38 groupements de producteurs des zones centre, nord et ouest (Cno) ont reçu au Ranhôtel de Bouaké 40 motoculteurs financés par la Banque africaine de développement (Bad) à hauteur de 15 milliards de francs CFA. Une partie de cette somme est affectée à l’éducation, à la santé, au développement rural et aux groupements coopératifs.
Tout cela fait dire à la coordinatrice nationale du Projet d’appui multisectoriel à la sortie de crise, Mme Adjobi Josiane, qu’ils appuient les ex-combattants et les jeunes à risques pour les aider à se reconvertir à travers l’Anader au retour à la terre.
Pour donc atteindre cet objectif, elle dira que sa structure leur donne gracieusement du matériel agricole et leur offre des semences pour qu’ils soient plus performants tout en les aidant à écouler leurs productions sur le marché. De son côté, le représentant de la Bad en Côte d’Ivoire, Jean Paul Ehounou, a fait remarquer que son institution a accepté de financer cette activité parce qu’elle entend aider la Côte d’Ivoire à sortir de la crise à travers la réunification de son territoire.
Aussi a-t-il noté que la Bad apporte une assistance aux personnes qui sont restées sur place durant la récente crise qu’a connue la Côte d’ivoire ou celles qui ont été obligées de trouver refuge en zone gouvernementale.
Pour sa part, le directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, chargé de la sortie de crise, Koffi Koffi Paul, a dit que tous les ex-combattants et les jeunes à risques ne peuvent pas tous être réinsérés au même moment parce que cela coûte excessivement cher. Par contre, il a fait savoir que malgré cela la Côte d’ivoire a pu réinsérer près de 4 000 ex-combattants et jeunes à risque qui aujourd’hui tirent profit des retombés de cette opération. Mais il pense que cette année grâce au programme que la primature vient de mettre en route avec l’appui de la Banque mondiale et d’autres bailleurs de fonds, la Côte d’Ivoire pourra réinsérer plus de 8 000 ex-combattants et jeunes à risques.
Adjé Jean-Alexis
Tout cela fait dire à la coordinatrice nationale du Projet d’appui multisectoriel à la sortie de crise, Mme Adjobi Josiane, qu’ils appuient les ex-combattants et les jeunes à risques pour les aider à se reconvertir à travers l’Anader au retour à la terre.
Pour donc atteindre cet objectif, elle dira que sa structure leur donne gracieusement du matériel agricole et leur offre des semences pour qu’ils soient plus performants tout en les aidant à écouler leurs productions sur le marché. De son côté, le représentant de la Bad en Côte d’Ivoire, Jean Paul Ehounou, a fait remarquer que son institution a accepté de financer cette activité parce qu’elle entend aider la Côte d’Ivoire à sortir de la crise à travers la réunification de son territoire.
Aussi a-t-il noté que la Bad apporte une assistance aux personnes qui sont restées sur place durant la récente crise qu’a connue la Côte d’ivoire ou celles qui ont été obligées de trouver refuge en zone gouvernementale.
Pour sa part, le directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, chargé de la sortie de crise, Koffi Koffi Paul, a dit que tous les ex-combattants et les jeunes à risques ne peuvent pas tous être réinsérés au même moment parce que cela coûte excessivement cher. Par contre, il a fait savoir que malgré cela la Côte d’ivoire a pu réinsérer près de 4 000 ex-combattants et jeunes à risque qui aujourd’hui tirent profit des retombés de cette opération. Mais il pense que cette année grâce au programme que la primature vient de mettre en route avec l’appui de la Banque mondiale et d’autres bailleurs de fonds, la Côte d’Ivoire pourra réinsérer plus de 8 000 ex-combattants et jeunes à risques.
Adjé Jean-Alexis