Le Festival international du court métrage d’Abidjan (Fica), qui se déroulera du 20 au 25 avril, ouvre ses portes aujourd’hui à 10h, à l’Espace Ficgayo de Yopougon. Sur le thème : «Respect de la diversité culturelle, facteur d’intégration et de paix.» Pendant cinq jours, Hanny Tchelley et son équipe utiliseront le cinéma pour parler le langage de la paix et du respect d’autrui. Deux fondamentaux importants dans l’élaboration d’un projet fiable. En faisant ces valeurs, la responsable de «African Queen Production» entend jouer sa partition dans le processus de sortie de crise en Côte d’Ivoire. La présente édition enregistre l’arrivée de Malika Souley, une comédienne, en guest star.
Née à Niamey (Niger) le 7 octobre 1947, elle fait ses études primaires au Canada de 1955 à 1963 avant de retourner au bercail avec ses parents. Une fois dans son pays, elle devient la première femme pompiste avant d’entamer sa carrière artistique en 1966 dans «Le retour d’un aventurier». Elle va ensuite s’illustrer dans plusieurs films dont «Cabas-Cabo » (1968), «Wazou polygame» (1971), «Saïtane» (1973) de Oumarou Ganda, «Kanta of Kebï» du Nigérian A. Haiilu (1977), «Si les cavaliers» de Mahamane Bakabé (1980), «Pétanki» de Yéo Kozoloa, etc.
En marge de cette expérience, elle est monteuse à l’Ortn puis membre du Conseil supérieur de la communication. Malika a participé à plusieurs festivals dont «La quinzaine du cinéma» de Ouagadougou, les festivals de Carthage, Tachkent, Moscou, Milan, Turin Créteil. Sa riche filmographie lui a valu des décorations : Officier de l’ordre du mérite national du Niger (1968), Chevalier du mérite culturel en Tunisie (1990) et Chevalier du mérite national du Niger. Au niveau des activités, la journée de demain sera marquée par la rencontre des critiques de cinéma d’Afrique sur le thème : «L’influence de la critique face à la réception des films», suivie de la conférence publique du professeur Dédy Séry sur le thème central du festival. La projection de films à la Maca est prévue le vendredi 23 avril à 10h.
Issa T.Yéo
Née à Niamey (Niger) le 7 octobre 1947, elle fait ses études primaires au Canada de 1955 à 1963 avant de retourner au bercail avec ses parents. Une fois dans son pays, elle devient la première femme pompiste avant d’entamer sa carrière artistique en 1966 dans «Le retour d’un aventurier». Elle va ensuite s’illustrer dans plusieurs films dont «Cabas-Cabo » (1968), «Wazou polygame» (1971), «Saïtane» (1973) de Oumarou Ganda, «Kanta of Kebï» du Nigérian A. Haiilu (1977), «Si les cavaliers» de Mahamane Bakabé (1980), «Pétanki» de Yéo Kozoloa, etc.
En marge de cette expérience, elle est monteuse à l’Ortn puis membre du Conseil supérieur de la communication. Malika a participé à plusieurs festivals dont «La quinzaine du cinéma» de Ouagadougou, les festivals de Carthage, Tachkent, Moscou, Milan, Turin Créteil. Sa riche filmographie lui a valu des décorations : Officier de l’ordre du mérite national du Niger (1968), Chevalier du mérite culturel en Tunisie (1990) et Chevalier du mérite national du Niger. Au niveau des activités, la journée de demain sera marquée par la rencontre des critiques de cinéma d’Afrique sur le thème : «L’influence de la critique face à la réception des films», suivie de la conférence publique du professeur Dédy Séry sur le thème central du festival. La projection de films à la Maca est prévue le vendredi 23 avril à 10h.
Issa T.Yéo
