Le président sénégalais Abdoulaye Wade a appelé vendredi à Abidjan les acteurs de la crise ivoirienne à organiser "rapidement" les élections, sans cesse reportées depuis 2005.
M. Wade a "exhorté les parties prenantes à rechercher, sans relâche, des solutions aux questions pendantes afin d`aller rapidement aux élections et de restaurer définitivement la paix en Côte d`Ivoire", selon le communiqué conjoint publié au terme de sa visite de deux jours.
Son homologue ivoirien Laurent Gbagbo l`a remercié "pour son implication personnelle dans le processus de paix", faisant part de "l`engagement du gouvernement" pour "des élections démocratiques, libres et transparentes".
M. Wade a salué les "progrès significatifs accomplis et (les) résultats obtenus dans le cadre de la médiation" du président burkinabè Blaise Compaoré, "facilitateur" des accords de paix de 2007.
A son arrivée jeudi, le chef de l`Etat sénégalais avait assuré qu`il n`était pas venu "faire de la médiation" alors que le programme de sa visite avait suscité des interrogations dans la presse ivoirienne.
En plus de deux tête-à-tête avec M. Gbagbo, il a rencontré les principaux acteurs de la crise, notamment le Premier ministre et chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) Guillaume Soro, les grands partis, les FN et la
Commission électorale indépendante (CEI). Le processus de paix, destiné à clore la crise née du coup d`Etat manqué de
2002, est censé aboutir à une présidentielle reportée depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005. Il est bloqué depuis le début de l`année autour des questions de la réunification du pays et de la liste électorale.
M. Wade s`était impliqué dans les efforts de paix dès 2002, mais les relations entre Dakar et Abidjan n`ont pas toujours été au beau fixe ces dernières années.
Signe d`un réchauffement, la présidence sénégalaise avait jugé "historique" la présence de M. Gbagbo pour l`inauguration du monument de la Renaissance africaine le 3 avril à Dakar.
M. Wade a "exhorté les parties prenantes à rechercher, sans relâche, des solutions aux questions pendantes afin d`aller rapidement aux élections et de restaurer définitivement la paix en Côte d`Ivoire", selon le communiqué conjoint publié au terme de sa visite de deux jours.
Son homologue ivoirien Laurent Gbagbo l`a remercié "pour son implication personnelle dans le processus de paix", faisant part de "l`engagement du gouvernement" pour "des élections démocratiques, libres et transparentes".
M. Wade a salué les "progrès significatifs accomplis et (les) résultats obtenus dans le cadre de la médiation" du président burkinabè Blaise Compaoré, "facilitateur" des accords de paix de 2007.
A son arrivée jeudi, le chef de l`Etat sénégalais avait assuré qu`il n`était pas venu "faire de la médiation" alors que le programme de sa visite avait suscité des interrogations dans la presse ivoirienne.
En plus de deux tête-à-tête avec M. Gbagbo, il a rencontré les principaux acteurs de la crise, notamment le Premier ministre et chef de l`ex-rébellion des Forces nouvelles (FN) Guillaume Soro, les grands partis, les FN et la
Commission électorale indépendante (CEI). Le processus de paix, destiné à clore la crise née du coup d`Etat manqué de
2002, est censé aboutir à une présidentielle reportée depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005. Il est bloqué depuis le début de l`année autour des questions de la réunification du pays et de la liste électorale.
M. Wade s`était impliqué dans les efforts de paix dès 2002, mais les relations entre Dakar et Abidjan n`ont pas toujours été au beau fixe ces dernières années.
Signe d`un réchauffement, la présidence sénégalaise avait jugé "historique" la présence de M. Gbagbo pour l`inauguration du monument de la Renaissance africaine le 3 avril à Dakar.