Un jour pas comme les autres. Mercredi dernier, la société Uniprest, située à Koumassi Prodomo, avait perdu sa tranquillité habituelle. Personnel en uniforme, de chaises soigneusement rangées sous des bâches, sono ahurissante et fanfare…L’ambiance y était visiblement à la fête. Cette entreprise, spécialisée dans les prestations de services et qui vient de se doter d’une branche consacrée à la sécurité des biens et des personnes, célébrait ce jour-là ses dix années d’existence. La cérémonie a connu deux temps forts : la traditionnelle série d’allocutions et une simulation d’intervention des éléments d’Uniprest Sécurité en cas d’agression. Directeur général d’Uniprest, Mme Marie-Laure Essan a indiqué que sa société offre plusieurs services, entre autres l’entretien des espaces verts, la fourniture de matériel de bureau, la pose et l’entretien du froid, la construction et dérivés… De même, elle a noté que Uniprest Sécurité est spécialisée dans la sécurité des biens et des personnes. Pour Mme Essan, il était important, après dix ans d’activités de marquer un arrêt, pour jeter un regard dans le rétroviseur, histoire de faire un bilan. « Nous sommes partis d’un salon familial, puis nous avons rejoint un appartement de deux pièces avant d’occuper aujourd’hui une villa duplexe avec six bureaux, une salle de conférence, une salle de formation, des équipements de pointe et du matériel roulant efficace pour les interventions », a rappelé Mme Essan. Ensuite, Mme Okrou Marie Thérèse a, au nom, du ministre de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé, Dosso Moussa, a souhaité que cet « arrêt ne soit que momentané ». Peu avant, M. Djédjé Bagnon Venance, qui représentait le maire de Koumassi, M. N’Dohi Raymond, avait réitéré le soutien indéfectible de sa municipalité à Uniprest, quand Mme Koné Collette, présidente du comité d’organisation exhortait les uns et les autres à apporter leur soutien à cette société.
Enfin, sous le regard attentif du public, des éléments d’Uniprest ont fait montre de leur savoir-faire dans la sécurisation des personnes et des biens. Notons que des présents ont été remis aux partenaires d’Uniprest.
Y. Sangaré
Développement durable en Afrique : Les femmes géo scientifiques veulent jouer leur partition
« Femmes et géosciences pour la paix ». C’est autour de cette thématique que se déroule depuis mardi le 5ème congrès de l’Association Africaine des femmes en géosciences à Grand-Bassam. Quatorze pays africains prennent part à cette rencontre des scientifiques africaines qui s’achèvera demain samedi. Cette association, dont l’objectif est entre autres la promotion du développement durable à travers les sciences de la terre auprès des femmes pour une bonne gestion des ressources naturelles du continent, a été est créé en 1995. Elle comprend 300 membres et possède des sections nationales en Ouganda, Côte d’Ivoire et Sénégal. Selon Téa Juliette, présidente Afrique de l’Aaaw-ci, la structure est née pour pallier à la participation insignifiante des femmes africaines dans le domaine des géosciences. « Un nombre peu satisfaisant des femmes émergent dans le domaine des géosciences sur le continent. D’où la création de cette association à Nairobi en 1995 pour corriger cette insuffisance», a-telle fait savoir mardi dernier lors de la cérémonie d’ouverture du congrès. A sa suite, le Pr Ezzoura Errami, la présidente Afrique de cette association, a expliqué que l’implication des femmes géoscientifiques dans la gestion des ressources naturelles peut contribuer au développement durable de l’Afrique. Directeur de cabinet du ministre des Mines et de l’Energie, Mme Dadié N’guessan Sylvie s’est, pour sa part, réjouie de la pertinence du thème qui guide les travaux.
Zana Coulibaly
Enfin, sous le regard attentif du public, des éléments d’Uniprest ont fait montre de leur savoir-faire dans la sécurisation des personnes et des biens. Notons que des présents ont été remis aux partenaires d’Uniprest.
Y. Sangaré
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« Femmes et géosciences pour la paix ». C’est autour de cette thématique que se déroule depuis mardi le 5ème congrès de l’Association Africaine des femmes en géosciences à Grand-Bassam. Quatorze pays africains prennent part à cette rencontre des scientifiques africaines qui s’achèvera demain samedi. Cette association, dont l’objectif est entre autres la promotion du développement durable à travers les sciences de la terre auprès des femmes pour une bonne gestion des ressources naturelles du continent, a été est créé en 1995. Elle comprend 300 membres et possède des sections nationales en Ouganda, Côte d’Ivoire et Sénégal. Selon Téa Juliette, présidente Afrique de l’Aaaw-ci, la structure est née pour pallier à la participation insignifiante des femmes africaines dans le domaine des géosciences. « Un nombre peu satisfaisant des femmes émergent dans le domaine des géosciences sur le continent. D’où la création de cette association à Nairobi en 1995 pour corriger cette insuffisance», a-telle fait savoir mardi dernier lors de la cérémonie d’ouverture du congrès. A sa suite, le Pr Ezzoura Errami, la présidente Afrique de cette association, a expliqué que l’implication des femmes géoscientifiques dans la gestion des ressources naturelles peut contribuer au développement durable de l’Afrique. Directeur de cabinet du ministre des Mines et de l’Energie, Mme Dadié N’guessan Sylvie s’est, pour sa part, réjouie de la pertinence du thème qui guide les travaux.
Zana Coulibaly