Ils sont au nombre de quatre vice-présidents à la Commission électorale indépendante (CEI). Autour du président Youssouf Bakayoko, collaborent Amadou Soumahoro, Jacob Anaky, Gnéménan Coulibaly et Eby N’Dabian. Avec eux, plusieurs autres commissaires. Et comme le président de la CEI, ils sont tous autant responsables de la situation –malheureusement– troublante que présente aujourd’hui l’institution. Ces cadres appelés aux côtés du Président Youssouf Bakayoko avaient suscité beaucoup d’espoir. Hélas! Mille hélas! Ils ont perdu la voix.
En effet, depuis l’arrivée de cette nouvelle équipe à la tête de la CEI, le 25 février dernier, en remplacement de celle dirigée par Robert Beugré Mambé, le constat est là, implacable. Rien, absolument rien n’a bougé. Prévu pour reprendre depuis le 22 mars dernier, le contentieux sur la liste électorale provisoire n’a toujours pas démarré jusqu’à ce jour. Soit près d’un mois de silence radio. Aujourd’hui, à la CEI, on n’envisage pas encore l’affichage de la liste électorale définitive. On ne peut donc pas parler de la date des élections tant attendues par l’ensemble des Ivoiriens qui peine à être connue. Mais malgré cela, comme si de rien n’était, la vie continue au niveau de la résidence Amangoua des 2 Plateaux. Cela, avec ‘’la bouche totalement cousue’’ des premiers responsables. Ni Youssouf Bakayoko, encore moins ses vice-présidents ne trouvent utile et nécessaire d’expliquer quoique ce soit aux Ivoiriens. Ne serait-ce que pour leur dire ce qui se passe exactement. Où en est-on avec le processus électoral? S’il y a blocage, à quel niveau est-il situé? Un tel exercice peut se faire, ne serait-ce qu’à travers des points de presse ou autres conférences hebdomadaires. Mais rien du tout. On a l’impression que Bakayoko et ses vice-présidents, ne mesurant certainement pas encore l’ampleur de la souffrance de leurs concitoyens, continuent de les baladeret de jouer avec leurs nerfs. Et malgré les critique qui commencent à s’élever ça et là, à la Commission électorale, on se résout plutôt à ce vieux proverbe: «le chien aboie, la caravane passe».
Alors MM. Bakayoko, Amadou Soumahoro, Eby N'Dabian, Jacob Anaky et Gnénéman Coulibaly et les autres, sachez que la Côte d’Ivoire a toujours les yeux rivés sur vous. Les Ivoiriens, avec impatience, attendent que vous les délivriez.
Diawara Samou
En effet, depuis l’arrivée de cette nouvelle équipe à la tête de la CEI, le 25 février dernier, en remplacement de celle dirigée par Robert Beugré Mambé, le constat est là, implacable. Rien, absolument rien n’a bougé. Prévu pour reprendre depuis le 22 mars dernier, le contentieux sur la liste électorale provisoire n’a toujours pas démarré jusqu’à ce jour. Soit près d’un mois de silence radio. Aujourd’hui, à la CEI, on n’envisage pas encore l’affichage de la liste électorale définitive. On ne peut donc pas parler de la date des élections tant attendues par l’ensemble des Ivoiriens qui peine à être connue. Mais malgré cela, comme si de rien n’était, la vie continue au niveau de la résidence Amangoua des 2 Plateaux. Cela, avec ‘’la bouche totalement cousue’’ des premiers responsables. Ni Youssouf Bakayoko, encore moins ses vice-présidents ne trouvent utile et nécessaire d’expliquer quoique ce soit aux Ivoiriens. Ne serait-ce que pour leur dire ce qui se passe exactement. Où en est-on avec le processus électoral? S’il y a blocage, à quel niveau est-il situé? Un tel exercice peut se faire, ne serait-ce qu’à travers des points de presse ou autres conférences hebdomadaires. Mais rien du tout. On a l’impression que Bakayoko et ses vice-présidents, ne mesurant certainement pas encore l’ampleur de la souffrance de leurs concitoyens, continuent de les baladeret de jouer avec leurs nerfs. Et malgré les critique qui commencent à s’élever ça et là, à la Commission électorale, on se résout plutôt à ce vieux proverbe: «le chien aboie, la caravane passe».
Alors MM. Bakayoko, Amadou Soumahoro, Eby N'Dabian, Jacob Anaky et Gnénéman Coulibaly et les autres, sachez que la Côte d’Ivoire a toujours les yeux rivés sur vous. Les Ivoiriens, avec impatience, attendent que vous les délivriez.
Diawara Samou
