton groupe?
L'entraîneur togolais nous a averti que ce sera un match décisif. Nous sommes prêts à nous battre pour la qualification qui fera du bien à notre pays.
Y a-t-il un défi particulier à relever après l'échec des clubs ivoiriens ?
En tant qu'entraîneur, mon défi est de réussir à qualifier l'équipe. Les jeunes gens en sont conscients et nous avons travaillé en conséquence.
Avez-vous des appréhensions ?
Oui, parce que ce match revêt un important enjeu. Pour moi, il s'agit de résoudre une équation en présentant un bon visage face à un adversaire à respecter.
Redoutez-vous l'adversaire togolais?
Je le respecte plutôt. C'est une bonne formation avec des défenseurs costauds, un milieu entreprenant et un attaquant puissant. En tout cas, ils sont sur pied de guerre. Donc, nous devons rester concentrés.
Quels sont vos atouts qui vous rassurent tant?
Nos atouts sont la cohésion, la volonté de gagner, l'avance au score et la valeur de mes joueurs. Ce que nous privilégions le plus, c'est le groupe. Il n'y a pas de stars, sauf le groupe qui est formé de joueurs qui se connaissent depuis toujours.
Quelle sera votre option de jeu ?
On va attaquer. Je dis à mon collègue que nous allons attaquer jusqu'à obtenir la qualification. On doit éteindre le feu avec le feu.
Quel est l'état de l'infirmerie ?
Elle est vide. J'ai tout mon monde et je puis vous assurer que les plus en forme seront alignés.
Propos recueillis par Marc Koffi
Dans quel état se trouve ton groupe?
L'entraîneur togolais nous a averti que ce sera un match décisif. Nous sommes prêts à nous battre pour la qualification qui fera du bien à notre pays.
Y a-t-il un défi particulier à relever après l'échec des clubs ivoiriens ?
En tant qu'entraîneur, mon défi est de réussir à qualifier l'équipe. Les jeunes gens en sont conscients et nous avons travaillé en conséquence.
Avez-vous des appréhensions ?
Oui, parce que ce match revêt un important enjeu. Pour moi, il s'agit de résoudre une équation en présentant un bon visage face à un adversaire à respecter.
Redoutez-vous l'adversaire togolais?
Je le respecte plutôt. C'est une bonne formation avec des défenseurs costauds, un milieu entreprenant et un attaquant puissant. En tout cas, ils sont sur pied de guerre. Donc, nous devons rester concentrés.
Quels sont vos atouts qui vous rassurent tant?
Nos atouts sont la cohésion, la volonté de gagner, l'avance au score et la valeur de mes joueurs. Ce que nous privilégions le plus, c'est le groupe. Il n'y a pas de stars, sauf le groupe qui est formé de joueurs qui se connaissent depuis toujours.
Quelle sera votre option de jeu ?
On va attaquer. Je dis à mon collègue que nous allons attaquer jusqu'à obtenir la qualification. On doit éteindre le feu avec le feu.
Quel est l'état de l'infirmerie ?
Elle est vide. J'ai tout mon monde et je puis vous assurer que les plus en forme seront alignés.
Propos recueillis par Marc Koffi