Le président du Nianan de Koulikoro (D2), Banou Makadji dit Bernard Tapie, a la petite réputation de toujours recruter les footballeurs ivoiriens dans son club. Il en donne les raisons.
Comment se porte le Nianan de Koulikoro ?
Ça va. Nous vivons bien. Nous sommes en D2. Par rapport à nos objectifs de restructurer le club, nous avons estimé qu'après 31 ans en D1, nous voulons prendre le chemin du professionnalisme. Cela nécessite beaucoup d'efforts de la part de tout le monde. Nous sommes un club de région, à 100 kms de Bamako. Notre partenaire reste l'Efym et Yéo Martial.
Qu'est-ce qui justifie le choix de l'Efym comme partenaire ?
L'Efym a été choisie par rapport à la notoriété de Yéo Martial. Il reste un exemple pour l'Afrique. En plus d'Hassan Shehata, il est celui sur qui les Africains peuvent compter pour montrer l'exemple aux jeunes.
Vous êtes l'un des précurseurs des transferts de footballeurs ivoiriens au Mali. Vrai ou faux ?
Oui, cela en raison de mes rapports privilégiés avec des dirigeants sportifs ivoiriens. Je les côtoie beaucoup. Vu l'ambition des chefs d'Etat qui disent que l'Afrique n'a pas de frontières, j'aide les joueurs comme je peux. Au Mali, je suis le tuteur des footballeurs ivoiriens. Je leur donne le minimum pour qu'ils puissent développer leurs ambitions dans le football. Ici, on dit que je suis le plus Ivoirien des Maliens.
Etes-vous satisfait des footballeurs ivoiriens évoluant au Mali ?
Très honnêtement, ils mettent du sérieux dans le travail. C'est ce qui fait que nous les recherchons.
Combien d'Ivoiriens comptez-vous dans votre effectif cette saison?
Nous comptons deux Ivoiriens à trois cette saison au Nianan de Koulikoro.
Quelle est votre ambition cette saison ?
Retrouver l'élite. Séka Innocent, notre entraîneur, pourra nous permettre d'atteindre nos objectifs.
Entretien réalisé à Bamako par Choilio Diomandé
Comment se porte le Nianan de Koulikoro ?
Ça va. Nous vivons bien. Nous sommes en D2. Par rapport à nos objectifs de restructurer le club, nous avons estimé qu'après 31 ans en D1, nous voulons prendre le chemin du professionnalisme. Cela nécessite beaucoup d'efforts de la part de tout le monde. Nous sommes un club de région, à 100 kms de Bamako. Notre partenaire reste l'Efym et Yéo Martial.
Qu'est-ce qui justifie le choix de l'Efym comme partenaire ?
L'Efym a été choisie par rapport à la notoriété de Yéo Martial. Il reste un exemple pour l'Afrique. En plus d'Hassan Shehata, il est celui sur qui les Africains peuvent compter pour montrer l'exemple aux jeunes.
Vous êtes l'un des précurseurs des transferts de footballeurs ivoiriens au Mali. Vrai ou faux ?
Oui, cela en raison de mes rapports privilégiés avec des dirigeants sportifs ivoiriens. Je les côtoie beaucoup. Vu l'ambition des chefs d'Etat qui disent que l'Afrique n'a pas de frontières, j'aide les joueurs comme je peux. Au Mali, je suis le tuteur des footballeurs ivoiriens. Je leur donne le minimum pour qu'ils puissent développer leurs ambitions dans le football. Ici, on dit que je suis le plus Ivoirien des Maliens.
Etes-vous satisfait des footballeurs ivoiriens évoluant au Mali ?
Très honnêtement, ils mettent du sérieux dans le travail. C'est ce qui fait que nous les recherchons.
Combien d'Ivoiriens comptez-vous dans votre effectif cette saison?
Nous comptons deux Ivoiriens à trois cette saison au Nianan de Koulikoro.
Quelle est votre ambition cette saison ?
Retrouver l'élite. Séka Innocent, notre entraîneur, pourra nous permettre d'atteindre nos objectifs.
Entretien réalisé à Bamako par Choilio Diomandé
