Le directeur général de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), M. Lakoun Ouattara, a soutenu en début de semaine à Abidjan-Plateau que la raréfaction des investissements étrangers directs en Côte d’Ivoire est due au facteur ’’risque-pays’’ élevé. C’était à l’occasion de la cérémonie de lancement de l’atelier « le défi du meilleur », plan stratégique du développement de la Côte d’Ivoire, vision du secteur privé ivoirien, qui se tiendra la semaine prochaine à Yamoussoukro.
M. Lakoun Ouattara a expliqué que depuis quelques années la Côte d’ivoire est confronté à la raréfaction des investissements étrangers directs. Et ce, malgré un programme de privatisation ‘’ambitieux’’ mis en œuvre dès le début des années 1990. Pour lui, cette tendance détruit les richesses et aggrave la pauvreté dans le pays.
L’atelier de Yamoussoukro vise à établir un large diagnostic économique et sociopolitique. Ainsi que définir les axes stratégiques d’un modèle de développement porteur basé sur le dynamisme du secteur privé, s’appuyant en la matière sur les expériences réussies ailleurs, en tenant compte des contraintes et incertitudes majeures qui se posent aujourd’hui à la Côte d’Ivoire.
Le directeur général de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire a précisé que la rencontre de Yamoussoukro contribuera à la définition d’une stratégie de développement du secteur privé basée sur un modèle économique et des réformes plus porteurs de développement à court, moyen et long terme.
« Face à une crise sociopolitique qui s’éternise et dont les conséquences néfastes pour l’économie ivoirienne ne se discutent plus, la Cgeci, dans le cadre de ses activités de l’année 2010, lance le second atelier Côte d’Ivoire 2040 : « le défi du meilleur », afin de promouvoir le développement du secteur privé ivoirien », a conclu M. Lakoun Ouattara.
Théodore Kouadio
M. Lakoun Ouattara a expliqué que depuis quelques années la Côte d’ivoire est confronté à la raréfaction des investissements étrangers directs. Et ce, malgré un programme de privatisation ‘’ambitieux’’ mis en œuvre dès le début des années 1990. Pour lui, cette tendance détruit les richesses et aggrave la pauvreté dans le pays.
L’atelier de Yamoussoukro vise à établir un large diagnostic économique et sociopolitique. Ainsi que définir les axes stratégiques d’un modèle de développement porteur basé sur le dynamisme du secteur privé, s’appuyant en la matière sur les expériences réussies ailleurs, en tenant compte des contraintes et incertitudes majeures qui se posent aujourd’hui à la Côte d’Ivoire.
Le directeur général de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire a précisé que la rencontre de Yamoussoukro contribuera à la définition d’une stratégie de développement du secteur privé basée sur un modèle économique et des réformes plus porteurs de développement à court, moyen et long terme.
« Face à une crise sociopolitique qui s’éternise et dont les conséquences néfastes pour l’économie ivoirienne ne se discutent plus, la Cgeci, dans le cadre de ses activités de l’année 2010, lance le second atelier Côte d’Ivoire 2040 : « le défi du meilleur », afin de promouvoir le développement du secteur privé ivoirien », a conclu M. Lakoun Ouattara.
Théodore Kouadio
