Depuis l’éclatement de la crise au sein de la commission électorale indépendante, l’atmosphère politique est devenue délétère en Côte d’Ivoire.
Depuis 1922, la famille Rossmann règne sur le carton en France. Ce monopole quasi-total dans le secteur du carton a démarré avec Lucien, le premier des Rossmann qui s'est investi dans la " filière ". En 1938, l'entreprise prospère, se développe et se spécialise dans le domaine du carton ondulé sur le site de Sainte Croix aux Mines (68). Quarante deux ans après, soit en 1964, arrivent dans le groupe Bernard Rossmann. En 1970 il prend la direction des affaires Rossman. Cette ascension va signer l'arrêt de mort des employés qui doivent désormais s'accommoder des humeurs du tout puissant patron. En 1985, il prend la présidence du groupe Charfa et en 1988 contrôle la branche carton ondulé des sociétés CELTA, SICAL et VALSCIUS. Bien avant, c'est-à-dire en 1986, Berrnard Rossmann coiffait la SONACO en Côte d'Ivoire en tant que PDG. En Côte d'Ivoire, le cas que nous connaissons le mieux, il s'est attaché les services d'un autre négrier qui vit depuis 1983 dans notre pays. En occurrence, Jean Pierre Bouniol, un expert comptable qui serait spécialisé dans le blanchiment d'argent. Pour la SONACO, la recrue verserait mensuellement au PDG une prime plus de 170 millions de francs CFA. En retour, Bouniol empocherait, près de 100 millions de francs mensuellement. Pour accomplir la sale besogne, l'expert comptable s'entoure des services de certains Ivoiriens au sein de la société. Tels que Alphonse Coffi, le Directeur Technique et Qualité SONACO/ Groupe Rossmann, le nègre de service qui " se tape tout le boulot ", Trazié Roger, Mondé John, Aman Jean Marc Asso, Lézin Yao, bien qu'ils soient lésés au plan salarial avec la complicité de Mme Kopoin Marie-Hélène, responsable de la paie et de la gestion administrative du personnel SONACO. C'est avec elle que Bouniol gruge les employés. Les mauvaises langues disent d'elle que les relations qu'elle entretient avec M. Bouniol vont au-delà du boulot.
Joachim Digbeu
Depuis 1922, la famille Rossmann règne sur le carton en France. Ce monopole quasi-total dans le secteur du carton a démarré avec Lucien, le premier des Rossmann qui s'est investi dans la " filière ". En 1938, l'entreprise prospère, se développe et se spécialise dans le domaine du carton ondulé sur le site de Sainte Croix aux Mines (68). Quarante deux ans après, soit en 1964, arrivent dans le groupe Bernard Rossmann. En 1970 il prend la direction des affaires Rossman. Cette ascension va signer l'arrêt de mort des employés qui doivent désormais s'accommoder des humeurs du tout puissant patron. En 1985, il prend la présidence du groupe Charfa et en 1988 contrôle la branche carton ondulé des sociétés CELTA, SICAL et VALSCIUS. Bien avant, c'est-à-dire en 1986, Berrnard Rossmann coiffait la SONACO en Côte d'Ivoire en tant que PDG. En Côte d'Ivoire, le cas que nous connaissons le mieux, il s'est attaché les services d'un autre négrier qui vit depuis 1983 dans notre pays. En occurrence, Jean Pierre Bouniol, un expert comptable qui serait spécialisé dans le blanchiment d'argent. Pour la SONACO, la recrue verserait mensuellement au PDG une prime plus de 170 millions de francs CFA. En retour, Bouniol empocherait, près de 100 millions de francs mensuellement. Pour accomplir la sale besogne, l'expert comptable s'entoure des services de certains Ivoiriens au sein de la société. Tels que Alphonse Coffi, le Directeur Technique et Qualité SONACO/ Groupe Rossmann, le nègre de service qui " se tape tout le boulot ", Trazié Roger, Mondé John, Aman Jean Marc Asso, Lézin Yao, bien qu'ils soient lésés au plan salarial avec la complicité de Mme Kopoin Marie-Hélène, responsable de la paie et de la gestion administrative du personnel SONACO. C'est avec elle que Bouniol gruge les employés. Les mauvaises langues disent d'elle que les relations qu'elle entretient avec M. Bouniol vont au-delà du boulot.
Joachim Digbeu
